Avarice

Troglodytes, Usbek (et donc indirectement Montesquieu) s'attaque au pouvoir. Dans la lettre XI, il nous montre d'abord comment le pouvoir de l'individualisme amène les hommes à l'égoïsme et à la méchanceté ( pas d'entre aide lors de la mauvaise récolte, avarice envers le médecin...) ce qui cause leur perte. Mais il critique également la difficulté à pouvoir agir toujours avec vertu et justice, sans un« chef » qui guide et prend les décisions … Ceci d'autant plus lorsque l'on est soit même victime d'injustice

affaires» . De plus nous assistons a une «crise d’adolescence» de la part de Cléante « qu’il faille que notre père s’oppose à nos désirs, nous le quitterons là tous deux et nous affranchirons de cette tyrannie où nous tient depuis si longtemps son avarice insupportable.» ce passage est aussi antithétique car comme dans les précédentes remarques il contredit tous ce qu'il a dit avant «que le nom de fils me soumet à ses volontés» , ses volontés il ne les accepte plus la preuve si son père s'oppose a

retenir l’argent » sera considérée ou non comme maladie de l’argent. Les deux cas de l’avarice et de la cupidité sont à envisager ici selon une logique inverse. Economie monétaire Développé Economie monétaire Primitive Cupidité Avarice = Economie Avarice Cupidité La morale de l’histoire c’est que l’homme dit normal est simplement celui qui souffre de la même folie que ses contemporains : si un homme d’une autre époque était témoin de notre système du crédit, et de notre propension

une communauté musulmane * Son influence sur notre vie de croyante ? Cela nous oblige à nous pencher sur les problèmes que connait notre communauté à tout faire Pour les aider et a apprendre à vivre en pensant a ses frères sa évite l avarice et cela anobli les cœurs. En gros ça nous aide à être solidaire, ne pas laisser nos frères et sœurs dans les problèmes. Et aussi de combattre l'instinct égoïste présent chez beaucoup de personnes qui répugnent à ce que le bien arrive à une autre

noblesse, soigne son travail ; c'est le type même du bon ouvrier. Les Lorilleux : sœur et beau-frère de Coupeau ; ouvriers bijoutiers en chambre, ils fabriquent des chaînettes d'or ; leur logis est crasseux ; ils survivent par leur travail et leur avarice ; Mme Lorilleux n'aime pas Gervaise qu'elle surnomme « La Banban » ; elle est jalouse de cette belle-sœur qui parvient à s'établir dans un commerce ; les Lorilleux refusent d'aider Gervaise lorsque celle-ci sombre dans la misère. Maman Coupeau :

« assassin » ,«  meurtrier », « justice » à la ligne 1 comme si l'argent, ici personnifié avait été enlevé... Mais, cette folie n'aurai pas pu avoir lieu sans un trait caractéristique du personnage d'Harpagon : sa dépendance à l'argent ; donc son avarice. En effet, il est véritablement avare. Tout le long de son monologue, il demande justice pour le vol de sa cassette comme s'il s'agissait d'un meurtre. Il la réclame avec l'utilisation d'une énumération telle que « des commissaires, des archers

-Pour non-éduqué: souterrain. Satan. Souffrance L'enfer pour Eglise=système pédagogique Hiérarchie des péchés:     -Péchés véniels: petit. Facilement pardonné     -péchés majeur: luxure (sexe), gourmandise, avarice (argent), colère (violence), envie, orgueil, paresse C)Les chemins du ciel, obligation&acte de piété Pour gagner le paradis l'Eglise convaint le fidèle de respecter le cycle des sacrements; faire acte de pénitence: reconnaitre ses péchés (confession

1Goundo DoucaraMontrez que le comportement de Zidore s’explique par son avarice, sa cruauté et les moqueries3 arguments principal : · L’avarice de Zidore· Sa cruauté envers le cheval· Les moqueries que Zidore subitTout d’abord, Maupassant met en exergue l’avarice de Zidore. En effet Zidore avait pour ordre de prendre soin de Coco, un vieux cheval blanc qui savourait sa retraite. La maitresse de Coco le gardait par charité jusqu’à sa mort naturelle tant elle tenait à ce vieux cheval. Mais Zidore n’était

hôtelleries » (l.15) sans parler qu’« il mange haut et avec grand bruit ». Ces expressions montrent parfaitement qu’il est à l’opposé de l’idéal de l’honnête homme qui à l’époque est vu comme quelqu’un d’attentionné, de courtois, de poli sans égoïsme ou avarice. . L’auteur nous présente donc, par le moyen de la grossièreté de cet individu qui est mêlée à son portrait physique, un personnage de monstre qui est bien défini. La Bruyère fait de ce portrait tout un art. Commençons par observer son implication

" petite femme" , diminutifs à valeur dépréssiative : " vieillotte", "grassouillette" . - Une expression du visage qui annonce ses défauts moraux : comparaison avec "une première gelée d'automne", hypocrisie du " sourire prescrit aux danseuses", avarice, dureté en affaires de " l'amer renfrognement de l'escompteur". Donc un portrait réaliste qui met en relation, comme toujours chez Balzac, les caractéristiques physiques et morales. Cependant ce portrait atteint les dimensions d'une caricature bouffonne