Aspects Comiques La Moquerie

de l’événement : – l’arrivée des spectateurs et les efforts du service de sécurité pour les contenir ; – l’installation des invités ; – l’arrivée de Partre. 2. Le thème du texte, grave et sérieux, est traité ici sur le mode léger avec des effets comiques, ce qui peut provoquer la surprise du lecteur. 3. L’extrait s’organise en une série de « gros plans » ou courtes saynètes muettes : → à l’extérieur du théâtre : – les spectateurs qui tentent de passer en fraude dans des corbillards ; – ceux qui tentent

poétique : 1 la fable : La fable est un genre poétique qui remonte à l’antiquité. Ce texte court raconte une histoire très simple que l’on trouve dans toutes les littératures. Le récit écrit en général en vers mais parfois aussi en prose, comprend deux aspects essentiels : une fiction destinée à intéresser un lecteur souvent jeune et une morale qui se déduit de l’exemple. Mais à la différence du conte la morale est plus explicite. Au XVIIème siècle Jean de La Fontaine a renouvelé le genre avec deux recueils

à travers diverses personnifications. Le poème donne deux visions antithétiques de l’Albatros soit méliorative puis péjorative : Ce dernier est triomphant et majestueux tel que l’énonce la périphrase « les rois de l'azur » puis l’oiseau est « comique » et » laid ». Le premier quatrain forme une ample phrase présentant l'Albatros en vol. Le deuxième forme aussi une phrase très ample pour présenter l’Albatros posé sur le navire. Le troisième quatrain est une série de trois phrases. Celles-ci

est de montrer que la comédie est pourtant bel et bien un genre - comme le soutenaient les poéticiens anciens - au sens où c'est une classe logique et de comprendre la nature particulière de sa « généricité ». 1. Proscrire l'expression « genre comique » est sans doute la première chose à faire si l'on veut réfléchir à la comédie comme genre. 2. Nous reprenons les termes de Gérard Genette qui désignent les deux types possibles de « généricité » (Genette, 2002 : 40). L'ANNUAIRE THÉÂTRAL, N° 36

Folleville ! - Non, je ne bois du vin que lorsque je suis de bonne humeur... Diable !... une bouteille doit vous durer longtemps... 3 Le spectacle Bernard Rozet met en scène deux courtes pièces d’Eugène Labiche, un des plus grands auteurs comiques français. Ces deux pièces en un acte, « La fille bien gardée » suivie de « Embrassons-nous, Folleville ! », constitue un tout, au final, une seule et même histoire. La fille bien gardée offre deux beaux rôles aux domestiques, souvent habitués

amoureuse et la saper de l’intérieur, créant un effet comique évident tout en signant la mort du romantisme. Plan : I) Une multiplicité de discours qui crée un effet comique a) Deux discours que tout oppose b) Des discours qui se superposent et qui se répondent c) Le langage du corps II) Une déclaration ratée, volontairement brisée par l’ironie de Flaubert a) Un lieu inapproprié c) Une critique de la vie provinciale Conclusion : Un passage éminemment comique puisque Flaubert joue avec les clichés du romantisme

dirait il porte un fardeau -puis, (v.42/43) description de l’acharnement pour se libérer du piège/efforts physique - la mort est même mentionné (v.55) « tua plus d’à moitié) ; (v.59) « demi-morte » Il se dégrade physiquement mais le pigeon subit la moquerie du fabuliste et le dégrade en tant que personnage -plus nous avançons dans le texte, plus la désignation du personnage sont dégradante et négatif -d’abord « le voyageur » (v.31) puis « Le pigeon » (v.50) -il féminise le pigeon et lui fait perdre

Conclusion: Dans cette scène, le spectateur est immédiatement plongé dans l'atmosphère de la débauche florentine du XVIe siècle. Les deux personnages principaux apparaissent ensemble dès les 1ères répliques mais ils sont différents de leur ton, de leur aspect .Ce qui est une rupture avec le théâtre classique; c'est le drame romantique. Ouverture: La suite des événements va t elle confirmé le caractère découvert dans cette scène d'exposition? Texte2- Victor Hugo, Ruy Blas (1838): analytique Introduction:

qu’il est noble. Les autres aristocrates se moquent de sa façon d’agir. Portrait psychologique : personne qui déteste l’humanité. Il n’aime pas la courtoisie de son siècle. Portrait moral : personne amoureux de Célimène. Il également peut enclin à la moquerie, froid, mais dans un certain sens, agréable. Vue sur scène : tout l’acte I et II, l’acte III scène 5, l’acte IV scènes 2, 3 et 4,et tout l’acte V Evolution dans la pièce : Il commence la pièce au près de son ami Philinte, chez Célimène, où il déclare

arrière-fond pessimiste : la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. Le baroque s’exprime dans le théâtre et la poésie. Les effets de théâtre dans le théâtre et de mise en abyme sont privilégiés (Corneille, L’Illusion comique). Il donne lieu à deux déclinaisons antagonistes : la préciosité et le burlesque. La préciosité s’éloigne du réel en utilisant un langage raffiné (périphrases, antithèses…). Le burlesque se rapproche du réel et emprunte le registre satirique.