Atteindre La Vérité Absolue

rendu si une méthode certaine ou incertaine est suivie et respectée. Venant du latin « méta » qui veut dire « vers » et de « hodos » qui veut dire « route, chemin », la méthode, étymologiquement, peut signifier : la poursuite et l‟effort pour atteindre une fin ; l‟ordre que la pensée doit suivre pour parvenir à la vraie connaissance. Cette dernière, qualifiée de bon sens, est, je dirais l‟établissement des règles qui gouvernent et assurent l‟ataraxie de l‟âme. La méthode permet d‟être nous, elle

un obstacle à son bonheur. En ce sens, dans l’ordre du nécessaire nous ne réfléchissons pas à la philosophie. De plus nous pouvons nous demander si, comme l’indique René Descartes dans Lettre à Elisabeth, il n’est pas préférable d’ignorer la vérité que la philosophie nous offre. Celle-ci peut nous révéler dans un de nos moments de plaisir ou plus encore un moment heureux de notre vie, les réels biens qui nous manquent et qui pourraient permettre notre bonheur. La philosophie nous apporterait

mythe, ou de la sexualité. Cela dit, la religion ne peut manquer de se développer en discours et en théorie, sous la forme de prescriptions systématiques, de dogmes qui expriment les vérités essentielles, de théologie pour offrir une approche et une sorte d'appréciation du mystère inaccessible. Un tel discours de vérité suppose des méthodes de vérification, ou au moins d'authentification, qui ne sont pas comparables à celles de la science quand l'objet essentiel ne peut être observé positivement comme

nous entourent. La science est considérée comme quelque chose de VRAI mais surtout absolu. Autrement dit, la science relève de la connaissance vraie, elle est objective et sert surtout à nous montrer la réalité des choses. Un scientifique manipule des sciences exactes comme les sciences physiques ou encore les mathématiques. Si nous prenons l'exemple des mathématiques, celles ci sont un absolu car elles sont vérifiables par des théorèmes ou propriétés exactes. Exemple :

sa rationalité en lui-même et référant l’absolu de sa propre pensée, l’homme s’est forgé sa vérité. La philosophie hégélienne le rend à son histoire et ordonne son existence à une rationalité historique transcendante qui l’oriente historiquement vers un incontournable destin. Cette prétention de la raison à s’abstraire d’elle-même ne peut satisfaire Kierkegaard. Prétendre à une abstraction pure, à un absolu qui transcende l’existence revient à oublier sa finitude, une incapacité essentielle, compagne

mal sur terre. L’introduction continue par explorer le fanatisme de façon plus générale en commençant par définir ‘le fanatique’ comme étant la ‘vérité’ parce qu’elle ‘l’anime, l’agite, et l’arme’. En d’autres termes, la vérité est la vie du fanatique et cette vérité est ‘absolue’. Par conséquent, le fanatique va penser de sa parole comme ‘absolue’ et surtout que seul lui et quelques privilégiés ont la permission de Dieu de l'interpréter. Colas veut nous faire comprendre qu'un fanatique ‘tient

connaissances. Les sciences humaines sont-elles des sciences à part entière ? * Elles ne sont pas des sciences * Elles sont des sciences, mais différentes des sciences expérimentales La distinction entre les deux sciences est-elle absolue ? C’est ce qui va être traité dans 4 points : * les théories de l’action et la critique de la rationalité * la division interne des sciences humaines, du point de vue épistémologique * la distinction entre sciences empirico-analytiques

la vision de l’origines des hommes de Rousseau et sa conception sur les bénéfices de la science pour l’homme. Descartes est le fondateur de la philosophie moderne, d’abord à cause de sa conception de l’homme particulière et car il recherche la vérité à travers la rationalité. Ainsi, la première certitude indubitable qu’il ait trouvé est la suivante : «Je pense, donc je suis». Selon lui, dans la nature humaine, il y a deux substances dépendantes: l’étendue et la pensée. L’âme fait partie de la

Collection dirigée par Étienne Chantrel THÈME DE CULTURE GÉNÉRALE 2014–2015 EN PRÉPA COMMERCIALE 20 dissertations avec analyses et commentaires sur le thème La vérité Sous la coordination de Anne Staszak Par Caroline Baudouin : professeur agré- gé de philosophie Hubert Carron : professeur agrégé de philosophie en CPGE Benoît Da Silva : professeur agrégé de philosophie Henri Dilberman : agrégé de philoso- phie, docteur en philosophie Laurent Giassi : professeur agrégé de philosophie en CPGE, docteur

l'ont mené à allier sa pensée avec celle de l'autre, afin qu'ils aient la force nécessaire à trouver ensemble, et enfin, leur beau paradigme. Le vouloir comprendre les phénomènes les menaient à des observations, hypothèses et lois qu'ils tenaient pour vérité. Si cet ou ces individus n'eurent pas eu cette si forte résolution de tout simplement chercher le comment, ils n'eurent pas inventé le terme de science. Ce terme est réellement appliqué sous son aspect de discipline en Grèce antique, c'est ce que