Aviron

s.3 9 9,10,12 10 11,12 11,12 12 phrase longue A peine Les planches rois de l’azur / maladroits et honteux laissent, leurs, ailes, blanches etc piteusement comme des avirons strophe Voyageur ailé / gauche et veule « ! » Naguère si beau / comique et laid L’un / l’autre Agace / mime / boitant Infirme qui volait dispartion assonance en « en » locution adverbiale

la même manière, en signalant par un cris, un jet de vapeur à travers l’eau pouvant être remarqué par les vigies, tous de suite après les baleinières sont déployés à l’eau , dans laquelle sont placé les harponneurs, et les seconds qui tiennent les avirons pour pouvoir faire avancer la balènieres. Un exemple témoigne très bien de la violence des combats en mer, lorsque la baleinière de Achab et fedallah c’est coupé en deux, sous la pressions des dents du cachalot car l’avant de la baleinière était dans

oiseaux des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers.A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux.Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !Le Poète est semblable au prince des nuées Qui

particulièrement celle de ses ailes, qui l'handicape pour marcher et pour s'envoler sur un petit terrain. Admirable dans le ciel, ridicule sur terre → paradoxe expliqué aux v7&8 décrivant les ailes qui gênent et utilise la comparaison entre les ailes et les avirons. Transition :Cette chute de l'oiseau est provoquée par les hommes d'équipe qui volontairement ridiculisent l'albatros. II. La bassesse des hommes. a) Ils sont moralement méprisables. "Pour s'amuser" v1 montre l'ennui des marins. Insensibilité des

présente de prime abord comme l’évocation d’une scène de vie en mer. On observe ainsi la présence du champ lexical maritime : « hommes d’équipage » (v.1), « albatros » (v.2), « oiseaux des mers » (v.22), « le navire » (v.4), « les planches » (v.5), « avirons » (v.8), « tempête » (v.14). L’évocation de cette scène en mer s’impose également par les rimes en « mers » aux vers 2 et 4 (mers/amers) qui soulignent phonétiquement le contexte maritime.  C’est dans ce cadre maritime qu’évoluent les albatros décrits

popularité. (Fin 19e début 20e) Le mot sport fait son entrée dans le dictionnaire en 1878 (à vérifier). On passe des sports aristocratiques aux sports athlétiques. On passe de la promenade à la marche athlétique : pedestrianisme. Le rowing (aviron) fait son apparition tôt, en 1834 sur le canal de La Villette. Première sociétés de régates au Havre en 1840. 1853 : fondation société des régates parisiennes. Culture de l’aviron connue par la classe ouvrière en Ang, pas en France = élargissement

violettes. « Don Juan aux enfers » de Charles Baudelaire Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon, Un sombre mendiant, l'œil fier comme Antisthène, D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes se tordaient sous le noir firmament, Et, comme un grand troupeau de victimes offertes, Derrière lui traînaient un long mugissement. Sganarelle en riant lui réclamait ses

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince

dévalorisant l’oiseau. Au vers 8, l’oiseau est comparé à un bateau sur un bateau ; c’est une mise en abyme qui montre que l’oiseau à perdu sa puissance. L’oiseau a aussi une incapacité de s’envoler, montré avec l’allitération en « r » aussi au vers 8 (« avirons » et « traînés ») et une perte d’identité (« d’eux / honteux ») car avant ils étaient surnommés (« rois de l’azur », « vastes oiseaux des mers »…) et avec l’utilisation de l’imparfait « volait » qui met l’action dans le passé ; maintenant il est sur

est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du vol royal (vers 3), on passe au boitement de l'infirme (vers 12). Ces oppositions sont soulignées par des antithèses : - " roi " (vers 6) ? " maladroit " et " honteux " (vers 6) ; -