Auteur Masculin Narrateur Féminin

codes linguistiques. LE RETOUR AU RÉEL À TRAVERS LE TRAVAIL Pendant les années 60-70 le structuralisme se détache complètement de la réalité, en arrivant à déclarer qu’elle n’existe pas du tout. Mais à partir des années 80, les auteurs commencent à réagir à ce formalisme excessif (les lecteurs ne comprenaient pas qu’est-ce qu’ils lisaient) = on assiste donc à un retour au réel , au sujet , au récit ,

pensée. Le message que l’œuvre est censée transmettre. N’importe quel thème peut constituer l’histoire du bouquin. & Écriture de Proust =/= plus ou moins romanesque que celle de Stendhal. Pas de règles auxquelles on pourrait confronter l’écriture d’un auteur & autant de visions du monde que de romans / romanciers. Allégresse du monde stendhalien très éloignée de la lourdeur, noirceur du monde proustien. Dire que le roman n’obéit pas à des règles préétablies = dire que le roman invente ses propres règles

sont limitées par la loi au profit du parlement, il y a séparation des pouvoirs. Les auteurs français prennent l’habitude d’observer & de trouver des idées en Angleterre. L’Encyclopédie, éditée par Diderot & d’Alembert (1751) s’inspire de la Cyclopedia de Chambers parue à Londres en 1728. 3) La datation des Lumières (1715-1789) 1715 = mort

La «dictée magique» à laquelle les deux expérimentateurs se sont livrés produit une écriture fusionnelle où la voix de chacun n'est plus identifiable, des phrases à effet hallucinant telles «Pneus pattes de velours», ou hilarant, à en croire les auteurs : «Sur ces plages de galets tachés de sang, on peut entendre les tendres murmures des astres.» Quant au lecteur, désorienté par certaines alliances de mots sémantiquement incompatibles («Notre squelette transparaît à travers les aurores successives

d'espionnage. Il est communément assimilé à un sous-genre du roman policier, à tort selon certains spécialistes qui le rattachent à la « fiction militaire », voire à la « fiction politique ». La genèse de ce genre est communément rattachée à des auteurs britanniques. Ce sont encore ces écrivains qui influenceront l'évolution du genre, faisant persister « l'hégémonie britannique sur le roman d'espionnage » jusqu'à nos jours. ROMAN_POLICIER HISTORIQUE : Le roman policier historique est un genre

Maupassant ; Y. Kawabata ; T. Gautier ; A. Conan Doyle ; A. Kourouma FICHE 1 236 238 239 241 243 La structure du récit ◗ Exercices d’application : J. de La Fontaine ; Les Mille et une Nuits ; D. Buzzati FICHE 2 FICHE 3 FICHE 4 FICHE 5 Le narrateur ◗ Exercices d’application : L.-F. Céline ; A. Rahimi ; Homère ; B. Cendrars ; L. Aragon Le personnage ◗ Exercices d’application : U. Eco ; R. Bradbury ; R. Radiguet ; Vercors ; A. Dumas Les registres épique et fantastique ◗ Exercices d’application

Publiée en août 1853, elle fut, l'année suivante, incluse dans le recueil des Filles du feu. D'une construction à la fois harmonieuse et très serrée, le récit raconte « l'histoire d'un cœur épris de deux amours simultanés ». En réalité, trois figures féminines commandent la structure de l'œuvre : Adrienne, la noble religieuse sublimée en sainte chrétienne ; Aurélie (alias Jenny Colon, la maîtresse de Nerval), la comédienne transformée en déesse infernale ; Sylvie enfin, la petite paysanne du Valois de

dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours Repères littéraires p. 306 (ES/S et Techno) p. 308 (L/ES/S) Les pages « Repères littéraires » présentent, dans une perspective diachronique, les genres de l’argumentation mais aussi les auteurs qui ont apporté un regard nouveau sur la question de l’homme. La lecture de ces pages peut être effectuée avant l’étude des textes des séquences qui suivent, mais on peut également l’envisager au fur et à mesure de la découverte des textes, afin de

s’ouvre par une attaque brusque ; il nous plonge dans un état de fait au lieu de nous y préparer lentement ; il raconte moins qu’il ne fait voir. L’obscurité de chaque début est nécessaire pour donner au monde évoqué toute sa présence : la voix du narrateur ne pourrait que l’amortir.6 Technique assez proche, en ce sens, de celle de Faulkner, par exemple, et qui alterne, de façon vertigineuse, recours aux points de vue des personnages, longues digressions analeptiques et explicatives et plongées dans

d'autre guide que lui-même» . On le voit, le passage à la fiction entraîne ici non seulement la création d'un élève imaginaire (Emile), équivalent de la statue condillacienne, mais également le dédoublement de l'auteur lui-même en, d'une part, un narrateur (que nous appellerons désormais Rousseau), dépourvu des qualités nécessaires pour mener à bien l'éducation d'un enfant mais source des théories pédagogiques avancées par le livre, et, d'autre part, un gouverneur imaginaire (que nous appellerons Jean-Jacques)