Attente De Victor Hugo

toute possibilité de réhabilitation ou de deuxième chance (si le coupable le mérite…). Selon les articles 3 et 5 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, la peine capitale est une violation des droits fondamentaux de l'être humain. Victor Hugo a déjà affirmé : " Que dit la loi ? Tu ne tueras pas ! Comment le dit-elle ? En tuant ! " Le gouvernement ne devrait pas pouvoir condamner un acte meurtrier ainsi car, par cette logique, il se rend automatiquement coupable lui-même. Plusieurs études

évident, une unité et une originalité qu’il importe de mettre en valeur avec des instruments d’analyse appropriés. Même si les rapports des années précédentes donnent des conseils qui demeurent utiles, nous voudrions rappeler quelques-unes de nos attentes. L’introduction doit situer le passage, le mettre en contexte, apporter des éléments de caractérisation littéraire et générique. La lecture doit être juste et expressive autant qu’il est possible. Les vers ne doivent pas être estropiés ; on doit

de la première explosion du romantisme français. Par la suite, cette esthétique triomphe grâce aux succès des œuvres de Victor Hugo, d'Alexandre Dumas, d'Alfred de Musset et d'Alfred de Vigny.   Le développement culturel du 19ème siècle, en Europe, est donc fortement influencé par l'apparition du Romantisme, dont le style marquant des écrits de Victor Hugo dans son importante "Préface de Cromwell" (1827), "Ruy Blas" (1838), "Les misérables" (1862), "Lucrèce Borgia" et "Marie Tudor"

VICTOR HUGO – CLAIR DE LUNE Notes: Écrit en 1929 Poème qui vient du recueil Les Orientales Des sacs contiennent des grecs indépendantistes. A cette époque, guerre entre les grecs et les turcs. La Lune et la fenêtre ont des qualités humaines. Le 1er vers fait penser à la tranquilité et l'insouciance. La brise est agréable. La mer est comparée à une brodeuse. Les points de suspension provoquent une attente, un suspens. Il y a comme un élément perturbateur qui vient gêner la tranquilité du 1er

Littérature des Temps Modernes : Victor Hugo Attention : je mets ce cours à la disposition de tout le monde parce que je sais qu'il était difficile de prendre des notes vu la vitesse à laquelle allait Mme André. Elles ne sont pas parfaites, peuvent être très répétitives (vu que j'essaie de prendre le plus possible de ce qui est dit), et il manque quelques informations (date non entendue, nom mal compris, etc.). Ce cours est donc à prendre avec précaution car il n'est pas exclu que quelques erreurs

à l’aide de néologismes de prime abord incompréhensibles, puis, plus la lecture avance, plus le lecteur s’habitue et trouve un sens à ces mots grâce à leurs sonorités, plutôt brutale ici. Il se moque ensuite du lecteur en ne satisfaisant pas son attente de connaître le grand secret. Ainsi le genre poétique n’est pas seulement un genre sérieux et en jouant avec les mots il peut devenir humoristique. Mais les mots peuvent aussi être énigmatiques et n’avoir de sens clair que pour celui qui les a

aux femmes de la carrière extrait du livre Photo de groupe au bord du fleuve d’Emmanuel Gondala ou celui d’Étienne Lantier aux mineurs du Voreux dans Germinal d’Emile Zola ou encore le sacrifice du prêtre Cimourdain dans quatrevingt-treize de Victor Hugo qui chacun montre, avec un style différent, une force de caractère et de courage. L’émotion, ici, n’y est pas la même que pour le sentiment amoureux, il ressort de ces écrits un ressenti qui force l’admiration de ces personnages.

Cependant » / 13 « fortune ? ») III – Un exemple édifiant (l.13 « D’autres exemples » / 20 « droits ») IV – Les conditions d’un affranchissements (l.20 « Quelles lois » / 25 « la capacité ») « Fantine » (Les Misérables) – Victor Hugo, 1862 Comment Victor Hugo se fait -il avocat de la misère, au travers d’une fiction romanesque ? I – Introduction à la misère (l.1 « Qu’est-ce que » / 4 « société accepte ») II – Explication de la misère (l.5 « La sainte loi » / 9 « l’homme ») III

partout (L3) « jonchés de cadavres » et cela est assourdissant (L2) « scandalisé de ce bruit » (L4 « criaient ») Réalisme subjectif, bataille au ras du sol. Il n'y a absolument pas de grandeur épique ou mystique comme on peut le trouver au contraire chez Hugo, pas de parodie non plus, mais une bataille sans grandeur, sans héros. II)Fabrice, un héros déceptif a. Fabrice est un héros naïf (L28). Style direct, sans guillemets (L36). Il retranscrit ses pensées, nature enfantine, immature, superficiel

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