Autrui Hume

législations mercantilistes les plus caractéristiques, telles que les lois sur la navigation mises en place par le gouvernement d'Oliver Cromwell. Critiques et disparition du Mercantilisme De nombreux économistes ou philosophes, comme John Locke ou David Hume, ont critiqué les idées mercantilistes bien avant qu'Adam Smith ne développât une analyse économique destinée à les remplacer. Les critiques ont souligné l'échec des mercantilistes à comprendre des notions comme l'avantage comparatif que développera

autobiographie, c'est au cours de son voyage en France, entre 1734 et 1737 que David Hume, alors âgé de vingt-six ans, écrivit le Traité de la nature humaine. Les deux premiers livres, en 1739, puis le dernier, en 1740 furent publiés anonymement en Angleterre. Bien que considéré aujourd'hui comme une contribution majeure dans l'histoire de la philosophie, le Traité reçut un accueil discret à la grande déception de Hume qui écrivit que le livre était « sorti mort-né de la presse, sans même avoir l'honneur

Pour trouver en quoi consiste l’identité personnelle, il nous faut considérer ce que représente la personne; c’est, je pense, un être pensant et intelligent, doué de raison et de réflexion, et qui peut se considérer soi même comme soi même, une même chose pensante en différents temps et lieux. Ce qui provient uniquement de cette conscience qui est inséparable de la pensée, et lui est essentielle à ce qu’il me semble : car il est impossible à quelqu’un de percevoir sans percevoir aussi qu’il perçoit

du philosophe David Hume, lecture jugée inconvenante à l’époque. Enseignement de la logique et de la morale: Choisissant une carrière universitaire, Smith obtient à l’âge de vingt-sept ans la chaire de logique à l’université de Glasgow et plus tard celle de philosophie morale. Cette institution est bien plus sérieuse que celle d’Oxford et le corps enseignant apprécie peu ce nouveau venu qui sourit pendant les services religieux et qui est de plus un ami déclaré de David Hume. Pourtant Smith devient

La conscience. Qu’est-ce que la conscience ? ------------------------------------------------- « La conscience de soi fonde l’unité de la personne. » Kant ------------------------------------------------- Conscience = être capable d’avoir la notion de soi-même ( la réflexivité). ------------------------------------------------- Avoir la notion de soi-même = le « Je » chose qui élève infiniment l’homme au-dessus de toutes les autres créatures qui vivent sur la terre l’homme devient une seule

besoins nécessaires, vitaux. Comme le dit David Hume dans son Traité de la nature humaine, la nature a donné à tous les animaux les moyens suffisants pour répondre à leurs besoins, en effet lorsqu’on observe un lion qui est un animal carnivore, il possède les moyens de répondre à son besoin de se nourrir de viande, tel que sa force ou ses griffes acérées, il possède les outils nécessaires pour survivre. Tandis que pour le cas de l’humain David Hume dit que la nature « l’a accablé de besoins et de

la connaissance que nous avons de nous même est artificiel. En effet nous pensons rester les mêmes personnes aux cours du temps mais rien ne nous le certifie. Nous supposons savoir qui nous somme. Cette idée se rapproche de celle du philosophe David Hume et de son scepticisme. Celons lui nous attribuons naturellement une continuité dans le temps aux choses sans en être assuré. C’est une croyance spontanée. En considérant ce point de vue, il nous est également possible de croire que de cette manière

bon moyen. Par cette approche, la savoir n'exclut pas la croyance, qui par la religion répond ainsi aux limites du savoir et du besoin humain. Etudions le début de la première partie de la section IV de Enquête sur l’entendement humain. David Hume a écrit que <<"Trois fois cinq est égal à la moitié de trente" >> Cette proposition fait l'objet d'un savoir certain. Quelques lignes en dessous, il fait remarquer que nous ne pouvons pas contredire cette remarque : "Le soleil ne se lèvera

humain, Hume problematise se mode de raisonement clairement en se posant la question : « Pourquoi tirons nous de mille cas une inférence que nous sommes incapables de tirer d´un seul cas, qui ne difére à aucun égard des précédents ? » Il argumente qu´en faisant cela, l´espirit humain toujours fais un pas dans son raisonnement qui dépasse expérience telle quelle se présente aux sens ou a la mémoire, et que ce pas n´est pas fait par le raisonnement logique mais par l´habitude. Réponse de Hume à ce problème

Par définition la morale est l’ensemble des jugements relatifs au bien et au mal concernant les actes humains. Mais intuitivement on a aussi tendance à opposer la morale à l’intérêt et à considérer que ce qui est morale est désintéressé. Cependant, la morale l’est-elle toujours ? N’existe-t-il pas des intérêts moraux ? Mais la fin justifie-t-elle toujours les moyens ? Car ne serait-ce pas nier la valeur de la morale ? Autrement dit, peut-il y avoir une morale de l’intérêt ? Kant appelle les règles