Au Tribunal D Amour

protection de la qualité de vie et non comme moyen contraceptif. Je tiens à souligner ce point, car il est très important dans ma réflexion. L’avortement n’est pas un meurtre en autant que le fœtus n’est pas encore dans un stade très avancée. Nul tribunal n'a jamais concédé à l'embryon un droit subjectif ou même un droit fondamental à la vie. Selon la loi, L’embryon n’est pas un être à part entière. Il n’existe pas. L’avortement n’est pas condamnable. Nos pensées vis-à-vis une interruption de grossesse

Valère et Marianne, il organise les deux mariages et Harpagon récupère sa cassette qui avait disparu. Jean Racine (1639-1699) : Les Plaideurs Résumé Un juge, Perrin Dandin, fanatique de son métier ne veut plus quitter le tribunal; son fils est obligé de l’enfermer et de le garder à la maison. Pour l’occuper à domicile, ou lui fait juger un chien qui vient de manger un Chapon; son secrétaire l’Intimé défend le coupable, son portier Petit-Jean plaide contre le chien. Le fils

société du canal. En 1851, Mme Aubert se rend à Paris avec son fils pour suivre les actions en justice contre Jules Migeon et les créanciers qui se disputent la Société du canal Zola. Les créanciers font déclarer en banqueroute la société par le tribunal de commerce d'Aix-en-Provence en 1852. Le 10 mai 1853, la Société du canal Zola est bradée aux enchères. Elle est rachetée par ses créanciers et devient « Migeon et Compagnie »[4]. Émilie Aubert, sa mère, totalement démunie, s'occupe de l'orphelin

une gifle (un « soufflet » dans le langage de l'époque). Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue le père de Chimène en duel. Chimène essaie de renier son amour et le cache au roi, à qui elle demande la tête de Rodrigue. Mais l’attaque du royaume par les Maures donne à Rodrigue l’occasion de prouver sa valeur et d’obtenir le pardon du roi. Plus que

Problématique : En quoi la mise en scène tragique de la mort de l'hérïne permet-elle une fin morale ? Introduction : -dernière scène : aveu et dénouement. -Phèdre avoue a Thésée le crime dont elle est coupable, celui d'Hyppolyte car il a rejeté son amour. -Phèdre s'empoisonne → mort sur scène alors qu ela règle de la bienséance l'interdit + mort nécéssaire car elle est meurtière. -texte en vers → alexandrins. Lecture analytique : Un dénouement tragique. Un dénouement hors du commun. L'aveu de Phèdre :

un revers de savate,Les fait danser, danser aux sons d’un vieux Noël ! Et les pantins choqués enlacent leurs bras grêlesComme des orgues noirs, les poitrines à jourQue serraient autrefois les gentes damoisellesSe heurtent longuement dans un hideux amour. Hurrah ! les gais danseurs, qui n’avez plus de panse !On peut cabrioler, les tréteaux sont si longs !Hop ! qu’on ne sache plus si c’est bataille ou danse !Belzébuth enragé racle ses violons ! Ô durs talons, jamais on n’use sa sandale !Presque tous

lois de la nature, la perpétuation de l'espèce. Ce paradoxe est renforcé par le discours de Polly Baker, fille-mère qui est condamnée (à l’ex-communion, à recevoir des coups de fouets et doit payer des amendes) au titre de ces interdits. Face au tribunal, elle déclare qu'elle a « peine à croire que ce soit un grand crime d'avoir donné le jour à de beaux enfants que Dieu a doué d'âmes immortelles et qui l'adorent ». Elle ajoute d'ailleurs que si elle a « transgressé les préceptes de la religion »

premier chapitre par son air, sa démarche et surtout par ses paroles et son comportement. C'est Julien qui est décrit le plus précisément dans le chapitre 4, mais Stendhal emprunte plusieurs détails au portrait de Berthet paru dans La Gazette des tribunaux. LIVRE PREMIER — CHAPITRES 6 À 10 Naissance de l'amour RÉSUMÉ La première rencontre de Julien et de Mme de Rênal a lieu à l'entrée de la maison. Ils sont aussi surpris l'un que l'autre : elle, par « cette pauvre créature », ce garçon beau

mort, puis se tuera à son tour. Se montrant alors, le jeune homme, au cours d'un dialogue très pathétique, lui demande de le tuer de sa propre main. Mais la jeune fille refuse, déclare attendre réparation d'un combat régulier, ne lui cache ni son amour ni l'espoir qu'il puisse se défendre contre le roi et contre elle ; ils s'aiment mais suivront leur devoir. Dans la rue, se manifeste le contraste entre les sentiments de Rodrigue et ceux de don Diègue : trouvant enfin son fils, il lui dit sa joie

service de lvque dAgde, il est tonn devant ses mimiques. Chapitre 19 La maladie de son plus jeune fils rveille les remords de Mme de Rnal, mais cette crise augmente lamour de Julien. Cependant, dans la petite ville, on ne tarde pas parler de leur amour, et certains esprits malveillants sempressent de faire natre dans lesprit de monsieur de Rnal des soupons quelque peu justifis. Une lettre anonyme est envoye. Chapitre 20 Mme de Rnal a lide de composer de fausses lettres pour dtourner les soupons