Autumn Rythm

Perte de mémoire. Savoir : « je le sais, un point c'est tout » Hésitation/doute : rythme saccadé des phrases et rythme binaire. Référence au titre «  les âmes grises » b) Un puzzle à reconstituer Éléments donnés sous forme d'indices, « c'était jadis un peu mon métier » supposition en rapport avec la police ou la justice Terme du mystère : « l'Affaire » Souvenirs ambivalents « visages, sourires, plaies » Rythmes tertiaire/ de l'insistance. Souvenirs négatifs III Un incipit mystérieux

Le poème de Pierre de Ronsard met de l’avant le caractère éphémère de la vie. Par la métaphore filée de la rose qui sous-tend tout son poème, il signale entre autres le caractère éphémère de la beauté. D’abord, il compare la beauté de la rose à celle de sa maîtresse : « Les plis de sa robe pourprée / Et son teint au vôtre pareil. » Par cette comparaison, il souligne l’éclat et la vitalité du teint de celle qu’il aime. Par contre, il a tôt fait de mettre cette dernière en garde : sa beauté ne

rapport au monde qui l’entoure, il ignore son but, sa fonction. Il ne sait rien des véritables mystères de l’univers. Des vers 21 à 36 le poète fait parler Elvire (Julie Charles), l’être aimé disparu : c’est une prosopopée. Dans ces trois strophes, le rythme est accéléré. Cette impression de rapidité est due à l’alternance des alexandrins et des hexasyllabes. Et à l’enjambement des vers 31 et 32 « et l’aurore va dissiper la nuit ». Cette rapidité évoque de la course du temps. Le chiasme des vers 35 et

frémissez madame ?" DÉFINITION :Une stichomythie est une partie de dialogue d’une pièce de théâtre versifiée où se succèdent de courtes répliques, de longueur à peu près égales, n’excédant pas un vers, produisant un effet de rapidité, qui contribue au rythme du dialogue. Elle s’oppose ainsi à la tirade. PAROLES DE ANDROMAQUE = TYRADE : La scène devient comme un monologue. On se demande si CEPHISE est encore là. DÉFINITION :Longue suite de phrases récitées sans interruption par un personnage. Andromaque

l’âme. La poésie est un tableau, une danse, une musique et l’écriture de la beauté tout à la foisÞ» (p.Þ34). 3. PROGRESSION TEMPORELLE •ÞLes variations de rythme du récit «ÞLes saisons s’égrenèrent dans le sablier du tempsÞ» (p.Þ89). On pourra rappeler les notions d’ellipse et de sommaire, procédés visant tous deux à accélérer le rythme narratif. Ainsi, au chapitreÞ4, le sommaire permet de balayer l’enfance et l’adolescence de Yuko en trois lignes. Et l’ellipse du chapitreÞ4 («ÞLes mois passèrent

allitérations en [l], des vers 19 et 35 par exemple, miment ainsi le bruit de l’eau. Les enjambements nombreux notamment en fin de strophe semblent précipiter le poème et rendent ainsi sensible pour le lecteur le temps qui passe trop vite. De même, le rythme des vers qui se raccourcit en fin de quatrain par le passage de l’alexandrin à l’hexasyllabe évoque les jours qui se raccourcissent trop vite. On remarque également les expressions « heure fugitive », « rapides délices » ou la phrase « le temps m’échappe

quelque chose. Quand on y arrive et que l'on sort de ce que la Poésie a de trop fardé, composé et compassé, on éprouve une secrète et douce satisfaction à la rencontre du vrai dans le beau. (1842) La Poésie en vers, la seule vraie dans la forme du rythme et de la rime, est un élixir des idées ; mais le choix de ces idées est difficile ; le vrai Poète, seul, a le goût assez exquis pour les frayer et séparer l'ivraie du bon grain. (1843) TEXTE B CHARLES BAUDELAIRE – Les Fleurs du mal

humoristique: “je m’enrime”, “quand vous plaît, mieux que moi rimassez”, “la moindre rimette”, etc., sonorités cocasses avec cette omniprésence du son “rim” et l’obligation de faire des phrases étranges pour que cela rime Rythme: cet utilisation du mot rime donne un rythme très rapide et entraînant (notamment la fin: “ce rimailleur qui s’en allait enrimant, tant rimassa, tima et rimmonna...”) b) La poésie: un art inutile qui ne sert qu’à se faire et faire plaisir... Questionnement sur

Quant au contenu, dès le vers liminaire, l’âge médiéval est évoqué. Le recours à cette forme traditionnelle n’a pas empêché Aragon de la renouveler. Au niveau des strophes, Aragon utilise des distiques. Ce choix fait par le poète donne au poème un rythme lyrique proche de celui d’une chanson. Il est utile de signaler ici que ce poème est cyclique, autrement dit, la même phrase est reprise et dans le vers liminaire et dans la pointe. Aragon opte, en ce qui concerne les vers, pour des octosyllabes.

essentiel à l’esthétique de la modernité. La beauté est à la fois éphémère mais également éternelle. Vers 3 --> « une» (x2) : article indéfini --> il renvoit au caractère éphémère Vers 2-3 --> Cadance ascendante, le rythme s’allonge, impression que la femme se rapproche de l’auteur Vers 3-4 --> Rythme régulier = la démarche ( balançant ) Vers 5 --> Arrêt sur image, plus particulièrement, sur la passante. --> Image idéaliste de la femme = ça sera la dernière image que le poète gardera d’elle après sont passage