Autrui M Est Il étranger

de la renaissance qui place l’homme au centre des préoccupations L’altérite est la qualité de ce qui est autre, elle met en jeu notre rapport avec autrui, elle est l’un des fondements de la modernité et mouvement humaniste en effet elle a inspiré la question de l’autre et du rapport entre les européens et les peuples indigènes qui leurs sont étrangers. -Au XVIeme siècle Montaigne exprime une position critique sur la façon dont les européens de son temps considèrent les indigènes d’Amérique et instaure

société: ses lois, ses règles et ses habitudes. Le fait de ne pas être quotidien, de ne pas ce soumettre aux règles de la société résulte d’une personne différente, un étranger. Mersault, intègre par ses actions est un homme honnête qui dit la vérité en face, celui-ci dit entièrement ce qu’il pense il ne se laisse pas influencer par autrui. Il ne regrette pas ses actions ou ses décisions au contraire ce dernier les assume et ne ferras pas preuve de sentiments s'il n’en détient pas. Mersault home de parole

comme si tu étais le législateur dans la république des volontés libres et raisonnables. » = Agir par devoir de se donner les moyens d'être digne d'être heureux. Être le sujet de sa propre liberté. Autrui: Schopenhauer= Texte sur les problèmes de la sociabilité humaine. Thèse : autrui est indispensable pour combler notre existence mais une fois que nous apprenons à le connaître nous lui trouvons des travers et donc nous les rejetons (opportunisme seulement). Mélange d'amour et de haine

des particuliers se trouve toujours dans l'intérêt commun; que vouloir s'en séparer, C'est vouloir se perdre; que la vertu n'est point une chose qui doive nous coûter; qu'il ne faut point la regarder comme un exercice pénible; et que la justice pour autrui est une charité pour nous.’’ Les Lettres Persanes est un roman écrit en 1721. Les deux personnages principaux sont persans : Uzbek et Rica. Ils ont partis de la Perse pour aller à Paris et découvrire leurs opinions politiques et religieuse. Ils

permanence en fonction des autres. Il ne se place donc plus dans une optique de l'Être, mais plutôt du Devenir; l'homme ne se base que sur ses rencontres pour se fabriquer un identité qui lui est propre, mais qui change en permanence. Le rapport à autrui, en allant plus loin que dans la première partie, ne permettrait plus de se construire dans l'absolu et donc de se connaître, mais au contraire de nous construire relativement aux autres, au gré de nos pérégrinations, de notre naissance jusqu'à notre

pré-frontale. Cela m’a impressionnée parce que je me suis dit : « Tiens, en effet, la plupart d’entre nous ne passent pas "toutes leurs journées parfaitement heureux à faire ce qu’ils font"  ». Puis j’ai réalisé combien il serait étrange d’imaginer que le plus aimant des pères fasse subir une telle opération à son enfant préféré et parfaitement normal. Cet exemple montre que lorsque nous parlons du bonheur, qui est censé être le bien de l'humanité, nous ne pouvons pas nous

présences ne mettent-elles pas en péril sa liberté ? PROBLEME 2 : la société est-elle un obstacle à la liberté ? Objectif : Situer l’homme dans ses relations complexes avec les autres / Notions : Société, Droit et justice, Etat, Nation, Violence, Autrui, Liberté INTRODUCTION Selon ARISTOTE (384-322 av. J.-C.), « par nature, l’homme est un animal politique et celui qui est hors cité est soit un être dégradé, soit un être surhumain. » C’est dire que la société est co-naturelle

ne s’est pas résorbé avec les siècles, mais est-il devenu cela même à partir de quoi on peut penser le monde moderne, monde de la destruction tranquille, scientifique, sans culpabilité; monde de l’expansion narcissique qui dénie tous les liens avec autrui et qui fait de l’autre un être à exploiter, dont la souffrance peut être source de jouissance ou à tout le moins d’indifférence ? Pour l’auteur, ces interrogations s’articulent autour d’une question de principe : Pourquoi les hommes, se

sont privés (les personnes handicapées qui d’après Maud Mannoni servent à nous rappeler notre humanité…) », ce qui selon Freud va l’encontre de l’éducation qui consiste à apprendre à un individu « à faire le sacrifice de la pulsion pour vivre avec autrui »(p28). On en est arrivé là du fait que « la religion de Dieu le père qui servait de lien social n’existe plus » (p29), ce qui a permis à la science de prendre le pas sur la vérité. Ainsi la science a pris le pas sur le langage, y compris sur la

en somme une relation qui semble devoir être nécessairement conflictuelle. "Homo homini lupus", la formule de Plaute et d'Erasme, reprise par Thomas Hobbes (1588-1679), illustre à merveille cette hypothèse. Si chaque être a pour ambition de dominer autrui, de se l'approprier, cela tient originairement, comme l’a vu Hobbes, à l'égalité des potentialités des hommes. Le philosophe anglais Thomas Hobbes affirme en effet que « de cette égalité des aptitudes découle une égalité dans l'espoir d'atteindre