Augustinisme

Afrique du Nord : dit Arendt du livre de St-Augustin, St-Augustin a réussi à faire passer de l'empire de Rome à l'église romaine le garant de la légitimité des rois. Si l'Empire s'est écroulé, l'église a subsisté → il faut se tourner vers elle. = Augustinisme politique : régime politique de 410 à la révolution, on se tourne vers l’ecclésiastique pour les pouvoirs politiques. Régime politique = fondement religieux, sur la mort de Jésus. 496 sur le territoire qu'était celui de Gaule, Clovis a fondé une

sur la biographie de Pascal et la cadre historique. Le cours invite les élèves à prendre conscience de « l’effrayant génie » qu’a été Pascal. On insiste ensuite sur le contexte idéologique (le libertinage et ses causes) et le contexte religieux (Augustinisme / Jansénisme / Réforme / Contre Réforme). L’appui sur la lecture de la lettre 12 des Provinciales et du discours de Tout-à-Tous à la belle Sainte-Yves dans L’Ingénu de Voltaire (chap.16) permet de souligner l’importance de la question religieuse

Stoïcisme : doctrine qui stipule que le bonheur découle de la vertu et que l’on doit être indifférent à ce qui influence notre sensibilité (n.b. la plupart des précepteurs de l’époque étaient des esclaves). - Scepticisme (en particulier Montaigne) - Augustinisme - On passe par une époque de scepticisme qui semble alors quasi-nécessaire : on n’a pas la vérité, mais on la cherche. C’est d’ailleurs ce scepticisme qui a rendu possible l’avènement de la science moderne. - Montaigne apparaît comme une figure

Thomas fut consacrée à la critique destructive d’une forme d’augustinisme qui conduisit Étienne Gilson à la découverte et à l’analyse mémorable du phénomène qu’il caractérisa comme « augustinisme avicennisant ». Le docteur le plus représentatif en fut sans doute Roger Bacon, au XIIIe siècle. Cet « augustinisme avicennisant » obéit à la nécessité de « crever le plafond de l’univers avicennien » (Gilson) pour aller jusqu’à Dieu. Il transfère à Dieu « en personne » les perfections et la fonction

compte au nombre des plus grands, le maître Louis de Léon nous semble se situer au cœur des dramatiques tensions dans laquelle la théologie des modernes avait jeté les spirituels, après la consolidation de la Réforme protestante et face à l’ultra-augustinisme d’un Baïus. (9) Il faut mesurer ici l’exacte portée de la doctrine luisienne et la raison de son influence. Précurseur de Juste-Lipse dans l’apparition d’un catholicisme stoïcien, inspirateur du premier Bérulle admirateur de ses Nombres de Cristo

détourner cette distinction à leur profit pour dire qu’entre les 2 citées il n’y a pas une véritable séparation mais une hiérarchie. La cité terrestre est inférieure et doit obéir à la céleste. Tout pouvoir vient de Dieu. Théocratie pontificale : Augustinisme politique = fruit d’un détournement politique de l’œuvre littéraire de Saint Augustin. Le roi est encore faible, les royaumes nationaux sont faibles, en pleine période féodale dans toute l’Europe chrétienne, les rois n’arrivent pas à se distinguer

Chapitre Deuxième AUGUSTIN, DOCTEUR DE LA GRACE II.0 Introduction Augustin est qualifié ainsi grâce à l’élaboration systématique ou discursive de ce que l'histoire des idées a retenu sous le nom de « doctrine augustinienne de la grâce » ou d'« augustinisme théologique ». Certaines expressions émaillent sa pensée, à savoir « justice de Dieu, justice de l’homme » et mettent en exergue le problème de la corrélation de la grâce de Dieu avec le libre arbitre et la liberté humaine. Dans sa théologie, le

précisément de transition entre les deux attitudes. Et lui précisément s'en va dormir! Conclusion La Fontaine, qui connaissait parfaitement les mouvements de la libre pensée de l'époque, a été à plusieurs reprises marqué par le religieux (augustinisme, molinisme, quiétisme) ; cette fable, sous ses dehors amusants et burlesques, ne fait que dévoiler cette attitude ambiguë et sans doute sincère. Un hémisphère dans sa chevelure Etude méthodique I- Caractère Prosaïques / un poème en prose •

d’En Haut, obéissent eux-mêmes à tes lois »47. Ce ne fut que plus tard, au IX e siècle seulement, que Jonas d’Orléans († 841), Agobard de Lyon († 838) et surtout Hincmar de Reims († 882), déve- loppèrent la thèse extrême, improprement appelée « augustinisme politique », de la soumission de la royauté au sacerdoce48. En revanche, si les princes n’eurent de cesse d’intervenir dans les nomi- nations épiscopales, c’était précisément parce qu’ils (re)connaissaient l’aspect politique du pouvoir des

l’autorité n’est pas sans limites, le principe est le maximum d’obéissance mais dans les limites de ce que la foi permet. Perversion de l’enseignement d’Augustin en politique, augustinisme politique. Paragraphe 2. La déviation de la théorie de l’augustinisme politique Cette formule est récente, 20ème siècle. Cet augustinisme politique va bien au-delà de la pensée de St Augustin, au-delà de la distinction, c’est une perversion du sens initial. Cela est inspiré de St Augustin mais va supprimer cette