Autogestion

assisté dans les derniers jours de la commune à la naissance du premier syndicat étudiant. Il y a aussi une révolution intellectuelle car un certains nombre d'artistes se sont constitués en fédération autour de G. Courbet. C'est en quelque sorte une autogestion, pour l'art et pour la libre expression de l'art dégagé du gouvernement. On a donc un gouvernement qui s'intéresse à la totalité de la société et qui n'est pas focalisé sur la capitale. Il y a la volonté de faire une œuvre politique globale. C'est

non lucratif qui a pour vocation d organiser pour et avec ses adhérents, les réponses aux besoins sociaux qu ils expriment. b) Mutuelle sociale : organisme ayant la capacité civile, soumise au régime de l agrément, qui relève du principe de l autogestion et qui poursuit un but non lucratif dans l intérêt de ses membres, moyennant le versement d une cotisation, à des fins de prévoyance, de solidarité et d entraide. c) Union de mutuelles : agrégat de deux ou plusieurs mutuelles de sécurité sociale

représente le système administratif qui confie aux collectivités le pouvoir de gérer leurs propres affaires par l’intermédiaire de leurs représentants élus, agissant sous la tutelle du pouvoir central. En ce sens, elle implique une certaine autogestion locale ; notamment la gestion par les administrés des affaires qui les concernent le plus directement. Ils sont pour cela associés à la prise des décisions (4). De nombreux auteurs (5) s’accordent pour reconnaître que la décentralisation n’affaiblit

pédagogique, regroupés en 4 catégories : - Autogestion et métacognition, - Traitement de l’information, - Collaboration, - Assistance. Ce chapitre se termine par une réflexion sur la méthode MISA elle-même, sur les priorités de recherche pour les années à venir et sur son processus d’implantation dans une organisation. 31/03/2006 Réalisé par F.BEHJIN Page 50 sur 53 L’INGENIERIE PEDAGOGIQUE PRINCIPES GENERAUX D’INGENIERIE PEDAGOGIQUE AUTOGESTION ET METACOGNITION N°1 N°2 N°3 N°4 N°5 N°6

décision à l’intérieur de ces limites (ex. : cercles de qualité). 7, le responsable laisse le groupe libre de décider tant que certaines règles sont respectées : temporelles, quantitatives, financières... Le responsable n’exerce plus d’autorité (autogestion par le groupe lui-même). 2.2 "Le leadership" A - Définition • D'un point de vue externe, le leader est responsable de son secteur. D'un point de vue interne, le leader exerce une influence sur l’ensemble d’un groupe. • Le leader

propositions en vue d’une éventuelle reconduction ou d’évolution ou d’améliorations du C.L.U.B. Les questions sont par exemple pensez-vous que l’action doit se poursuivre ? Quelles sont vos propositions ? De quelle façon le groupe pourrait fonctionner en autogestion (sans les animatrices) ? En Octobre, ces questionnaires ont été distribués. En Novembre, chaque personne a eu un entretien individuel avec deux professionnels. Ces entretiens permettent à chacun de s’exprimer librement. De plus, certains ne savaient

apports théoriques * Replace l’homme au centre de l’organisation. * Remet en question certaines hypothèses de la théorie classique. * Souligne l’importance des relations informelles et des groupes. Une influence pratique réelle : * Autogestion (décision au niveau du groupe) * Participation des salariés aux décisions (modèle Allemand) * Démocratie industrielle * Mode de gestion participative Apport de Chester Barnard. Autorité Coopération Incitation et leadership

L’inscrit dans le corps social • CEMEA Centres d’Entrainement aux Méthodes d’Education Active Les systèmes socio-pédagogiques • Souci d’assurer une éducation sociale, • Modèle éducatif plus ou moins décalqué d’institutions politiques. • Autogestion. • 1885 Freeville aux Etats-Unis, un des premières « républiques des jeunes » pour les enfants des rues. • 1917 Boy’sTown par Edward Flanagan • 1920 Colonie Gorki par Anton S Makarenko • De 1912 à 1942 les collectivités d’enfants pauvres et

« Ligue des com m unistes y ougoslav es » (nouv elle appellation du PCY) assouplit et décentralisa le régim e entre 1 9 56 et 1 9 6 8. Mais pour répondre aux pressions des républiques les plus riches ainsi qu’aux tensions surgies au sein d’une autogestion lim itée par le plan central, les réform es s’orientèrent au début des années 1 9 6 0 v ers une confédéralisation croissante de l’État et une décentralisation m archande plutôt qu’une effectiv e dém ocratisation économ ique et politique qui aurait

en commun des moyens de productions (abolition de la propriété privée), la logique de partage et la régulation par la coopération. Entre ces deux systèmes économiques, le socialisme se présente sous des formes diverses : planification étatique, autogestion (Yougoslavie), socialisme de marché (Chine). En tant que doctrine politique, le socialisme s'oppose au libéralisme en défendant une intervention de l'Etat dans l'économie au nom de l'intérêt général, dans un souci de progrès social et de limiter