Avoine cultivée

300 Surfaces irriguées Mha S 250 200 150 100 50 0 1750 1800 1850 1900 1950 2000 2050 Année E l ti Evolution des d surfaces f irriguées i i é dans d le l monde d Source ICID 2000 Intérêt de l’irrigation L 17 % des Le d t terres cultivées lti é dans le monde sont irriguées (env. 270 millions d’ha). Ces surfaces irriguées produisent plus de 40 % des récoltes mondiales. Les cultures irriguées ont un rendement de 2 à 4 fois p à celui des cultures supérieur non irriguées. Faits

l'objet d'investissements ultérieurs. type | Surface | Rendement T de MS/ha | Totaux | Prairie naturelle pâturée | 16 ha | 3 | 48 | Prairie naturelle fauchée | 3 ha | 6,5 | 19,5 | Prairie cultivée | 1 ha luzerne | 7,5 | 7,5 | La luzerne en amélioration de prairie : fiche technique (Medicago sativa) Travail du sol | Passage de herse pour griffer le sol suivi d'un girobroyage de surface pour enfouir les semences et

donnait un rendement de 4 831 calories par personne par jour, 75 % de plus que la production actuelle – une quantité qui pourrait théoriquement faire vivre une population humaine beaucoup plus grande que celle soutenue actuellement par les terres cultivées. (Cela calme également une autre inquiétude à propos de l’agriculture biologique ; voir encadré ci-contre.) Assez d’azote ? En plus d’étudier le rendement, les scientifiques de l’Université du Michigan se sont également intéressés à l’hypothèse répandue

Tableau 13 : Assolement 2005/2006 29 Tableau 14 : Itinéraire technique du maïs 30 Tableau 15 : Itinéraire technique de la betterave fourragère 30 Tableau 16 : Itinéraire technique de l’orge d’hiver 31 Tableau 17 : Itinéraire technique du mélange avoine - orge – pois 31 Tableau 18 : Itinéraire technique du blé tendre d’hiver 31 Tableau 19 : Itinéraire technique des prairies permanentes 31 Tableau 20 : Itinéraire technique de la jachère 32 Tableau 21 : Résultats d’analyses de compost de l’exploitation

fourragères était inexistante, ce qui entrainait des difficultés pour nourrir le bétail. Les paysans disposaient donc de fumier pour nourrir leurs terres L’agriculture était largement dominée par les céréales (blé, froment, avoine, orge…) qui représentaient les ¾ des terres cultivées. Ces handicaps agricoles pénalisaient les campagnes et plus généralement l’économie française  puisque l’alimentation était peu diversifiée, les rendements restaient faibles. Au début du XIXème siècle, la disparition progressive

de parcelles agricoles d’agréments et de cultures p. 34 UN PROJET CULTUREL Programmation L’étendue du parc se dessinera par de nombreuses micros parcelles d’espèces variées, marquant une rationalité qui s’inspirera de nos campagnes cultivées. Cette orthogonalité sera appuyée par des chemins axés du Nord au Sud, traversant le parc en reliant la promenade minérale à des kiosques délimitant visuellement l’empreinte de ce dernier par rapport au paysage champêtre. Ces voies seront entrecroisées

plusieurs années et ce, aussi bien dans le Gharb que dans le Loukkos. Cette variété, très appréciée pour sa fructification abondante et surtout sa précocité, avait détrôné la variété Chandler il y a quelques années ; et reste la variété ‘‘reine’’ cultivée partout au Maroc. Avec l’arrivée de la mondialisation et les risques de perte du marché de la fraise qui s’est déjà manifesté en 2004, certains professionnels marocains ont senti la nécessité de diversifier la gamme des petits fruits rouges destinés

|Modes de calcul |Caractéristiques de l’exploitation |Résultats | |A1 - Diversité des |• Espèces cultivées : les citer + nombre |• Par espèce cultivée : 2 | | | |cultures annuelles et |(chaque type de PT et de mélange compte pour 1 |

dernière décennie. Par ailleurs, leur évolution n’a pas été uniforme sur le territoire (Figure 5) : alors que les régions caractérisées par une régression forte à modérée de l’agriculture ont subi des pertes allant jusqu’à plus de 50 % des superficies cultivées, plus de 200 municipalités ont vu leur superficie en culture augmenter sensiblement. De fait, la mise en culture croissante des terres situées à l’intérieur de l’écoumène agricole, constitue bien une des tendances majeures des cinquante dernières

A la fin du XVIIIe siècle, la paroisse dépend de la baronnie de Pouancé. Les impositions sur les 45 feux s'élèvent au total à 1 200 livres. Le sol étant mauvais, la pratique agricole est rendue difficile et seul un tiers des terres est cultivé, en avoine principalement. Une épidémie de dysenterie ravage le territoire du Haut-Anjou en 170711. Dix-sept habitants de la paroisse se réunissent en mars 1789 pour rédiger un cahier de doléances. Celui-ci réclame notamment la suppression de la gabelle,