Autrement

Hypothèse 2 : Suffit-il qu’un discours soit cohérent pour qu’il soit vrai ? Hypothèse 3 : Un discours est-il vrai parce qu’il plait au plus grand nombre de personnes ? Hypothèse 4 : Un discours est-il vrai parce qu’il est de nature scientifique ? Autrement dit, à partir de quels critères peut-on être assurés qu’un discours soit vrai ? Comment recherche-t-on la vérité ? Puisque la vérité concerne toujours le domaine du discours, elle s’adresse en priorité à notre raison. Cette dernière correspond

question la loi de la cité, représentée par Créon, au nom de lois divines, non-écrites. Est-il cependant légitime de remettre en question l’ordre garanti par les lois, et donc de risquer le désordre et l’anarchie, au nom d’une justice supérieure ? Autrement dit, la révolte et la résistance sont-elles des droits, des droits plus fondamentaux que ces lois qui garantissent l’ordre dans la cité ? C’est ce problème qu’affronte directement ici Locke, dans un texte, qui inspirera directement les rédacteurs

aboutit donc au raisonnement qui est l'enchaînement de phrases amenant à une démonstration logique, respectant le principe de non contradiction. La raison est une capacité de former des jugements et, en les enchaînant, de former des raisonnements. Autrement dit, l'esprit marche d'évidence en évidence, de manière rigoureuse, selon la validité, la cohérence d'un discours. Du point de vue de la raison il y a une égalité entre les hommes. En effet l'homme est raisonnable par nature, ce qui le distingue

chose et se l'approprie dans sa solitude ne va pas troubler la collectivité, il faut que la chose fasse l'objet d'une circulation licite entre les individus c'est-à-dire qu'elle soit cessible. Il faut que le bien puisse circuler de façon licite, autrement dit il doit être aliénable et transmissible. Seules les choses corporelles répondant à ces critères peuvent acquérir le statut de biens. Sauf que ces critères peuvent très bien s'appliquer aux choses incorporelles ou encore à des droits ce qui

1) Les conceptions du droit naturel Idée qu’il existe un droit dans la nature des choses autrement dit il existe dans le droit une organisation idéale qui fait qu’on la reconnait parce qu’elle est parfaite. On distingue le droit naturel antique et laique. a) Droit naturel antique= idée d’aristote il existe une loi naturelle qu’on créer les Dieux. Et que cette loi naturelle est universelle autrement dit elle est indépendante et du temps et de la culture. En dessous de cette loi naturelle

le Monde et Dieu) sont inconnaissables. Mais ces idées de la raison ne constituent pas l’expérience humaine, elles ont pour autant un rôle de régulation car elles guident l’action humaine. Ces trois idées sont des postulats de la raison pratique, autrement dit. Bien qu’aucun d’entre elles ne se réfèrent à un objet de connaissance empirique, Kant soutient qu’il est raisonnable pour nous de les postuler comme des questions de la foi rationnelle. Cette sorte de croyance, subjectivement justifiable, représente

existe. « Le laid peut être beau, le joli jamais », Baudelaire. Le Beau selon Kant : « le beau est ce qui est représenté sans concept comme objet d’une satisfaction universelle ». « Ce qui est représenté » : le beau n’est pas ce qui est Présenté. Autrement dit, le beau implique une création qui n’est pas une simple duplication du réel. Le joli c’est ce qui s’adresse aux sens dans leur immédiateté. Le beau renvoie à une dimension autre dans la capacité de représentation des choses. Le beau implique

nous-mêmes), mais exprime surtout notre manière de nous spécialiser dans ce pour quoi nous sommes le plus doué. Ainsi, comme le montre Platon lorsqu'il explique les diverses « classes » de la Cité, la Cité juste est celle où chacun est à sa place, autrement dit celle où chacun occupe la place qu'il mérite, selon ses vertus propres (artisan, gardien, roi). Dès lors, dans la mesure où la répartition des tâches se fait en fonction des aptitudes de chacun, tout un chacun ne peut que s'accomplir dans une

c'est à dire qu'il foit être capable de se détacher des principes fondés par la société pour mettre en place un jugement purement personnelle. Cependant, il est clair que pour constituer un avis personel, encore faut-il connaître celui des autres. Autrement dit, penser sans préjugés, c'est penser seul, mais si pour penser seul, je dois d'abord connaître les opinions des autres, alors ma liberté de penser dépend des autres. Or, cela reviendrait-il à dire que le fait de penser librement nous rend tributaires

que prend l'homme en dehors de ce moment où il s'atteint lui  même » , Sartre semble focaliser sa réflexion sur le cogito cartésien. En effet, toute théorie ne concernant pas la conscience de soi serait pour lui incertaine et probablement fausse, autrement dit, la conscience de soi, vérité absolue, serait la base du fondement de toute autre vérité quelconque. Nous pourrions d'ailleurs assimiler cette vérité absolue à la base d'une pyramide qui permet la consolidation des étages suivants et sans laquelle