Au-delà du principe de plaisir

la collectivité ? Pour les épicuriens, le bonheur est un état de calme intérieur provenant d’un travail individuel sur soi. L’homme est heureux à partir du moment où il atteint l’ataraxie. Or pour atteindre l’ataraxie, l’homme doit se détacher des plaisirs superflus ; il doit se contenter des besoins essentiels. Il doit également se détacher des dépendances et mener un bonheur autarcique. Dans cette conception du bonheur, on voit bien que l’individu ne construit pas son bonheur grâce à une aide extérieure

permettre le dialogue et la cohésion au sein d'une famille, et de quelle manière reflète-t-il les différences sociales ? Mais ne constitue-t-il pas un moyen de mieux connaître et appréhender l'autre et l’inconnu ? I. Le repas, instant d'échange et de plaisir A. Le repas familial Le rituel du repas familial témoigne de l'amour et l'attention que nous portons à notre entourage. Douglas pense que la nourriture et les repas sont des moyens de communication. En effet, c'est un lieu de réunion, d'échange

des déterminismes ? Autrement dit, la conscience de soi rend-elle plus libre ? 1-      Avons-nous un libre accès à la conscience de soi ? A-    un «  moi » qui est multiple La question « Qui suis-je ? » peut sembler insolite dans la mesure où, au-delà du simple fait de décliner son identité, personne d’autre que moi n’est mieux placé pour y répondre. Cependant, si on me demande une réponse exacte, voire scientifique, ce sentiment d’évidence s’évanouit rapidement. En effet, la pensée de ce « soi »

élevée, sans peur constante, placée en dehors de toute crainte et de tout désir » (4, p. 727). Le bonheur auquel conduit la vertu n'est donc pas un bonheur au rabais, mais au contraire une plénitude, une affirmation de soi, une confiance en soi au-delà de toute crainte, et la certitude que cette joie profonde est inébranlable et durera toujours. Comprendre pourquoi la vertu permet d'accéder au bonheur, c'est comprendre ce que le sage appelle vertu. Terme quelque peu désuet aujourd'hui la vertu est

Schopenhauer est difficile à situer dans l'histoire de la philosophie : l'étiquette de romantisme semble inévitable, entraînée par le thème de la douleur universelle et du spleen, ou, plus simplement, par la chronologie : sa thèse (De la quadruple racine du principe de raison suffisante) est de 1813, son œuvre majeure (Le Monde comme volonté et comme représentation) est de 1818. Son pessimisme, sa misogynie, son amour des animaux, son horreur du bruit font partie de sa philosophie tout autant que de sa biographie

aimable encore ; vous feriez chérir le despotisme. Ce n’est pas la première fois, comme vous savez, que je regrette de ne plus être votre esclave ; et tout  monstre  que vous dites que je suis, je ne me rappelle jamais sans plaisir le temps où vous m’honoriez de noms plus doux. Souvent même je désire de les mériter de nouveau, et de finir par donner, avec vous, un exemple de constance au monde. Mais de plus grands intérêts nous appellent ; conquérir est notre destin ; il faut

distinction que fait Cicéron entre religion et superstition. C’est le 1ier penseur théoricien a véritablement écarter les deux notions. La droite raison apparaît pour la religion. Alors que pour superstition, faiblesse d’esprit qui va surtout être un principe d’illusion, de croyance à tendance magique. Il faut là reprendre une étymologie que donne Cicéron de religio, qui viendrait de religare c'est-à-dire relier, il faut de la culture. • Religion et pouvoir De la Nature des Dieux. « La religion

Le terme économique vient de 2 mots latins : 1) Ocos, c’est-à-dire maison, et de 2) Lomos, signifie ordre, loi, règle, et principe. L’économie est conçut sur un point d’étymologie d’après l’administration. Il faut dire que les structures sociales à cette époque sont fortifiantes de l’emploi. La société à besoin de philosophie. Avant les rapports marchandes n’existaient quasiment pas. Et les entreprises avaient des dimensions tout à fait artisanales. Dans l’atmosphère chrétienne du moyen âge,

proposée dans le texte. Dans ce premier paragraphe, Hume ne débute pas en présentant sa thèse mais en rappelant au contraire la thèse adversaire qu'il ne soutient pas. C'est en ce sens que dans ce passage, il en profite pour souligner les principes de la thèse adversaire qui lui semblent les plus absurdes sur lesquels se basent les philosophes croyant à la conscience et de ce fait, à l'existence du soi. « Il est des philosophes qui imaginent que nous sommes à chaque instant intimement conscients

que nous ne le considérons comme tel qu’en le referant au monde extérieur, et à notre monde intérieur et sensible = ensemble que nous qualifions de «réalité sensible». Or selon Hegel cette pseudo réalité est illusoire ; la véritable réalité est au delà des objets conçus par conscience et sens. N’est réel que «ce qui est en soi et pr soi (...)et qui, tt en se manifestant dans l’espace et dans le tps, continue d’exister en soi et pr soi et est ainsi véritablement réel». Or c’est précisement cette