Autel

raison pour laquelle, chaque cité honore son dieu dans un espace qui lui est réservé au coeur de la cité des hommes. Un sanctuaire est un espace sacré, délimité et protégé par un mur d’enceinte, à l’intérieur on trouve un temple dédié à un dieu, un autel pour les sacrifices, les trésors constitués par les offrandes des fidèles et que l’on renferme dans de plus petits temples. Parfois également, on trouve un théâtre. Chaque sanctuaire honore son dieu mais n’oublie pas pour autant les autres dieux

de sept, les deux principaux auteurs sont Ronsrd et du Bellay. En 1553 la Pléiade est composée du chef de groupe Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard, Guillaume des Autels, Etienne Jodelle et Jean de la Péruse. Puis en 1555 Jacques Peletier remplace Guillaume des Autels et en 1554, à la mort de la Péruse, Rémy Belleau le remplace. Enfin, à la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat entre dans le groupe. Jodelle s’est occupé particulièrement du théâtre (la tragédie

mais il y a également Thésée qui tua le Minotaure. La religion remplit la vie quotidienne: les lieux où les dieux étaient honorés étaient sacrés; on les appelle des sanctuaires. Il y en avait partout, en particulier dans chaque maison (un petit autel), dans les cités (des temples), dans la campagne (un bois ou une source sacrée). Les fêtes religieuses étaient nombreuses (plus de 120 jours de fêtes par an pour la cité d'Athènes) et cela donnait souvent lieu à des sacrifices importants comme les

soulignent ses actions pieuses. Ces actions en question sont diverses et se veulent nombreuses ; elle batit un temple, l'orne, s'entoure de victimes, brule de l'encens. Elle va jusqu'au desespoir et la soumission totale à la déesse :" Meme au pieds des autels que je faisais fumer,/ j'offrais tout a ce dieu que je n'osais nommer." B. Phedre donne des appelations à son amour et au fruit de ses désirs ; Hyppolite : · Elle fait souvent référence a Venus pour parler de l'amour " Puisque Vénus le veut " "Vénus

relève aussi des oppositions, le premier tableaux se passe a l'extérieure. « ciel » (v2). Cette extérieur est marquer par la violence car il se passe sur un champs de bataille « broie »(v5) « croulent » (v4). Le 2eme tableau se passe a l'intérieur « autel » encens »(v10). Cette intérieur est calme comme le montre « bercement » (v11) «  s'endort » (v11) T: Ce premier axe nouas a permis de voir comment Rimbaud avait structuré son sonnet en deux description symétrique mais aussi opposé. Nous allons

Amour contre la religion : adverbe « tout » : il devient une divinité Adoration : champ lex de la religion « j’adorais Hippolyte » Métonymie : « ma bouche implorait » : désigne Phèdre : absence d’unité de l’être Lui fait offrandes : « au pied des autels que je faisais fumer » c) Elément perturbateur « superbe ennemi » oxymore : il est dédaigneux et amour non réciproque donc guerre contre la passion qu’elle ressent Passion irrationnelle et contre la raison car hors mariage : c’est un combat II/

uniquement après les avoir consacré. Le cercle magique Le cercle magique est à la base de tout rituel ou acte magique, il sert à entourer votre autel d'une énergie protectrice. Pour invoquer le cercle magique, tracez le avec le doigt, un athamé ou une épée; faites trois fois le tour du périmètre en vous concentrant, puis placez vous devant votre autel et prenez le bol de sel en vous tournant vers le Nord. En partant du nord, avec le bol dans les mains, refaites le tour du cercle en récitant:

(on le remarque avec les allitérations en « F » + assonance en « on » qui donne une richesse phonétique) Regroupement de quasiment tous les sens = spectacle complet Beau spectacle car : * Décors: - Intérieur (église de la Madeleine + autel + sacristi) - Extérieur (« seille » l.29 = notation spatial précise + panorama de Paris + complément circonstanciel de lieu qui nous permet de nous repérer l.30, 31, 32 = effet réaliste, notion géo, toponymie (Noms de lieu) * Spectacle

tout entièreC- Les efforts de Phèdre pour vaincre cette passion qui montrent une femme émouvante ( et qui se terminent par échecs) -recourt à différentes tentatives : *fait ds offrandes, bâtit un temple. chp lexical du religieux : temple, voeux, autels, encens, Fait bien les choses. CC de temps : à toute heure, adjectif assidus, recours à l’imparfait je cherchais, brûlait, , implorait, j’adorais, faisais, offrais = le temps passé, valeur durative*l’évite partout*se fait passer pour 1 marâtre ;

d’un vocabulaire religieux pour évoquer sa relation à l’être aimé : elle affirme ainsi « ador[er] Hippolyte » (v.286), et l’assimile à un « dieu » à qui elle « offr[e] tout » (v.288), c’està-dire toutes les offrandes qu’elle place « au pied des autels » qu’elle fait fumer. (v.287) Malgré tous ses efforts, enfin, Phèdre reconnaît l’ironie du sort qui rend la présence d’Hippolyte sensible partout où elle se trouve (elle le voit « sans cesse », v.286), y compris dans l’intimité de son couple :