Augustinisme

paraissait comme une idée pure qui seule pouvait remplir la capacité de l’esprit. L’amour classique, au contraire, était la source du malheur. La conception de l’amour classique était influencée par le pessimisme classique provenant du jansénisme48 et augustinisme qui offrait une vision pessimiste de l’homme déchu par suite du péché originel : l’homme est par sa nature mauvais. La vie intérieure des héros classiques alors était pleine d’agitations ; les fondements de la vie affective sont devenus mouvementés

Universalis, Corpus 12, Inceste-Jean Paul, Encylopaedia Universalis, Paris, S.A., 1966. Guide pédagogique pour le professeur de français langue étrangère, sous la direction d’André Reboullet, Hachette, Paris, 1971. Lafond, Jean, La Rochefoucauld : augustinisme et littérature, Klincksieck, Paris, 1986. Lectures de Mme de Lafayette, Maurice Laugaa, maître-assistant à l’Université de Paris VII, Librairie Armand Colin, Paris, 1971. Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves, Larousse, 1955. Madame de Lafayette

n'en a pas moins toujours laissée ouverte l'interprétation de la doctrine chrétienne, jusque dans ses retombées concrètes. En témoigne précisément l'espace interprétatif de la compréhension anthropologico-théologique de l'existence chrétienne (augustinisme, scolastique et humanisme du XVIè siècle) dans la condition historique. De surcroît, l'opposition que nous venons de mettre en évidence, entre l'impératif unilatéral des droits de l'homme centrés sur l'individu, et l'humanisme chrétien, ne doit

XVIè siècle, comme ac Guy Coquille et Pierre Pithou. Résumé de ces doctrines politiques : − indépendance de la puissance temporelle (= du roi) à l'égard du pape. « Le roi est empereur en son royaume ». Négation de la théocratie pontificale = augustinisme politique, au nom de la séparation ds 2 pvrs, qui doivent rester chacun ds leur domaine. Séparation des 2 sphères. Avec chacun des compétences bien distinctes (le roi et le pape) − Limites à l'autorité pontificale. Pts de vue du temporel et

fragmenté. L’Etat s’étiole au profit de la féodalité Une tradition d’érudition se perpétue néanmoins. On a des écrits même si certains ont été perdus : (La Politique d’Aristote, Le Corpus Juris Civilis de Justinien est « inaccessible ») politique= Augustinisme politique subordination de l’Etat à l’Eglise, mais aussi par corollaire, limitation du pouvoir du roi. Thierry de Théodebert (royaume d’Austrasie, capital Reims puis Metz, 6ème siècle) : « Le souverain bien pour les rois est de cultiver la justice

Descartes en 3 volumes, Paris, Garnier. Jean-Marie Beyssade, La philosophie première de Descartes, Flammarion, 1979. Henri Gouhier, Les premières pensées de Descartes, Vrin, 1958. La pensée métaphysique de Descartes, Vrin, 1962. Cartésianisme et Augustinisme au XVIIIe siècle, Paris, Vrin. Nicolas grimaldi, L’expérience de la pensée dans la philosophie de Descartes, Vrin, 1978. Martial Guéroult, Descartes selon l’ordre des raisons (2 volumes), Aubier-Montaigne, 1953. Jean-Luc Marion, Sur la théologie

néo-platonicienne). Scot Erigène lui-même, fut accusé d'hérésie lors d'un débat sur la prédestination. On peut citer de lui "De praedestinatione contre Gottschalk (théologien allemand (v.805-v.868) Gottschalk a prêché une doctrine sur la prédestination, d'un augustinisme extrème.). De divisione naturae; Commentaire de Boèce*. La philosophie de Scot Erigène, influencée par le néo-platonisme*, a été considérée comme contenant des thèmes panthéistes. Son oeuvre "De divisione naturae" fut condamnée en l2l0. - Soufisme:

la raison, 171. Si vellem ? 186. L. et Mélanchton, voir plus bas. L. homme allemand, 62, 90, 92, 128, 137. II. — DIVERS Aléandre, 89, 101, 113-154, 121, 125. Albert de Brandebourg, 10, 50, 51, 52, 59, 60, 136. Aristote, 7, 42, 55. Augustinisme, 41. Behem, 72. Biel, 25-27, 55. Bourgeoisie, 65-67. Bucer, 116. Caïetan, 37, 93-96, 101, 122. Carlstadt, 139-140, 153-154, 163. Concile de Trente, 45 n., 192. Cranach, 118. Denifle, 11 et sv, 23 et sv, 74. Diable, 127-128, 179. Dürer