Avons Nous Le Droit De Nous Venger

tuait pour faire taire les bruits de leur amour. R prône l’honneur d’un règlement individuel du conflit alors que C c’est en poursuivant R et en passant par la justice d’Etat et c’est ainsi qu’elle sauvera l’honneur et qu’elle fera reconnaître son droit. II Le duel verbal, une scène d’argumentation : 1.Les différentes étapes de ce duel verbal : Au début de la scène ce sont des échanges équilibrés qui sont utilisés. Tout d’abord un enchaînement de courtes répliques on voit que R supplie

précise l’expression « une forme », ce qui sous-entend qu’il peut y avoir plusieurs formes, plusieurs types de justice. La difficulté tient à la polysémie du mot « justice ». Le mot français vient du latin jus, qui veut dire le droit, dans son acceptation générale, le respect du droit. Cependant la définition actuelle, même si elle conserve se sens en tant que respect à l'institution judiciaire, lui en rajoute un autre, à savoir être moral. C'est deux sens sont repris par Platon dans La république où il

de 19 ans s'intéressent très tôt à la politique pour défendre l’intérêt des mineurs à 30 ans il devient le conseillé municipal de sa ville et fut élu à 38 ans ( 1892 ) Maire de Carmaux et conseiller d'arrondissement . La société des mines pour ce venger de la défaite des candidats qu'elle soutenait et aussi en raison des absence a répétition de Mr Calvignac décida de le renvoyé , suite a ce licenciement La compagnie des mines décida de ce mettre en grève mais depuis les années 1890 tous les mouvement

père de Rodrigue. Rodrigue vient trouver Le comte pour lui demander réparation au nom de son père, trop âgé pour venger lui-même son honneur. D'un affront si cruel Qu'à l'honneur de tous deux il porte un coup mortel : D'un soufflet. L'insolent en eût perdu la vie ; Mais mon âge a trompé ma généreuse envie Et ce fer que mon bras ne peut plus soutenir, Je le remets au tien pour venger et punir. (Acte I, scène 4) La réparation d'un affront public doit se faire en public ; dans son "examen

par la faute duquel plusieurs innocents sont morts. Il ne s’est pas contente de tuer ces pauvres filles, il les a viole et torture. Avait il le droit de le faire quelque soit les souffrances qu’il a endurees ? Certainement non. Non seulement il ne les connaissait pas mais elles n’etaient en rien responsables de ses souffrances. Il le faisait pour se venger de son passe « malheureux » et pour cette raison plusieurs jeunes femmes qui avaient toute la vie devant elles sont mortes pour satisfaire la folie

amoureuse avec une fille blanche, les parents de celle-ci firent pendre son conjoint dût au racsime de l'époque et des parents, lee veut donc se venger. Les trois mot clefs qui désigne notre personnage préféré sont: La vengeance, La mipulation et le Racisme. Tout le long du roman, Lee n'a qu'un seul but, celui de venger la mort de son petit frère qui aura été puni pour une histoire d'amour avec une blanche. Lee parait omnubilé par sa soif de vengeance, vengeance

prisonniers, dont la Reine des Goths, Tamora, les trois fils de celle-ci, et l’amant secret de la reine, Aaron le Maure. Titus sacrifie Alarbus, le fils aîné de la reine, aux dieux, afin de venger la mort à la guerre de ses propres fils. Tamora et ses deux fils restants - Démétrius et Chiron - jurent de se venger de Titus et sa famille. Titus décline la couronne, déclarant qu'il n'est pas apte à régner, mais qu’il soutient la candidature de Saturninus. Saturninus déclare que sa première action en

terre, le Roi n'est responsable devant aucun pouvoir humain ; il est responsable devant sa conscience et devant Dieu. C'est la " monarchie de droit divin". Deuxièmement La Noblesse : Elle se caractérise par ses seigneuries. Dans sa seigneurie, le noble a un château et reçoit les droits féodaux de ses paysans. La noblesse se veut riche, mais elle n'a pas le droit de travailler de ses mains, sous peine de déroger. Elle ne doit ni se fatiguer ni obéir à un patron autre que le Roi. La noblesse se veut

lecteur 1L’auteur et son époque Pierre Corneille, aussi appelé “Corneille l'aîné”ou “la Grand Corneille”, né le 6 juin 1606 à Rouen et mort le 1er octobre 1684 à Paris, est un dramaturge et poète français du XVIIe siècle. Il devient, après des études de droit, avocat, perpétuant ainsi la tradition familiale. Parallèlement à son activité professionnelle, Corneille s'adonne à la littérature, écrivant ses premières comédies comme Mélite en 1629, et tragédies comme la célèbre Médée en 1636. Les œuvres de ce

d’autre, nous serions les mieux placés pour nous faire justice. Peut-on encore parler de justice lorsque nous sommes juges et partie ? Peut-être cependant y a-t-il une autre façon de se faire justice soi-même, non par l’acte qui consisterait à se venger mais par la revendication pour soi, d’une justice que l’on reconnaît valable pour tous. Se faire justice soi-même correspond au fait de punir nous-mêmes quelqu’un qui nous a fait du mal. Soit en tenant compte d’une proportion soit en ne le faisant