Aspirations Nationales 1815 1848

obtiendrait une majorité. Situation explosive. - 17 au 20 juin, Serment du jeu de Paume. Députés du tiers-état + certains des 2 autres ordres, se réunissent contre l’avis du roi et se présentent comme étant la nation. Ils se déclarent Assemblée Nationale, et souhaite rédiger une C°. Le roi reste le roi ms cesse d’ê le souverain qui est désorms la nation. - LA CONSTITUTANTE : Juillet: les députés se forment en AN. Ils s’autoproclament représentants de la nation. Cette AN se fixe comme objectif

David d’Anger Monument funéraire. Mélange néoclassique (la tombe) et romantisme (l’homme - cheveux longs) Rude, Napoléon s’éveillant à l’immortalité, 1845-46 14 Octobre Le Romantisme en Europe - Histoire Après la Chute de l’Empire : Juin 1815 - Le Traité de la Sainte Alliance au Congrès de Vienne (1814-juin1815) Ce Traité permet aux Alliés (Allemagne, Anglais, Prusse, Autriche) Conditions de paix difficiles pour la France et partage de l’Europe. La France est occupée par les troupes

cet espace, notamment du fait du féodalisme, l’idée d’empire a donné lieu à des tentatives de réalisation. Deux grands empires sont restés dans les mémoires : carolingien ou empire des Francs, à partir duquel se sont construits les entités : Pré nationales des royaumes immenses Le Saint empire romaine germanique (Saint depuis Barberousse), qui commence à la fin du Xème siècle et qui va durer dans toutes ses mutations jusqu’à la fin de la première guerre mondiale. Très puissante notamment avec la

ainsi que les Pays-Bas, se retrouve aux mains du Saint-Empire romain germanique et la Belgique sera nommé : les Pays-Bas du sud. Ce nouvel empire sera ensuite cédé à l’Espagne. En 1794, le territoire est envahi par les révolutionnaires français et en 1815, à la suite du congrès de Vienne, la Belgique est officiellement rattachée aux Pays-Bas. Mais la Belgique et catholique et les Pays-Bas protestants. La Belgique ne supportera pas la tutelle néerlandaise. Elle sera donc détachée des Pays-Bas après les

droit constitutionnel. Aux États-Unis, la Constitution doit être apprise dans les écoles. Néanmoins, ces cours ont vite été supprimés. En 1834, en France, réapparaît le premier cours de droit constitutionnel (durant la monarchie de juillet). De 1830 à 1848, le pouvoir politique se libéralise. En 1889, les cours sont maintenus. Les réformes universitaires se succèdent. Au XIXème siècle, cette évolution qui institutionnalise le cours est identique dans tous les pays. En France, cet enseignement correspond

citer que quelques exemples parmi les plus fameux, si les ouvrages du fondateur de l’historiographie maçonnique française, Claude Antoine Thory (1757-1827), comme l’Histoire de la fondation du Grand Orient de France (1812) et les Acta latomorum (1815), ne méritent peut-être pas toujours le mépris dont les couvrent certains, il est vrai que le souci de vérifier les sources et de contrôler les hypothèses n’y domine manifestement pas et que presque tout y est douteux. Une trentaine d’années plus tard

ne citer que quelques exemples parmi les plus fameux, si les ouvrages du fondateur de l’historiographie maçonnique française, Claude Antoine Thory (17571827), comme l’Histoire de la fondation du Grand Orient de France (1812) et les Acta latomorum (1815), ne méritent peut-être pas toujours le mépris dont les couvrent certains, il est vrai que le souci de vérifier les sources et de contrôler les hypothèses n’y domine manifestement pas et que presque tout y est douteux. Une trentaine d’années plus tard

derniers ayant réussi à s’approprier les moyens de contraintes légales et à la faire reconnaître comme légitime. Léon Duguit (1859-1928) défend cette idée. Le rôle des gouvernants dit-il se limite à traduire en règle de droit ce que dicte les aspirations et les conduites sociales. Le droit prime sur la volonté des citoyens. Théorie repris par Max Weber (1864-1920), il affirme que la pouvoir étatique repose sur la force et la contrainte (règle de droit) et présente la violence comme moyen spécifique

République (21 septembre 1792 – 18 mai 1804, date à laquelle Napoléon devient empereur héréditaire par plébiscite) a connu 3 systèmes, la Convention, le Directoire et le Consulat, qui n’ont pas permis l’essor des valeurs républicaines. La IIème République (1848-1851) étant une période de transition durant laquelle le Président Louis Napoléon Bonaparte ne cherchait qu’à réinstaller en fait l’Empire, elle n’a pas non permis cette essor. 4 éléments expliquent cette construction du modèle républicain sous la

auquel la construction de la monarchie constitutionnelle a tenté de répondre. Il s'agissait d'expliquer comment le système monarchique pouvait fonctionner avec un roi non souverain placé en face, explicitement ou implicitement, d'une souveraineté nationale. La source du pouvoir du roi, sa légitimité ne dérivent plus ni d'une relation spécifique avec Dieu ni d'une organisation intrinsèque de la monarchie (hérédité). Le roi n'existe en tant que tel que par la volonté, la décision du peuple. Cela se manifeste