Aspiration Au Bonheur Et Passion

Rimbaud l’eau signifie à mon avis la poèsie ou les mots qui forment la poésie. La poésie est agréable pour Rimbaud qui a tant souffert dans son court passé déjà bien mouvementer. Ces memes mots envahissent l’interieur de Rimbaud par un sentiment de bonheur donc la poésie le rend heureux. La mer et le ciel se confondent dans un melange de mots. Il s’abandonne « ravi » aux courants marins et tourné vers le ciel dévore les « azurs verts ». Totalement immergé dans la mer, possédé par elle au point de ne

que la femme a des aspirations à la vie d’artiste et aux rêveries, et que ça la rend plus sotte encore de vouloir échapper à ce bourgeoisisme. Ce passage parle des lectures d’Emma, lorsqu’elle était adolescente, dans un pensionnat. Emma Bovary Esprit romanesque Élevée au hasard dans la ferme paternelle avant de terminer dans ce couvent A appris à lire et à écrire dans cette ferme, et à lu tôt dans romans à l’eau de rose décrivant des vies de rêve. Pour elle, poésie et bonheur sont toujours ailleurs

ou chrétienne); par le choix des personnages (lié évidemment à celui du sujet), qui sont toujours illustres, nobles (rois, princes, héros, etc.); par le choix de grands thèmes: le pouvoir (problème de sa légitimité), la justice, l'honneur, l'amour-passion, etc.; par le recours à un langage châtié, à un style élevé (noblesse de l'alexandrin, beauté des images, etc.). Le fait que la tragédie se joue à distance a pour conséquence d'agrandir, d'amplifier, de sacraliser même ce qui y est représenté. L'action

romantisme. Il décrit sa descente aux enfers et son tiraillement entre le spleen et l’idéal, entre le sublime et le sordide. En 1861, la 2e édition des Fleurs du Mal s’est enrichie d’une nouvelle section « tableau parisien » qui répond aux nouvelles aspirations poétiques de l’auteur. L’auteur trouve dans la ville une nouvelle source d’inspiration parmi la foule hétéroclite et marginale qui capte l’attention du poète (les aveugles, les petites vieilles, les saltimbanques...) il s’attache à une passante

le propre du lyrisme. Comment y parvenir lorsque l’ on veut traduire, en un langage  moderne, le mal être d’ un monde qui se cherche, où depuis Hugo, se fait jour le défaut d’ historicité, l’ inadéquation du « triste Idéal qui s’écroule » et les aspirations à une fécondité de l’ esprit ? Verlaine emprunte alors, à l’ art pictural des propriétés et des moyens signifiants comme les « Eaux-Fortes » qui offrent une peinture en noir et blanc des états de l’ âme humaine, les « Aquarelles » pour ajouter

plaisir n’est pas de l’ordre de la tension (il s’y oppose d’ailleurs, il est de l’ordre de la sérénité et de la douce paix). Le plaisir arrive à une certaine Apathie (l’individu va arriver à se délivrer de trop de passion, il y’aurait donc absence de troubles du corps face au désir, et donc Bonheur total ataraxie : sérénité.) Epicure fait une distinction entre les plaisirs : * Plaisir naturels et nécessaires : ils sont conforment à notre vie (réspirer, manger..) c’est les plaisir du vivre. *

la possibilité d’un désir n’entraînant aucune souffrance. ON : il est clairement question de l’homme ici, car l’animal ne connaît pas de désirs au sens où nous l’entendons ici, mais des besoins. DESIRER : le sujet nous place dans le domaine de la passion, car c’est le moteur principal de la condition humaine. Le désir est insatiable, nous pousse toujours plus loin, et de l’accessible nous amène à désirer ce qui est beaucoup plus complexe à avoir. SANS SOUFFRIR : le présupposé est que le désir blesse

Le désir est-il un désordre de l’âme ? Appréciations : On pense souvent que le désir, cette aspiration de notre être à combler le sentiment d’un manque, d’une frustration, est une envie, une volonté qui nous mène vers le bonheur. En recherchant sans cesse plus de plaisirs, nous nous entraînons dans une course effrénée vers l’agréable, vers ce bonheur parfait et total dont nos désirs nous rapprochent toujours un peu plus. Ce sentiment est partagé par tous les hommes et il est

d’un être proche. Il est soumis au « vague des passions », mélancolie sans cause et sans remède d’un être à la sensibilité exacerbée. Ce malaise est définis puis illustré par Chateaubriand dans René (1802) : « on habite, avec un cœur plein, un monde vide ; et sans avoir abusé de rien on est désabusé de tout » (Le Genie du christianisme ». Cet état malheureux se manifeste à travers la rêverie, l’abattement ou l’exaltation en alternance, une aspiration à l’idéal mêlée a une fascination pour la mort

ces espèces de lueurs dans l'esprit qui font croire, pendant une seconde, qu'on va découvrir le divin secret des choses. Puis la fenêtre se referme. C'est fini. » De temps en temps, nous voyions glisser deux ombres le long des massifs ; nous passions devant un banc où deux êtres, assis côte à côte, ne faisaient qu'une tache noire. 2 Mon voisin murmura : Pauvres gens ! Ce n'est pas du dégoût qu'ils m'inspirent, mais une immense pitié. Parmi tous les mystères de la vie humaine, il en