Averse

agréable avec quelques averses de pluie. L’anticyclone des Açores se déplace vers le sud, les alizés sont francs et réguliers, assez forts et stables en direction Est à Nord-Est. Les nuages sont peu développés. L’HivernageSaison humide et pluvieuse de juin à novembre. L’anticyclone des Açores remonte vers le nord, dirigeant sur la Martinique un courant d’alizés irrégulier, plus faible et surtout plus humide. Les nuages à fort développement vertical sont nombreux, les averses fréquentes et fortes

bouleversée, avec de nombreux troncs d’arbres sectionnés, -au centre de la toile, des faisceaux lumineux colorés se croisent au-dessus de flammes et de nuées de gaz blanches et noires -sur la gauche s’abattent les lignes obliques (de la pluie? une averse de balles ?). - Dernier plan : ciel bleu partiellement caché par les faisceaux de lumière. La composition du tableau: formes géométriques qui s'opposent (des lignes avec la pluie et les faisceaux lumineux, des courbes avec les nuages épais, des

celui de la course que l'on peut remarquer avec les mots « précipitation » « on bondit », « on passe », « en avant », « on cours », « une hâte », « la course », « nous courons » mais aussi le champs lexical de la tempête que l'on reconnaît avec « averse de tonnerre » « les souffles », « tempête », « pluie », « tourbillon », « nuées » ou alors celui du volcan que l'on trouve avec les mot suivant « cratères », « laves », « soufrée » et « flamme ». Ces champ lexicaux nous permettent d’interpréter la

vision du monde est une vision noire et pessimiste : le paysage urbain qui l'entoure "fiacre, gaz, passants", est plongé dans le noir: "le soir, minuit". Il est sale, humide et procure la nausée : champ lexical : "suie, ombres, brume, ternie", humide " averse, flaque. C'est une triste journée de novembre. Le spleen c'est aussi le désespoir : la notion de solitude apparaît dans le dernier vers et à une place privilégiée par la coupe de l'alexandrin (1-5-6). Les interjections expriment le dégoût de la vie

Ma Luna, je pense à elle. Ma Luna, je pense à toi. Tes cheveux fous, que tu ne parviens pas à discipliner, ton rire si bruyant, tes cris de peur quand tu rates la dernière marche des escaliers, ton odeur sucrée ! Je me souviens. Il pleuvait averse ce jour-là et comme tu le sais, nos pluies tropicales font des ravages. La ville était déjà occupée par vos troupes. Un véritable déluge semblait alors annoncer l’apocalypse. Je suis furtivement sorti pour rentrer les quelques articles que j’avais

de températures entre le jour et la nuit font travailler de façon rude les roches et les pierres, qui finissent souvent par s'éclater en petits cailloux ou en petites particules. Bien que la pluie se produise rarement dans les déserts, il y a des averses occasionnelles qui peuvent résulter en inondations soudaines, « flash-floods » en anglais. La pluie tombant sur des pierres chaudes peut les faire briser en petits fragments et en gravats qui jonchent le sol désertique qui sera ensuite érodé par le

ça s'apparente au dessin automatique. Selon MR sur ce dessin sa main travaille toute seule, suit son inspiration onirique. Le poème, illustre bien le principe de liberté puisqu'il associe des images hétéroclites antithétiques (paradoxales) "cette averse est un feu de paille" ce qui oblige le lecteur a être actif car interprétation très ouverte. Mains et Fruits: offre aussi une main posée sur une coupe de fruits mais MR s'amuse à detourner, faire vivre nature morte par un geste de la main artificielle

folie, la tristesse, l’amour meurtrie. Grâce à son attitude, sa posture et son regard, les évènements passés, bien que vif et désolant, était facilement identifiable. Une rue sombre, des rires, puis des cris, des foulés de plus en plus rapide, des averses, un tintement métallique, un cri de rage suraiguë, puis plus rien. Cette étrange personne interpella un serveur. Elle lui glissa quelques mots à l’oreille. Le serveur hocha la tête et partit accomplir sa course. La femme ne bougea plus, ne sourcilla

centre de la toile, des faisceaux lumineux colorés se croisent au-dessus de flammes et de nuées de gaz blanches et noires et jaunes (gaz moutarde toxique) ; formant ainsi des triangles -sur la gauche s’abattent les lignes obliques (de la pluie ? une averse de balles ?). *Les couleurs dominantes sont le noir, le bleu, le rouge et le jaune. *La vision d’ensemble est celle d’un paysage de guerre où s’affrontent des forces puissantes et destructrices, la violence des intempéries et celle des hommes qui

bouleversée, hérissée de troncs d'arbres sectionnés et des contrastes de couleurs et superpositions en transparence. • Au centre de la toile, des faisceaux lumineux de gaz blanches et noires forment des triangles. • Sur la gauche, on distingue une averse de balles. • A droite, deux masses noires et un triangle rougeâtre évoquent des flammèches, qui amplifient l'effet oppressif. Sur cette toile, Vallotton ne présente aucun homme. Il résume de manière magistrale la déshumanisation de la guerre