Avarice

c’est-à-dire des actrices. De plus, les deux thèmes principaux de la pièce sont intimement liés : c’est par avarice qu’Harpagon veut sacrifier le bonheur de ses enfants (« je n’ai pas d’argent à donner à mes enfants » dit Harpagon au seigneur Anselme, V, 6 alors que le public sait pertinemment qu’Harpagon est un riche bourgeois. Cette réplique est bien évidemment inspirée par son avarice). En réalité, il n’a pas besoin de l’argent de la veuve destinée à Cléante et pourrait largement payer une dot

l’est devenu par opportunité, avec cette fortune qui lui est échue par hasard. Le trouble qui l’agite en fait un frère du pauvre savetier de la fable de La Fontaine (VIII, 2) plutôt que celui d’Harpagon, bourgeois très riche au cœur asséché par son avarice. La comédie de Plaute est uniquement une comédie d’intrigue, tandis que Molière développe une comédie de caractère et de mœurs. Il peint l’avarice dans le milieu bourgeois du XVIIe siècle, il en montre toutes les conséquences dévastatrices pour la

encore été pervertis. D'autre part, Montaigne dresse le portrait des occidentaux en utilisant un champ lexical lié à l'enfer, au diable : « Nous nous sommes servis de leur ignorance et inexpérience à les plier plus facilement vers la trahison, luxure, avarice et vers toute sorte d'inhumanité et de cruauté, à l'exemple et patron de nos mœurs. » (l.23-25). En effet ces défauts cités viennent des sept pêchés capitaux, il va même plus loin en parlant d’inhumanité et de cruauté. Montaigne n'hésite pas à dire

« Va-t-en, Scapin, va-t-en racheter mon fils . » et place aux côtés du comique de farce une peinture des ressorts de l’âme humaine. La finesse de cette scène est de transposer en mode comique le dilemme d’un personnage, Géronte étant tiraillé entre son avarice et son amour paternel. On voit le personnage se débattre dans son obsession, refusant d’admettre la réalité ( qui n’en est pas une), obnubilé par la somme et l’impossibilité de revenir en arrière pour éviter un tel affrontement en lui-même, toutes

I. Un personnage qui nous ressemble 1. Un personnage qui reflète la réalité, une identité réelle Pierre & Jean :  2 frère qui vivent une vie banale jusqu’au jour de l’héritage.  Roman réaliste Eugénie Grandet :  Avarice  Déception amoureuse  Une famille réelle Un mensonge D’amitié :  Inspiré de fait réelle  Vie d’une adolescente  Sa peut arriver à tout le monde 2. Un personnage qui correspond au lecteur Un personnage qui s’identifie au lecteur, donne encore plus envie de lire

prononça dès qu’il put pour aller à la grande guerre ou il y laissa la vie. 5°Thèmes:  a- L’argent : Ce livre illustre donc un drame familiale dans lequel l’argent intervient souvent et en premier cas, mais surtout où Louis, prendra conscience de son avarice lors de la mort de sa femme qui arrive finalement avant la sienne. C’est le problème qui semble central au narrateur puisque ça vengeance prévu était de déshériter sa famille. Ce fut le véritable dilemme auquel Louis fut confronté : le choix entre

Thomas d’Aquin. Le personnage d’Harpagon va en effet accorder une très grande importance à l’argent voir même un attachement trop excessif. Cette avarice se caractérise d’une part avec la répétition constante du mot « argent », (5 fois) mais aussi par les différentes figures de style dont la personnification « (…) mon cher ami (…)» à la ligne 7. Avarice se caractérisant aussi par la présence du champ lexical du vol  qui montre l’importance de sa cassette: « Au voleur ! au voleur ! » (Ligne 1), « on

« civilisés ». Le procédé de l’accumulation renforcé par la gradation au niveau des verbes corroborent cette idée. En outre, les termes connotés négativement « défiance, avarice, procès et brouilleries, envie, ambition » souligne le manque de valeurs morales de ces européens. L’énumération des vices rappelle les 7 pêchés capitaux( avarice, orgueil, envie, luxure, gourmandise, colère, paresse) et renforce l’acte d’accusation qui apparaît d’autant plus solide qu’il se présente sous la forme d’une accumulation

mais ne se vend guère. Malgré ses efforts, Baudelaire ne parvient pas à se sortir de la misère, et sa créativité en souffre. Il se rend en Belgique dans l’espoir de trouver un éditeur, mais il en revient déçu, n’y ayant rencontré "qu’une très grande avarice". Pourquoi un tel scandale? Dans les Fleurs du mal, qui rassemble plus de cent vingts poèmes, Baudelaire évoque son expérience de la dualité entre divinité et enfer, le Spleen et l’Idéal, ses amours maudits (Jeanne Duval la mulâtresse) ou platoniques

sa fille et pourtant broyée par la société. -Montre les étapes de la chute de Fantine -Cherche la pitié du lecteur en décrivant sa déchéance matérielle, physique et morale. « Mais ne serait-il pas aussi l’accusateur d’une société par son avarice (état d’esprit qui consiste à ne pas vouloir se séparer de ses biens et richesses) ou son indifférence qui pousse Fantine à se prostituer ? » Déchéance du personnage, un monde de misère. Misère matérielle : - lieu d’habitation (insalubre…)