Attentat du Petit-Clamart

de l’élection du président de la république par les grands électeurs. Si une personnalité de second plan était élue, il ne pourrait plus créer dans son sillage le fait majoritaire. En août 1962, De Gaulle échappe par miracle à un attentat au Petit Clamart. Cet attentat montre que le régime ne tient qu’à la vie du général. Alors, il se décide à faire élire le président au suffrage universel direct en soumettant son projet à référendum mais sans passer par le parlement comme le prévoit la constitution

de Brazzaville en 1944, de Gaulle prend conscience, notamment le référendum sur l’auto-détermination de l’Algérie, qu’il n’a pas d’autre choix que d’aller vers la sécession. Cette attitude lui vaut d’être victime de plusieurs attentats de l’OAS (dont celui du petit-Clamart en 1962) avant et après la signature des accords d’Evian le 18 mars 1962. Même l’armée semble l’abandonner : la semaine des barricades en 1960 est consentie par l’armée et en 1961 c’est le putsch des généraux. La phrase de de Gaulle

l'occupation et la collaboration. 18 Juin 1940, le Général De Gaulle, ancien sous secrétaire d'Etat à la guerre lance un appel à la résistance depuis Londres où il s'est réfugié. De Gaulle a crée la mouvement de la France libre qui se dote d'une petite armée qui combat aux côtés des britanniques puis des alliés et cherche à rallier les colonies françaises. Novembre 1942 → suite au débarquement des alliés anglais et américains an Afrique du Nord, De Gaulle se rend à Alger où va se constituer un

Georges Pompidou, alors directeur de cabinet du Général de Gaulle, et Louis Joxe, ministre des Affaires algériennes. Le 3 juillet 1962, Charles de Gaulle reconnaît l'indépendance de l'Algérie. Mais, le 22 Août 1962, il est victime d'un attentat perpétré au Petit-Clamart, à proximité de l'aéroport de Villacoublay, où il échappe de peu à la mort. La voiture présidentielle est mitraillée tandis que Francis Marroux, son chauffeur, se trouve au volant. Cette action de l'OAS témoigne, au lendemain de la signature

constitutionnelle : de Gaulle souhaite que l’élection du président de la république s’effectue au suffrage universel direct. Il veut ainsi faire de la France un état fort doté d’un pouvoir exécutif solide et stable. Cette décision est hâtée par l’attentat du petit Clamart, monté par l’OAS, dans lequel il manque de perdre la vie. Le 12 septembre, il propose donc une révision de la constitution par référendum. Cette proposition va entrainer le censure du gouvernement Pompidou par les partis hostiles à cette révision

indépendance par les accords d’Evian. Même si De Gaulle a accordé son indépendance à l’Algérie, une partie de l’armée française s’oppose à cette indépendance : l’OAS (Organisation de l’Armée Secrète). Cette organisation organise un attentat contre De Gaulle le 22 Août 1962 à Clamart. Il va y échapper et souhaite davantage renforcer le pouvoir exécutif et légitimer le pouvoir du Président auprès des français par référendum où il propose de réformer la constitution par l’élection du Président de la République

code] Attentat du Petit-Clamart[modifier | modifier le code] Article détaillé : Attentat du Petit-Clamart. Un polytechnicien ingénieur de l'armement nommé Jean Bastien-Thiry âgé de 35 ans considérait la politique algérienne du général de Gaulle comme une politique d'abandon et de trahison. Il conçut donc, avec l'aide de personnes partageant son point de vue (appartenant à l'OAS - Organisation armée secrète), d'enlever de Gaulle, voire, si ce rapt se révélait impossible, de le tuer. Un attentat fut

c'est-à-dire un état autonome et indépendant. Très vite le 16 novembre, il annonce un referendum portant sur la politique d’autodétermination de l’Algérie. Avec bien sur le traditionnel engagement gaullien. Les communistes appellent a voter non, ainsi qu’une petite frange d’extrême droite. Les partis politiques appellent a voter oui. Au soir du 8 janvier 1961, c’est une victoire pour De gaulle, le oui l’emporte avec 75,2 % des suffrages exprimés. Quand on regarde le vote des français d’Algérie on s’aperçoit

radio d'Alger peut annoncer que «l'armée s'est assurée du contrôle du territoire algéro-saharien». Mais les pustchistes échouent en métropole. À Paris, le gouvernement fait immédiatement arrêter leurs complices et l'on n'a à déplorer que quelques attentats au plastic, à Orly et à la gare de Lyon. En Algérie même, Challe se contente d'arrêter les représentants du gouvernement et n'arrive pas à rallier les officiers de haut rang à sa cause. Il se refuse à armer les civils de son camp. Il a toutefois

offrant les produits français à la concurrence européenne. La France est poussée à la modernisation. La consolidation du régime 1962-1968 L'année 1962 marque un véritable tournant, tout d'abord sur le plan institutionnel : après l'attentat du Petit-Clamart perpétré par l'OAS le 22 août 1962, le Général propose l'élection du chef de l'État au suffrage universel. Par cette réforme, il veut assurer à son successeur une légitimité démocratique nécessaire face aux parlementaires, qui supplée à la légitimité