Avantage Libéralisme économique

IIème partie les grandes théories économiques Chapitre 5 : Les Classiques Il existait une réflexion sur l'économie au cours du moyen âge : st Thomas d'Aquin, st Thomas d'Aresnes. Et également dans l'antiquité avec Platon, Aristote. On étudiera l'économie comme savoir singulier de la société s'autonomisant de la théologie de la morale et de la philosophie politique. Cette autonomisation interviendra au XVIIIème siècle avec les physiocrates, puis avec Adam Smith (1823 – 1890), considéré comme

débuts 6 Son parcours 6 D’un point de vue économique 6 D’un point de vue moral 7 III. Claude Frédéric Bastiat, économiste, politique et polémiste libéral 7 Ses débuts 7 Sa pensée 8 Son influence aujourd’hui 9 IV. Malthus, économiste pessimiste 9 Présentation de l’auteur 9 La loi de la population 9 Remise en cause de la loi de Say 11 Conclusion 13 Sources 14   Introduction Souvent, on attribue la naissance de la pensée économique aux classiques. Avec la révolution industrielle

courant libéral (1789) : libéralisme politique : démocratie, libéralisme économique : libre circulation des marchandises. * Le courant réactionnaire  (conservateur / traditionalisme) : considère la révolution de 1789 comme une catastrophe. * Courant socialiste : va tenter d’inventer un modèle politique qui ne soit ni libéral ni trop conservateur. Partie 1 : L’héritage des Révolutions (1789-fin 19°s) : libéralisme, traditionalisme, socialisme. * Libéralisme : veut confirmer et amplifier

général individualisme, pour Weber les actions individuelles conduisent un comportement général moral système capitaliste Modèle capitaliste rhénan : profit investissement Kal industriel emploi 1) Les changements matériels : le progrès économique A) Les révolutions agricole et industrielle La Révolution agricole entraîne la révolution industrielle. Auparavant révolution politique et sociale q° que se pose Weber : Pq l’Occident a-t-il connu un RA puis une RI ? Henry VIII va jouer

de manière optimale à plus ou moins long terme. En conséquence, l’Etat ne doit pas intervenir sur la marché sous peine de perturber son fonctionnement. Le marché est capable de s’autoréguler. Ce paradigme est défendu par les théoriciens du libéralisme économique (néoclassique et néolibéraux). Le paradigme de la régulation externe du marché (ou paradigme de l’ordre organisé) : Ce paradigme postule que le marché n’est pas toujours capable de se réguler lui-même et que s’il faut accepter le

Le Néo Classicisme et classicisme 1) Ecole classique (fin du 18ième, début du 19ième) * Que font-ils ? Ils analysent les principales fonctions économiques (production, consommation, échanges) et ils assurent les grands équilibres économiques et la croissance économique. Ils sont tous partisans du libre échange. * Points fondamentaux qui caractérisent ce courant : - La liberté de l’individu (liberté d’entreprendre, liberté de concurrence,…) - Le marché comme régulateur de l’économie

bienveillance du boucher, du marchand de bière ou du boulanger, que nous attendons notre dîner, mais bien du soin qu’ils apportent à leur humanité, mais à leur égoïsme ; et ce n’est jamais de nos besoins que nous leur parlons, c’est toujours de leur avantage. » écrivait Adam Smith dans sa Recherches sur la nature et les causes de la richesses des nations, livre premier, chapitre 2 Du principe qui donne lieu à la division du travail]. Mais si un tel calcul d’intérêt était le principe universel de la division

leur famille (réalité américaine et l a ou je vis en Angleterre). Ceci est la loi du marché du libéralisme économique permit par le capitaliste et pour l’Afrique le capitalisme parasitaire. Les escrocs du secteur financier, qui ont mis l’économie à genoux, poussent des hauts-cris lorsqu’on évoque la perspective de règlementer les marchés. Leur extravagantes prises de risque leur rapportent des avantages extraordinaires, des chèques de paie de plusieurs millions d’euros et des maisons grandes comme

consultation d’un certain nombre de dictionnaires économiques usuels, montre que le concept d’économie de marché n’y est pas défini. Preuve sans doute qu’il s’agit d’un objet qui n’est pas simple à saisir. Certains dictionnaires renvoient à “ capitalisme ”, mais s’agit-il bien de termes synonymes ? Il faut souligner que le sujet porte sur un type de système économique et non sur un paradigme théorique (le sujet n’est pas “ Qu’est-ce que le libéralisme ? ”). Cependant, il est bien clair que cet objet

l’Université | 75007 Paris – France | Tél. : 33 (0)1 47 53 67 00 | contact@fondapol.org sommaire introduction i – mondialisation, libéralisme, libre-échange… de quoi parle-t-on ? ii – une (re)mise en cause croissante du libre-échange ? Vers de nouveaux rapports de force politiques Des opinions publiques ambivalentes L’évolution des débats économiques 3 3 5 5 6 7 iii – politiques commerciales : un bilan impossible ? Autant d’interprétations que d’analyses Des gagnants et des perdants