Assonances Et Allitération

comme bien d'autre seront nécessaire aux épreuves du bac de français!!! FIGURE DE STYLE : ALLEGORIE: Personnification d'une idée abstraite - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! ALLITERATION: Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine : Cassandre sous son Capuce ANAPHORE: Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée

regroupées en strophes, et sont de longueurs inégales. Elles peuvent occuper toute la longueur. Le poème en prose est moins contraignant, pour l’auteur. La présence des rimes ne se fait plus de la même façon. Il y a des échos sonores internes : allitérations, assonances. Le poème en prose est généralement bref il est en revanche tout aussi évocateur que le poème en vers grâce à la présence d’images. Ce type de poème voit le jour officiellement en 1842, aux débuts du romantisme, avec la sortie de « Gaspard

Apparition obsédante du malheur qui marque le sonnet surtout au v.3. Allégorie de la mélancolie + oxymore du soleil noir. Renvoit à un tableau de durée qui porte le titre, mélancolie. Image désolée d'un poète errant à la recherche de son destin. V.4 : allitération en « l » = douceur. Crise d'identité, quête d'identité. Désespoir, tout est ténèbre, noir, « mort ». 1er tercet : « suis-je » : souvenirs mythologiques. V.9 : personnages historiques : « Biron » « Lusignan », allusions mythologiques : symbolique

l’a comparé aussi à une femme lubrique et utilise une partie du corps la jambe, il utilise donc le champs le champs lexical de la nature (fleurs) et la femme dans ce poème ce qui fait ressortir sa beauté en plus des rimes et certaines assonances et allitération. La beauté de ce poème provoque le respect car ce qui est le plus beau dans ce poème est son sens qui dit qu’il aimeras sa femme même quand elle sera comme une charogne car il ne voit que la beauté en elle dans son âme mais pas par son

chaud ?/ Dit-elle à cette emprunteuse 3 son ) Disposition : croisées (abab) Suivies ou plates (aabb) Embrassées (abba) b) son : Allitération : répétions d’un même son consonantique Assonance : répétions d’un même son vocalique. Harmonie imitative : effet de style consistant à utiliser certaines combinaisons phonétiques (allitérations et assonances) de manière à imiter les bruits réels évoqués par le poème : choc, sifflement, écoulement, craquement, tintement, etc. ... Harmonie suggestive :

champ  lexical du tremblement : « trembleur » « tremblant » et » tordre » confirment ce sentiment de joie, chaleur autour d’un feu par exemple La présence de nombreuses assonances et allitérations renforce le rythme et la musicalité  du poème en amplifiant l’idée de la fête une fois de plus. Les allitérations [v] ;[r] ;[t] et assonance en [i] vers 9 ;10  « ivre », « mirent », « vignes », « nuit », « tremblant » peuvent apparaitre comme une comparaison à la flamme d’un feu, à des ombres dansantes. Métamorphose :

Les Regrets, Sonnet XXXI, 1558 [Photocopie] EXPRESSION DE LA MELANCOLIE          Futur → incertitude → pathétique, tragique Anaphore v.5 → lamento Régularité rythmique → langueur Allitérations en [s] et[z] → souffrance & Allitérations en [l] → langueur Assonances en [i] → tristesse & Assonances en [ ] →nasale, tristesse Mythologie grecque → voyage Champ lexical [humilité] Adjectifs possessifs → sentimental Antéposition par rapport à cheminée → petit village en valeur, affectif CRITIQUE

demande/prière ; emploi de l’impératif/subjonctif pour exprimer la prière ; présence en fin de poème du passé composé pour indiquer la fin du danger 3. Sonorités Allitération et assonance en R et I, indique un certain fracas, un fort sifflement ; présence de M qui rappelle un peu une prière, un marmonnement ; allitération en S et chaines ainsi qu’une assonance en O, fracas il y a toujours mais plus lointain, ce sont des sons plus doux Deuxième axe : une tension croissante 1. Disposition • Dissylabique

le but d’accélérer la lecture du texte et contribuer à l’impression de brièveté de l’action et du temps. Même s’il n’y a pas de forme fixe, le texte est parfaitement structuré et malgré l’absence de rime, le texte est très mélodieux (assonances, allitérations), musical. Les temps utilisés sont le passé composé (l’action est achevée, finie), l’imparfait, le présent (les vers au présent sont des phrases dites intérieurement par l’évadé) dans les six premières strophes narratives, et dans les deux

À Max Jacob ; Paratexte; Adressé au Monde de l’art Palais; richesse? Pouvoir? Grandiose? Monde Fantastique? Malédiction? V1 Palais de Rosemonde : rosemonde=femme ; Rêve=royaume Allitération en R «Vers» «Rosemonde» «Rêve» V2 Assonance en É «pensées» «pieds» «soirée» V3 Chiasme V4 allitération en R «chairs» «roses» «roseraie» (= endroit où on plante les roses) V5 «on» impersonnel Jardin : V6 concert joué par les grenouille = personnification V7 V8 Miroir s’est brisé V9 Stigmate=