Autocensure

qu’une personne ou un groupe de personnes se fixe lui-même dans ses écrits, paroles ou actes. Bien qu'elle soit de plus en plus fréquente de nos jours, cette forme de censure ne date pas de notre époque mais elle existait déjà bien avant. Cette autocensure peut être liée à la morale, aux valeurs des individus, pour anticiper une censure présumée mais aussi, plus insidieusement, à la peur de représailles. C’est une censure subtile qui est aujourd’hui assez fréquente notamment dans la presse ou à

ou de foule collectif que la radio et la télévision. L’on estime en effet qu’en presse écrite, le journaliste a suffisamment de recul pour éviter les monstrueux dérapages en s’imposant, en toute responsabilité, l’autorégulation ou la nécessaire autocensure apprise dans les écoles de formation. Ce qui ne serait pas le cas dans l’audiovisuel où, au détour d’un commentaire mal placé, on peut allumer un brasier. Du point de vue des textes en vigueur, il n’existe pas de limites dans la régulation des

parlementarisme rationnalisé ? Conjonction dans majorités entre majorité exécutive et parlementaire. Phénomène majoritaire : le président a beaucoup moins besoin de s’appuyer sur les éléments du parlementarisme rationnalisé pour contrôler le parlement -> autocensure, autolimite Décision de 1971 sur la liberté d’association. On intègre le préambule de la C° dans la constitution elle-même, lui donne une valeur constitutionnelle. De lui-même il augmente Son étendue. Il pose une jurisprudence = création

avaient la liberté totale d’expression il n’y aurait plus de respect d’autrui, chacun pourrait dire ce qu’il lui plait sur qui il veut. Ainsi je pense que certaines personnes haut placées seraient personnellement atteintes. L’Homme a aussi une autocensure due à son éducation. Peu de personnes disent entièrement et totalement ce qu’elles pensent pour éviter de blesser ou des fois de perdre des personnes proches. Puis certains choix sont aussi des obstacles à nos libertés. Lorsque des personnes décident

dépendance qu’exprime le Surmoi : c'est cette voix en nous qui dit “il ne faut pas”, une sorte de loi morale qui agit sur nous sans que son origine soit discutée. Il possède un rôle de censeur ou de juge et correspond à notre conscience morale, notre autocensure qui est à la fois consciente et inconsciente. Le Moi se produit en étant le médiateur entre le ça, le surmoi et la réalité. Le moi s’individualise en tentant de trouver des compromis entre les exigences du ça - afin qu’elles ne soient pas absolument

censure et la propagande tjrs très importante pendant cette période. Presse censurée (journaux etc) dès 1926. (p.10, doc 7). Elément de contrôle des populations et durera jusqu’au bout de l’Estado Novo. Aucun maillon de la presse n’y échappait. Autocensure : les journaux, pour ne pas subir la censure pour raison éco, publication interrompue, retards de parution, les journalistes s’autocensuraient. On l’appelait O Lapis Azul. Des livres aussi été censurés, retirés des bibliothèques pour raisons politiques

partie de nous-mêmes qui n’est pas conforme à ce que la société attend de nous de peur d’être rejetés. Pour ne pas être exclus de la société, nous nous efforçons de respecter les règles et de plaire aux autres. Notre inconscient agit alors comme une autocensure. L’apprentissage et les normes culturelles, de la société, évoluant au fil du temps, l’inconscient est donc culturel : il évolue avec l’histoire de chaque individu. Finalement, on peut considérer que la vie psychique se décompose en trois

relations bilatérales avec les grands Etats européens, surtout l’Allemagne et la France. Les dirigeants européens ne tarissent pas d’éloges sur le président Poutine et ces bonnes faveurs permettent désormais à la Russie d’obtenir ce qu’elle veut : autocensure sur la question tchétchène, abandon des exigences en matière de démocratie et de liberté d’expression etc. En revanche, les bureaucrates européens considèrent la Russie comme un problème et n’ont pas peur d’entrer en conflit avec elle. Devant cette

s’exprimer, d’abord en matière de politique, et par extension, il s’agit d’une manière de parler pour ne déplaire à personne et cacher toute difficulté par le recours à l’euphémisme. On peut donc considérer le politiquement correct tel une autocensure qui touche les médias afin de ne pas « choquer » l’auditoire. Cette notion est vue comme « langue de bois » et possède un lexique en perpétuel élargissement (cf. annexe). Le politiquement correct est souvent remis en cause, tel que l’a fait Georges

l’ensemble de la population ne vote que depuis 1944 (donc niveau démocratisation et représentativité tu repasseras). De plus, on aperçoit paradoxalement qu’alors que le SU a voulu se présenter comme garant de l’égalité politique, on a non seulement une autocensure des plus modestes et un déficit de représentativité des élus (c’est le « cens caché » de Daniel Gaxie) mais également une division du travail politique (citoyens actifs, les élus, et passifs, les électeurs, selon Weber).