Avantage comparatif

et les causes de la richesse des nations (1776) avait énoncé par la loi des avantages absolus l'idée selon laquelle les pays gagnaient à l'échange et devaient se spécialiser dans la production pour laquelle ses coûts sont plus faibles que ceux de ses concurrents. Ceci aboutit à un premier modèle de division internationale du travail (DIT) qui laisse de côté les pays "non-compétitifs". La théorie des avantages comparatifs, énoncée par David Ricardo (1817, Principes de l'économie politique) vient amender

autre intention que de maximiser le bien être collectif. L’état peut être considéré comme un conglomérat, selon Bénard, une mosaïque d’entité cherchant à maximiser son intérêt propre, par exemple la bureaucratie qui cherche à conserver ses avantages. Quand on est élus, on est élus par les électeurs certes, mais aussi par les groupes de pressions (lobbying), les choix des hommes politiques sont appelés par les théoriciens le « logrolling » qui est une procédure d’échange de vote, il échange

espace mondial plus menaçant pour les pays “occidentaux” 1.1. La théorie des avantages comparatifs de Ricardo et l'argumentaire en faveur du libreéchange ● Alors que la plupart des gens voient spontanément dans le libre-échange une menace ou un risque, la majorité des économistes y voient une source d'efficacité accrue et d'enrichissement pour tous les acteurs concernés. C'est la théorie des avantages comparatifs de Ricardo qui fonde tout l'argumentaire libre-échangiste. David Ricardo, au début

Chapitre IV : les risques des spécialisations Selon la théorie des avantages comparatifs, tout les pays quelque soit leur niveau de développement disposent d’atouts qui doivent leur permettre de bénéficier de gains par l’échange avec le reste du monde. Il suffirai donc de repérer ses avantages pour permettre à la collectivité du pays d’être en meilleurs situation qu’en autarcie grâce au commerce. En réalité l’ouverture au commerce comporte également des risques, surtout pour les pays fragile

SOMMAIRE Introduction I. Définitions et théories principales de la délocalisation 1.1 Définitions 1.1.1 Délocalisation 1.1.2 Firme multinationale 1.1.3 Investissement direct à l’étranger 1.2 Les théories 1.2.1 Les avantages comparatifs de Ricardo 1.2.2 Le modèle Heckscher-Ohlin-Samuelson (modèle HOS) 1.2.3 Le cycle de vie de Vernon 1.2.4 Le paradigme OLI de Dunning 1.2.5 Les apports de la nouvelle théorie du commerce international 1.2.6 La nouvelle économie géographique II. Les déterminants

les multiples conséquences de ces deux théories du commerce international. L’étude des avantages comparatifs et avantages absolus permet d’aborder ces différents aspects. Les avantages comparatifs consistent à prouver que chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production dans laquelle il a un avantage comparatif, autrement dit dans la production où il est relativement plus performant. Les avantages absolus présentent que chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production pour laquelle

donc en équilibre. Pour analyse des échanges extérieurs, on se base sur soldes intermédiaires : solde de balance cciale // solde de balance des transactions courantes C) Les justifications théoriques du commerce internat°al Théorie des avantages comparatifs (« TAC ») * TAC absolus (A. Smith) : calcule s’il est avantageux d’exporter ou pas * TAC relatifs (D. Ricardo) : spécialisation de plusieurs pays dans un produit qu’ils exportent en échange d’autres produits Dotation en facteurs

fondements théoriques du commerce international I.1. Les théories classiques du commerce international A. Théorie des avantages absolus (1776). A. Smith. B. Théorie des avantages comparatifs. (Ricardo. 1817) I.2. La théorie suédoise du commerce international II. Les différents flux d'échanges II.1. Les échanges fondés sur l’existence d’avantages comparatifs A. Spécialisation des échanges sur la base des secteurs primaires, secondaires et tertiaires. B. Spécialisation

plus cher que ce qu’on a chez soi) C’est la théorie des avantages absolus. Les anglais sont les plus performants dans la production agricole et industrielle. Ce problème sera résolu, avec succès, par Ricardo. Si un pays est meilleur qu’un autre, pour chaque produit, ils ne se concurrencent pas. Ça montre que le commerce est toujours possible et qu’il est toujours bénéfique à tous les participants. Même dans le cas où un pays a un avantage absolu systématique, il y a possibilité de faire des échanges

INTERNATIONAL ET CROISSANCE, DAVID RICARDO DOCUMENTS * DOCUMENT 1 : Dans un système de parfaite liberté du commerce, chaque pays consacre naturellement son capital et son travail aux emplois qui lui sont le plus avantageux. La recherche de son avantage propre s’accorde admirablement avec le bien universel. En stimulant le travail, en récompensant l’esprit d’invention, et en tirant le meilleur parti des facultés particulières de la nature, cette recherche favorise la répartition du travail la plus