Autorité Des Marchés Financiers

fondements de l'économie de marché | |Ce module propose aux étudiants une vision globale et dynamique des principaux flux du système économique contemporain. | |La présentation globale des marchés conduit à en analyser le fonctionnement général en insistant notamment sur le rôle du système des | |prix. L’étude des différentes formes de concurrence sur les marchés justifie l’analyse des

empirique de la globalisation 2 II) La globalisation financière en crise 3 a) Globalisation facteur d’instabilités 3 b) Politiques permettant la régulation des marchés financiers 6 Introduction A l'approche du G20, politiques et médias ne parlent que de cette « guerre ». 600 milliards de dollars est ce qui a été récemment

demande de monnaie : Section 1 : Processus de création monétaire Section 2 : Les déterminants théoriques sur l’offre de monnaie Section 3 : La demande de monnaie PARTIE 2 : Le financement de l’économie L’intermédiation financière Les marchés de capitaux et la monnaie L’internationalisation du financement de l’économie PARTIE 3 : La politique monétaire La mise en œuvre de la politique monétaire L’efficacité de la politique monétaire Les nouveaux instruments de la politique monétaire

autoréférentielle C- Les mesures du mimétisme Partie III : Bulles spéculatives et politique monétaire A- Les risques des bulles spéculatives B- Les Bulles spéculatives et la mutation financière C- Evolution des bulles et intervention des autorités monétaires Conclusion Partie I : bulles spéculatives et rationalité des comportements et d’anticipations A-Cadre théorique et définition  Valeur fondamentale  Formation et éclatement B-Bulles de première génération  Modèle déterministe

RAPPORT relatif à la commercialisation des produits financiers Présenté par Jacques DELMAS-MARSALET – Novembre 2005 – Rapport relatif à la commercialisation des produits financiers SOMMAIRE RESUME DU RAPPORT............................................................................................................ 1 INTRODUCTION....................................................................................................................... 5 I. LES RAISONS D’AGIR ....

systèmes plus ou moins étendus d’assurance des dépôts et l’intervention du prêteur en dernier ressort. Au cours des années 1990, la réglementation a été renforcée pour permettre aux systèmes bancaires d’être mieux armés pour résister aux chocs. Les autorités ont demandé aux banques de détenir plus de capital pour pouvoir faire face à des chocs imprévus. Considéré dans sa globalité, le dispositif « anti-crise systémique » des économies modernes apparaît comme un système où la réglementation contraignante

Zitouna Alors que la Banque Mondiale et le FMI dénoncent dans leurs rapports envoyés aux autorités tunisiennes le «surbanking» du pays (trop de banques par rapport aux besoins de l’économie) et évoquent la nécessité d’opérer des concentrations et des fusions des institutions bancaires, les autorités monétaires ont délivré une licence à une banque islamique ‘‘Banque Zitouna’’, alors que ces autorités n’ont pas prévu des solutions pour l’introduction de telles banques en tant qu’autorités de régulation

du système financier face aux chocs susceptibles de saper la confiance des opérateurs. Concernant ensuite la façon de traduire quantitativement l'objectif de stabilité des prix, deux thèses s'opposent. La première thèse trouve son fondement dans le souci de ramener le taux d'inflation à zéro. L'idée avancée est la plausibilité de l'accélération de l'inflation à un taux supérieur à zéro. La seconde thèse prône la stabilisation de l'inflation à un seuil jugé tolérable par les autorités monétaires.

d'Etat du Maroc disposait du privilège de l'émission de la monnaie fiduciaire sur tout le territoire du Royaume et assumait le rôle d'agent financier du gouvernement marocain. Avec l'avènement du protectorat français en 1912, de nombreuses filiales de grandes banques commerciales européennes, notamment françaises, de banques d'affaires et de groupes financiers étrangers se sont installées au Maroc. De même, ont vu le jour des institutions financières marocaines remplissant des fonctions spécifiques

de la zone euro en période de récession. Un rapide assouplissement de la politique monétaire, des interventions massives pour secourir le système financier et une politique de soutien budgétaire ont contribué à stabiliser le système financier et à atténuer la contraction de la demande privée. Des déséquilibres excessifs d’ordre économique, financier et budgétaire se sont accumulés dans certains pays de la zone euro durant la période d’expansion, entravant le bon fonctionnement de l’union monétaire