Attention les yeux !

réponse verbale, Pyrrhus fait un monologue, Andromaque est très froide et lui tourne le dos (l.6 «Mais madame, du moins tournez vers moi les yeux»), qui lui à l'air désespéré, il ne sait plus quoi faire pour attirer son attention, il en arrive même à lui faire du chantage par rapport à la vie du fils d'Andromaque: (l.30 «Vous couronner, Madame, ou le perdre à vos yeux»). Pyrrhus est capable du pire pour conquérir Andromaque. Dans ce texte, c'est le monologue et l'indifférence qui incarnent l'affrontement

*modère rétracté bossu : creux et bosse, passionné, exigent, se braque pour un rien, personne tjrs sur la défensive -le nez, les yeux et la bouche permettent d’échanger des informations entre le milieu et nous… plus ils sont petits, fermés et fins, plus ils séléctionnent ces informations avec le filtre de leur sélectivité. *Mains ils ne peuvent maintenir leur attention tout le temps. Ils se fatiguent vite d’observer, sentir ou goûter, mais en revanche cette prise de connaissance est plus fine et

que quatre autres que vous relèverez. « Tous les regards étaient tendus vers elle » - Ils ont faim et lui font un message subtil. « Mais Loiseau dévorait des yeux la terrine de poulet » - Son attention est dirigée vers elle. « Ses yeux se fermèrent, son front tomba » - Elle a perdu connaissance. « La jolie dame remua, ouvrit les yeux » - Elle est revenu à elle. 8. À la page 30, M. Follenvie appelle Boule de Suif de son vrai nom, Élisabeth Rousset. C’est la première fois que ce nom est prononcé

rythme du battement glauque de l’horloge, il commence à fermer les yeux. Il peut à peine voir Thérèse, il fait sombre tout autour d’elle. Il essaye de se rapprocher de son amour mais plus il avance plus elle recule. La raison de toutes ses inquiétudes est qu’il ne pourra plus la toucher, lui parler. Il ouvrit les yeux, sursautant de son siège de cuir, il se rendit compte de son erreur : le manque de compliments, de petites attentions envers son épouse, qui entrainèrent sa colère. L’élément perturbateur

marine. Ses yeux ne pouvaient se détacher de son occupation mais des bruits de pas vinrent la troubler. Elle aperçut un homme au loin, marchant d'une vif allure en direction de son banc. Il était seul, plutôt grand et bien formé, vêtue d'un costume aussi blanc que neige, une canne à la main et un cigare au coin des lèvres. Il s'arrêta au milieu du chemin, comme si quelque chose ou quelqu'un l'empêchait de continuer. C'est à cet instant qu'elle pût distinguer aisément son visage. Ses yeux et son regard

partager avec les siens ce qu'il avait découvert. Mais aucun mot ne parvenait à l'expliquer. Il essaya d'en parler aux autres, mais ceux-ci ne comprenaient pas. Ils voyaient bien qu'il avait changé, que quelque chose de magnifique irradiait de ses yeux et de sa voix. Ils avaient aussi ' remarqué qu'il ne portait plus de jugement sur rien ni per-sonne. Il n'était plus comme les autres. Il comprenait très bien chacun, mais personne ne pouvait le comprendre, lui. Ils croyaient qu'il était une incarnation

ni trop classe, ni trop branleur. Simple. Arrivé devant la glace, il se regarda, comme tous les matins, d'un œil encore endormi. Ses cheveux bruns, assez courts, avaient déjà la forme de la coupe qu'il voulait se faire. Il avait des cernes sous ses yeux marron, et une barbe naissante lui encadrait le bas du visage. Par contre, jamais de moustache, il n'aimait pas. La voiture démarra difficilement. A vrai dire, cela faisait trois jours qu'elle n'avait pas tourné et qu'il faisait en dessous de 0°C

Ella était une jeune femme ivoirienne de dix-huit ans ans très belle et chaleureuse. Elle avait de tous petits yeux noirs qui reflétaient sa sincérité. Courtaude et fine avec une très belle peau noire. Ella c’était la fille qui marchait avec une grande classe, une élégance dans les couloirs vieillard et sombre de l’IUT de Rambouillet. Ella faisait très attention à son image extérieure toujours bien habillée mais aussi toujours bien coiffée. Elle portait toujours des rajouts pour pouvoir changer

          Le texte et le questionnaire de la 1° partie (questions + réécriture) sont remis aux élèves. Ce texte doit être conservé par ceux-ci : il sera utilisé pour la seconde partie (rédaction)          Attention toutefois à ce que les candidats ne conservent pas le texte sous les yeux durant l’épreuve de dictée.                   L’utilisation du dictionnaire ou de tout autre document est interdite.          Il ne sera répondu à aucune question concernant le sujet ou le texte.           

L’œil astigmate 1 Notions fondamentales Jusqu’ici, nous avons considéré des yeux dont tous les dioptres les constituants sont des calottes sphériques ayant le même axe de symétrie. Il existe aussi des yeux dont l’un ou plusieurs des dioptres sont des calottes toriques dont les deux plans de symétrie se coupent suivant l’axe commun des dioptres. Ces yeux seront dits astigmates réguliers. Qu’est-ce qu’une calotte torique ? Un tore est une surface géométrique que l’on construit en faisant tourner un