Assumer Ses Actes

découverte de l'absurde est à prendre comme une victoire pour l'homme, car il se rend compte qu'il doit vivre dans ce monde absurde sans forcément essaier de trouver un sens à son existence qu'il ne comprend pas. Donc, l'homme doit être lucide, et doit assumer l'injustice de ce monde pour mieux le maîtriser. Il doit aussi vivre dans l'instant et le réel, c'est-à-dire dans son temps, pour pouvoir conquérir la liberté. Dans son essai Albert Camus utilise le mythe de Sisyphe, pour montrer ce qu'est l'absurde

humaine et le sens donner à l’histoire. L’homme apparait désormer dans un monde sans Dieux, sans ordre, sans morale, seul ces actes pourront déterminer son destin. * C’est l’apparition des lectures engagé, dans ce contexte émerge la figure de Jean Paul Sartre avec l’existentialisme, il invite le lecteur à une morale de responsabilité, l’homme doit choisir et assumer ces actes, c’est comme cela qu’il existe. Au côté de Sartre on trouve aussi Simone De Beauvoir et Albert Camus pour l’absurde car il

comme salvatrice. | III 3 | Paradoxeantithèse | il me restait à souhaiter qu’il y aitbeaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine. | Sa dernière pensée, très paradoxale, témoigne alors du fait qu’il assume sa vie et qu’il revendique sa différence avec les autres, sa fameuse « étrangeté » qui donne son titre au roman : les « cris de haine » qu’il souhaite renvoient au rejet, à l’exclusion dont il a été victime tout au long de son procès de la part du

ne fait que construire une dépendance ( cas de la passion). Donc on est sur un paradoxe : à la fois on veut être libre et à la fois on ne le désir pas, parce que si on devenait libre, on serait tenu pour responsable de nos actes, de nos choix. C'est souvent difficile à assumer. Le choix et la décision Sartre dit la chose suivante : « L'homme est condamné à être libre ». Camus, lui dit que «  le seul problème philosophique vraiment sérieux, c'est le suicide ». Les deux penseurs mettent

effet d'une responsabilité en invitant le sujet conscient à "répondre" de soi, de ses actes. Ainsi, l'enfant qui commence à dire "je" cesse de se sentir pour se penser, et accède par là même au rang de sujet, de personnne. En cela, le sujet devenu véritablement conscient ne peut plus, par conséquent, se dédire de ce qu'il fait. Ses actes et ses pensées lui sont imputables ; il les porte et se doit de les assumer comme siens. Le prise de conscience prive donc du confort de l'irresponsabilité, ce moment

La liberté (vocabulaire)1) Autonomie/Hétéronomie- Être autonome consiste à se donner à soi-même ( autos en grec) sa propre loi ( nomos en grec), c’est-à-dire à être capable d’ autodétermination . Il y a donc autonomie quand il y a consentement intérieur, obéissance à des motifs raisonnables . Autrement dit, l’autonomie repose sur la raison

cette pratique, qui est marquée par la prééminence du président sur le Gouvernement et le Parlement, celui-ci ne va pas disposer pas de tous les pouvoirs, ni même de toute la responsabilité se définissant comme l’obligation de répondre de ses actes, d’en assumer les conséquences en subissant une sanction ou une obligation de réparation. Ce système le rapproche donc du régime présidentiel des Etats Unis pourtant le rôle du président sous la Cinquième demeure toujours être celui d’arbitre dans un régime

affirmation laisse donc penser que l’homme est parfaitement conscient de ce qu’il fait, quelque soit la situation et qu’ainsi, rien ne pourrait altérer sa pensée, c'est-à-dire que rien ne pourrait l’influencer, il serait toujours libre et responsable de ses actes. Cette vision des choses constitue la base de la philosophie cartésienne : si l’homme, par essence, pense, ne serait-il pas donc maître de lui à chaque instant ? Néanmoins, ne serait-il pas envisageable que l’homme, parfois, ne soit plus propriétaire

son exécution par celui auquel il avait fait appel. Le but ici étant d’éviter que l’auteur d’un acte en assume tous les frais. Au regard de ce texte, nous pouvons comprendre que tout acte de bénévolat de la part de l’assistant trouvera alors réparation étant donné que le juge garantit la réparation de n’importe quel dommage. Peu à peu, la jurisprudence a étendue cette logique à l’ensemble des actes d’assistance gratuite portée à autrui. En effet, si un individu accepte de prêter gratuitement main forte

1994 par Hannah Arendt. Hannah Arendt était une philosophe allemande, naturalisé Américaine, qui étudié le phénomène totalitaire et la modernité. Dans ce texte, l'idée principale est la désobéissance civile. La désobéissance civile est le refus assumé et public de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugé inique par ceux qui le contestent, tout en faisant de ce refus une arme de combat pacifique. Bien sur, pour appuyer cette idée principale, l'on compare la désobéissance