Avantage compétitif

banque mondiale. 3 institutions qui prennent comme référence les analyses du commerce international. A- Les auteurs classiques : les avantages comparatifs L’idée générale de ces analyses démontre que le commerce international permet aux économies de mettre en avant leurs domaines d’excellence, c’est-à-dire, les domaines ou ces économies sont les plus compétitifs. Ca a 2 conséquences très importantes : _ La production est réalisée au niveau mondial dans les meilleures conditions de cout possible

A la fin du 18ème siècle, cet économiste américain argumentait qu’un pays a intérêt à échanger avec un autre s’il y a un avantage absolu dans la production d’un bien par rapport à l’autre pays. Smith prônait ainsi, en premier, la division du travail international. Rapidement, David Ricardo précisait, dans sa théorie de l’avantage comparatif, que même si un pays avait un avantage relatif dans la production de plusieurs produits par rapport à un autre pays, les deux avaient intérêt à échanger. Il suffirait

économiques classiques dont voici les deux principaux. La théorie des avantages comparatifs, de Ricardo, qui s’oppose à l’obsession qu’avaient les mercantilistes pour une balance commerciale excédentaire à tout prix. En effet, selon Ricardo, rien ne sert de s’obstiner à vouloir s’auto suffire en matière de production industrielle en essayant d’avoir une économie fermée et l’avantage absolu (produire au coût le plus compétitif) pour tous les produits fabriqués. Il est préférable au contraire que chaque

------------------------------------------------- Les théories classiques ------------------------------------------------- Théorie des avantages absolus L'avantage absolu est une notion économique désignant : * pour une personne, l'avantage qu'elle détient sur une autre lorsque, avec la même quantité de facteurs de production, sa production est supérieure ; * pour un pays, l'avantage qu'il détient sur un autre lorsque, pour un bien, sa production par unité de facteur est supérieure aux

accords douaniers, entre les pays membres. La nécessité d’ouvrir les marchés pour profiter de produits techniquement meilleurs à meilleur couts, et aussi parralèllement pouvoir exporter les produits dont les connaissances techniques fournissent un avantage comparatif meilleur. L’econométrie au service de l’analyse des flux internationaux, permet de comprendre ce que génére réélement les règles liées aux protections des frontières, des taxations selon le pays d’origine (enjeu politico-statégique) En

échange entre les deux pays, chaque pays peut trouver avantage à la spécialisation et au commerce international pour obtenir plus de biens qu’en autarcie. Le commerce international permet à chaque pays de produire plus efficacement un registre limité de biens sans sacrifier la variété des biens consommés. En effet, l’augmentation de la production dans l’un des biens génère des gains de productivité, grâce aux économies d’échelle, et donc un avantage comparatif. Mais celui-ci ne résulte pas de différences

nature et les causes de la richesse des nations (1776) avait énoncé par la loi des avantages absolus l'idée selon laquelle les pays gagnaient à l'échange et devaient se spécialiser dans la production pour laquelle ses coûts sont plus faibles que ceux de ses concurrents. Ceci aboutit à un premier modèle de division internationale du travail (DIT) qui laisse de côté les pays "non-compétitifs". La théorie des avantages comparatifs, énoncée par David Ricardo (1817, Principes de l'économie politique) vient

dans un espace mondial plus menaçant pour les pays “occidentaux” 1.1. La théorie des avantages comparatifs de Ricardo et l'argumentaire en faveur du libreéchange ● Alors que la plupart des gens voient spontanément dans le libre-échange une menace ou un risque, la majorité des économistes y voient une source d'efficacité accrue et d'enrichissement pour tous les acteurs concernés. C'est la théorie des avantages comparatifs de Ricardo qui fonde tout l'argumentaire libre-échangiste. David Ricardo

L’approche théorique libérale du libre-échange montre que le libre-échange est toujours préférable au protectionnisme. Selon la théorie des avantages comparatifs de Ricardo, qui a notamment été actualisée par Samuelson (théorie des dotations en facteurs de production), un pays a intérêt à se spécialiser dans les domaines où il est le plus compétitif (avantage comparatif le plus élevé) ou dans ceux où il a le désavantage comparatif le moins important. Cette analyse théorique semble vérifiée dans la

économistes Hecksher et Ohlin étudient les fondements de l'échange international en repartant de la théorie de Ricardo, mais en abandonnant la valeur travail présente dans celle-ci. Il existe bien un avantage comparatif en vertu duquel les pays intègrent le commerce international, cependant cet avantage ne dépend pas selon eux des coûts de production mais des différences de dotations en facteurs de production selon les pays. Les produits nécessitant l'utilisation d'un facteur production dont le pays