Assouplissement Quantitatif

juge nécessaire. C’est le « Pilier 2 ». Un 3ème pilier, également qualitatif, exige harmonisation et transparence de la communication financière entre établissements dans leurs dispositifs de gestion des risques. Sous Bâle III, des critères quantitatifs supplémentaires (conservation buffer, countercyclical buffer,,…) vont amener à préconiser un niveau de couverture des risques (de solvabilité) par fonds propres au minimum de 10.5%, et pouvant atteindre 13%. Quels éléments de capitaux propres

Risque commerciaux 7 I – C. 2 : Autres risques 7 II - Etude sectorielle : la crevette 8 II - A. L’offre 8 II – A. 1 : Les offreurs sur le marché 8 II – A. 2 : Les caractéristiques de l’offre 9 II -B. La demande 10 II – B. 1 : Les aspects quantitatifs 10 II – B. 2 : Les aspects qualitatifs 10 II - C. La distribution et la réglementation 11 II – C. 1 : Caractéristiques de la distribution 11 II – C. 2 : La réglementation 11 II - D. Les risques sectoriels 12 Conclusion 13 -------------------------------------------------

ralentissement au cours de la dernière période intercensitaire 1994-2004. Particulièrement en milieu urbain, la croissance des ménages au cours de la même période a été plus faible que la progression du parc logement, favorisant un ajustement quantitatif entre l’offre et la demande. Mais on ne peut pas en déduire pour autant une détente dans la pression de la demande ; du fait, entre autres, de la persistance d’un déficit important et de l’existence d’un parc non occupé et de son évolution rapide

été adopté par le FMI et l’Union Européenne. Les finances du secteur public : on intègre dans les personnes morales de droit public des entreprises privées qui sont sous le contrôle de l’État. Le critère de contrôle est en principe un critère quantitatif (majorité du capital). Exemple : Renault, France télécom,…). Ce critère n’est pas évident à cerner et il ne permet pas toujours de déterminer les secteurs (exemple de la Chine où l’État insère des clauses qui lui permettront d’orienter les finances

mais totalement stérilisé 2- Une licence bancaire pour le FESF qui pourrait refinancer ses obligations d’État avec la BCE 3- Un prêt au FMI au profit de la zone euro sous des conditions strictes 4- Une opération de « quantitative easing » (assouplissement quantitatif) pour maintenir les taux d’intérêt sous un seuil prédéterminé. Principales inquiétudes à propos d’une intervention de la BCE Diverses inquiétudes expliquent les réticences des dirigeants politiques allemands et de la BCE 1- Un problème juridique

lending » ou VLTRO conditionnel, pour relancer le crédit au secteur privé, d’autant que l’enquête sur les conditions de crédit aux PME s’est nettement améliorée ; 2/ procéder à un assouplissement quantitatif via des achats d’actifs privés ; 3/ renforcer sa forward guidance en l’adossant à des seuils quantitatifs (inflation, totale ou sous-jacente, chômage…) ou à un horizon temporel plus précis ; 4/ publier ses « Minutes » ; Il nous semble alors qu’elle pourrait privilégier ces deux options

concertation avec les états, de redresser la situation. Ces politiques ont des objectifs concrets : relancer la croissance, redonner confiance aux marchés et encourager le crédit, réduire le chômage et réduire les dettes publiques colossales. Les assouplissements monétaires à répétition aux Etats-Unis, les différents fonds de stabilité financière en Europe ainsi que les récentes politiques interventionnistes de la BCE sur le marché secondaire des dettes des états de la Zone Euro, la baisse généralisée

comportements pèsent sur les monnaies qui ne s'orientent pas vers des dévaluations compétitives. Ainsi la fin de l'année 2010, la sous-évaluation du yuan chinois, la baisse du dollar favorisé par les politiques de quantitative easing ( assouplissement quantitatif ) peut être qualifié de guerre de monnaie, une guerre que paye chèrement l'Europe qui a assisté à une montée de l'euro complètement décorrélé de son activité économique. Ainsi la stabilité hégémonique favorise la croissance du commerce international

notamment par l’assainissement des entreprises japonaises (ce qui a eu pour conséquence une plus grande attractivité des entreprises nippones) et la résorption de la déflation. En effet, en février, la BOJ abandonne sa politique dite d’«assouplissement quantitatif ». En juillet, la BOJ met fin à plus de cinq ans de politique de taux zéro et relève son taux directeur à 0,25% et son taux d’escompte à 0,40% contre 0,10% auparavant. Fin 2006, au moment de la réunion du G7 et l’annonce de l’essoufflement

le plein d'effectifs avait été effectué ou que les entreprises auraient perdu en compétitivité et connaîtraient une moindre activité? Cela aurait été plausible, d'autant que le relèvement du plafond d'heures supplémentaires et les différents assouplissements intervenus depuis 2003 auraient pu permettre aux entreprises passées aux 35 heures d'allonger la durée du travail. Ce n'est pourtant pas ce qui s'est passé. Certes, la hausse de l'emploi dans les sociétés a été nettement freinée à partir de 2003