Avantages Capitalisme

CRISE DU CAPITALISME General Motors : la faillite d’une industrie La faillite de Chrysler et de General Motors (GM) témoigne de l’ampleur historique de la crise actuelle de l’industrie automobile. Siège de General Motors à Detroit. (DR) Il y a plus de cinquante ans, en 1953, le PDG de General Motors, Charles Wilson, déclarait : « Ce qui est bon pour le pays est bon pour General Motos et vice versa ». Le premier constructeur mondial d’automobiles pendant quatre-vingts ans sans discontinuer

Chapitre 4 – La crise de 1929, une crise structurelle du capitalisme ? Introduction * Crise mondiale malgré des différences de situations entre pays. * Introduction de deux nouveautés durables : la crise boursière et la légitimité de l’intervention accrue de l’Etat. * Choc salutaire pour la théorie économique (ex : réflexions keynésiennes, création de l’Econometric Society) * Deux interprétations : les interventionnistes, pour qui la crise est une raison majeure à l’augmentation

en concurrence directe les travailleurs du monde entier. Ceux qui peuvent s’insérer dans le secteur mondialisé ne peuvent le faire durablement qu’à la condition que soit préservé leur bas niveau de salaires, ce que les capitalistes appellent un «avantage». Quant aux autres, ils sont mis à l’écart, faute de pouvoir se hisser aux niveaux exigés par cette hyperconcurrence: ils perdent leurs emplois, leurs revenus et sont privés des moyens de satisfaire leurs besoins élémentaires. «La mondialisation

Processus économique général consistant dans l’augmentation régulière de la taille des entreprises, notamment grâce à des rachats et des fusions avec d’autres entreprises, la concentration a toujours été au cœur de la dynamique du capitalisme. Depuis le début du capitalisme industriel, on a assisté à une extraordinaire croissance de la concentration d’entreprises. I) évolution de la concentration depuis le XIXe siècle. 1) Hétérogénéité fin 19è 2) poursuite et intensification au XXe

Présentation du cours et propos liminaires p. 5 I. Analyse économique pré-capitaliste I.1 Les mercantilistes I.2 Les physiocrates p. 7 p. 9 p. 12 II. Adam Smith : le capitalisme avant l'industrie II.1 Une théorie de la société de commerce II.2 Des perspectives de croissance par l'extension du commerce II.3 Le commerce international et les avantages absolus II.4 Une ébauche d'analyse de l'incidence fiscale p. 17 p. 19 p. 25 p. 32 p. 36 III. David Ricardo : la théorie classique III.1 La théorie de la valeur

que développement économique et capitalisme (ou économie de marché) vont de pair. D’aucuns disent qu’ils sont même des synonymes : vouloir le premier, c’est devoir nécessairement adopter le second. Les échecs du système d’économie centralisée, d’une part, et l’absence d’une alternative discernable à cette économie de marché, d’autre part, renforcent encore plus cette association. Il ne s’agit donc plus de comparer les avantages et les inconvénients du capitalisme démocratique et du socialisme

la révolution française. A gauche il y avait les révolutionnaires et à droite il y avait la monarchie (conservateurs). L’échiquier politique et les idéologies qui si rattachent Échiquier politique Extrême Gauche : Milite pour un renversement du capitalisme, contre la démocratie, révolution pour instaurer une société égalitaire Gauche : Solidarité sociale, prône l’intervention de l’État Centre : Personne ou État qui appuie le progrès social, tout en étant attaché à certaines traditions ou à l’ordre

1. Quel est le système économique de l’inde ? définis- le et donnes en les bases. Le capitalisme : système économique où la mise en valeur des ressources est due à l’initiative privée avec pour bases la liberté de contrat et la propriété privée des moyens de productions Caractéristiques : - loi de la libre concurrence ( jeu de l’offre et de la demande) - Rôle du capital « facteur de production » qui vise au profit - Le développement de l’esprit d’entreprise individuel 2. Quel est le

barrières à l’échange international comme un frein à la division du travail et donc à la croissance économique. Pour lui, le libre échange est la meilleure des options, s’ensuit alors une division internationale du travail basé sur sa théorie des avantages absolus (voir ch. Ricardo). En outre, Smith reconnaît lui-même les effets négatifs d’une division technique du travail trop poussée et il souligne que c’est à l’Etat de s’occuper de l’éducation de tous afin de fournir les bases de lecture, écriture

comparer ce « mouvement » à une période historique bien connue, la guerre froide... A l'instar de la compétitivité militaire accentué par la guerre froide, la compétitivité monétaire des entreprises à fortement été accentué par la mondialisation, le capitalisme et le libéralisme économique. Cette compétitivité monétaire amène les entreprises à s'orienter vers d'autres direction, comme le cite Zemmour avec l'association de Renault à un groupe japonais, ou encore leur décision de se diriger vers le « low