Au Sujet D Un Enfant Monstrueux

un peintre parisien qui a fui Paris suite à son échec au Salon des refusés. Il abandonne presque complètement son art, s'oubliant dans sa passion pour Christine, sorte de substitut affectif à son échec artistique. Cet amour donnera naissance à un enfant, Jacques. Son meilleur ami, et peut-être le seul, est Sandoz. Tombe dans une dépression noire dû en partie à son caractère instable. Christine : Amante de Claude, elle incarne la femme dévouée à son homme, laissant sa rivale, la peinture, prendre

qu’elles encadrent comme un tableau ou un spectacle de la cité neuve haussmanienne où triomphent l’industrie et la banque. Déréalisation produite par la féerie moderne : les nantis ne sont pas comme nous (« Les yeux des pauvres »), ou encore les enfants qu’on croirait faits d’une autre pâte (« Le joujou du pauvre »). Insolence de la richesse et de l’heureuse oisiveté qui s’exhibent « Les Veuves », ou jérémiades ridicules « La femme sauvage… »). Le monde des misérables, exclus de la fête impériale

la deuxième moitié du XIXe siècle (misère, alcool...). C'est avant tout une œuvre de pitié qui veut toucher, et insister sur la nécessité urgente de réformes. Progression de l'intrigue : En mai 1850, Auguste Lantier, Gervaise Macquart et ses deux enfants, viennent d'arriver de Plassans (Aix-en-Provence) et logent depuis quinze jours à l'Hôtel Boncoeur (Paris). Abandonnée par Lantier, Gervaise commence alors une nouvelle vie, en tant que blanchisseuse, et traîne avec le zingueur Coupeau, qui lui fait

Franco qui est son allié. L’objectif n’est pas militaire, le but étant de tuer un maximum de civils, femmes, enfants et vieillards, les hommes de la ville étant partis combattre aux côtés des républicains. Les bombardements durent 3 heures, avec des bombes explosives et incendiaires ; 70% de la ville est détruite. Le raid fera 2000 victimes environ, essentiellement des femmes et des enfants. Oeuvre de dénonciation et de protestation contre le bombardement de la ville Basque Guernica (qui a donné

banalité du mal ». Cette expression ne recouvre ni thèse, ni doctrine, bien que j’aie confusément senti qu’elle prenait à rebours la pensée traditionnelle - littéraire, théologique, philosophique - sur le phénomène du mal. Le mal, on l’apprend aux enfants, relève du démon il s’incarne en Satan qui_ « tombe du ciel comme un éclair » (saint Luc, 10, 18), ou Lucifer, l’ange déchu (« Le diable lui aussi est un ange » - Miguel de Unamuno)  dont  le  péché  est  l’orgueil (« orgueilleux comme Lucifer »)

blâme donc l'homme et le rend semblable à un monstre, du fait de son comportement. ------------------------------------- 2- Michel de Montaigne : Au sujet d'un enfant monstrueux --------------------------- I- Une description du monstre --> Une découverte progressive de la monstruosité -> Insiste sur l'humanité avec le lexique "enfant" --> Une description clinique -> Lexique du corps précis et détaillé II- Au service d'une argumentation qui ouvre sur réflexion plus longue

Dissertation de Littérature niveau Lycée sur le sujet du baccalauréat 2006 : "Pourquoi un auteur choisit-il une fiction pour faire passer ses idées plutôt que d'écrire un essai ou une critique ? Serait-ce par goût, pour raisons politiques, religieuses ou de bienséance ?". Celle-ci se base sur La légende de l'homme à la cervelle d'or tiré de l'oeuvre Les Lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet. Extrait: Le mot important à mettre en exergue est pourquoi. Il s'agit de dégager les raisons pour

Massine et les Ballets russes de Serge de Diaghilev. Picasso revient ensuite pendant quelques années au figuratif, avec notamment des portraits familiaux .Il se rapproche du mouvement surréaliste. Les corps représentés sont difformes, disloqués, monstrueux mais d'un surréalisme personnel. Son œuvre la plus emblématique de la guerre en Europe est Guernica qu’il a peint en 1937 pour le pavillon espagnol de l’exposition universelle de Paris. C’est une fresque murale devant s’inspirer de la guerre civile

Baragli • Genre : Tragédie • Durée : 110 minutes • Année et lieu de production : 1969, film tourné en Cappadoce, à Grado et à Pise • Dates de sortie : o Italie : 28 décembre 1969 o France : 30 janvier 1970 4 - Le sujet de ce film est donc le mythe de Médée, d’après la tragédie d’Euripide. Ainsi Pasolini a donc recours deux mythes principalement : celui des argonautes qui représente la première moitié du film, puis celui de Médée pour la seconde parti. Effectivement

bout, la chose qu'il tient n'est pas clairement évoquée , elle reste vague. Relique vénérée introduit l'idée de culte. les petits enfants qui me poursuivent... les petits enfants et les vieilles femmes qui me poursuivent à coups de pierre, poussent ces gémissements lamentables : "Voilà la chevelure de Falmer." ---> Dans cette scène de lapidation, Les petits enfants et les vieilles femmes, donc deux extrêmes se rejoignent dans la haine de Maldoror, l'ennemi commun. Le nom de la victime et la nature