Audit Interne Et Gouvernance D Entreprise

DES NORMES INTERNATIONALES D’AUDIT INTERNE DIARD Christine Maître de conférences c.diard@sciencespobordeaux.fr TREBUCQ Stéphane Maître de conférences trebucq@u-bordeaux4.fr Equipe de recherche en Contrôle et Comptabilité Internationale IAE de Bordeaux – Université Montesquieu Bordeaux IV ANALYSE EXPLORATOIRE DES NORMES INTERNATIONALES D’AUDIT INTERNE Résumé Publiées initialement aux Etats-Unis en 1999, puis en 2001 en France, les normes d’audit interne posent les principes des bonnes pratiques

Introduction : * Chapitre I : Le code marocain de bonne gouvernance : 1. Présentation. 2. Objectif. 3. Champ d’application. 4. Processus de révision. * Chapitre II : Principes généraux de bonnes pratiques de gouvernance d’entreprise : 1. Les fonctions de L’organe de gouvernance. 2. Responsabilités et devoirs des membres de l’organe de gouvernance. 3. Les comités spécialisés de l’organe de gouvernance.  4. Les droits des actionnaires et associes. 5

Introduction : Expression des relations de pouvoir entre les acteurs de l’organisation (internes et externes), qui cherchent à influencer le système de décision afin de privilégier un intérêt et un objectif personnels. Devenue une préoccupation majeure avec le développement du pouvoir de l’actionnaire dans l’entreprise et leur mode de financement désintermedié sur le marché financier. Ces relations vont créer des espaces de confrontation entre deux formes de pouvoir : Le pouvoir de propriété

CODE MAROCAIN DE BONNES PRATIQUES DE GOUVERNANCE DES ENTREPRISES ET ETABLISSEMENTS PUBLICS ANNEXE AU CODE MAROCAIN DE BONNES PRATIQUES DE GOUVERNANCE D’ENTREPRISE SOMMAIRE Préambule .................................................................................................................................................... ...................................................................................................................................... ..........................

Table des matières Remerciement 4 1 Identification de l’organisme : Bank Al-Maghrib 5 1.1 Présentation et statut de la BAM 5 1.2 Rôle et mission de la BAM 5 1.3 Valeurs de la BAM 5 1.4 Organigramme de la BAM 7 2 Cadre réglementaire et gouvernance de la BAM 7 2.1 Les textes de loi 8 2.2 Organes de contrôle 9 2.2.1 Commissaire du gouvernement : 9 2.2.2 Cour des comptes : 9 2.2.3 Commissaire aux comptes : 9 3 Evaluation de la performance 11 3.1 Concept de la performance 11 3.2 Indicateurs de la performance

BAROMETRE GOUVERNANCE SYSTEMES D’INFORMATION Cadre d’évaluation d’une démarche de gouvernance du système d’information e votr luer ance Ev a e rn v gou heures en 4 « Promouvoir l'usage des systèmes d'information comme facteur de création de valeur et source d'innovation pour l'entreprise » Baromètre Gouvernance Système d’Information Cadre d’évaluation d’une démarche de gouvernance du SI Publications du CIGREF en 2006-2007 Analyse et Gestion des risques dans les grandes entreprises : impacts

CODE MAROCAIN DE BONNES PRATIQUES DE GOUVERNANCE DES ENTREPRISES ET ETABLISSEMENTS PUBLICS ANNEXE AU CODE MAROCAIN DE BONNES PRATIQUES DE GOUVERNANCE D’ENTREPRISE SOMMAIRE Préambule .................................................................................................................................................... I - Rôle de l’Etat ...................................................................................................................................... II - Rôle

Plan * Introduction I- Aperçu général sur l’audite * Définition * Les premiers éléments à considérer pour planifier l’audite * Les étapes de planification d’un audite II- Les risques de l’audite -le risque inhérent -le risque lié eu contrôle - le risque de non détection III- Le seuil de signification -définition

Partie III. DD, RSE et parties prenantes III.1 Pourquoi gérer son entreprise de manière durable et responsable ? Les organisations existant de par le monde et leurs parties prenantes sont de plus en plus conscientes de la nécessité d’adopter un comportement responsable, et des bénéfices qui y sont associés. L’objectif de la responsabilité sociétale est de contribuer au développement durable. Les performances d’une organisation vis-à-vis de la société dans laquelle elle opère et vis-à-vis de

véritable schisme qui s’est instauré au fil des ans, entre l’économie réelle et l’économie financière. Cette décorrélation, définition même de la bulle, conduit toutes les places financières à s’interroger sur la nouvelle valeur des actifs et donc des entreprises. Dans une économie dominée par le court terme, il faut certainement revisiter les modèles d’évaluation des actifs et notamment des goodwill. En effet, dans la plupart des cas, l’évaluation de ces derniers est minoritairement fondée sur une approche