Avortement Arguments

du recours au référendum a relancé un débat parmi les journalistes, les politologues et les responsables politiques à propos des avantages et des inconvénients du référendum comme instrument politique dans une démocratie. Ce sont les principaux arguments présentés dans ce débat que je veux discuter ici. EN DEFENSE DU REFERENDUM Même si les théoriciens, comme les praticiens, de la politique utilisent depuis longtemps le terme « démocratie » en lui donnant des significations très différentes, la plupart

par 343 femmes dont Simone de Beauvoir, Marguerite Duras, Catherine Deneuve, et Gisèle Halimi qui revendiquent l'avortement libre. Puis en 1972, ce sera le procès de MarieClaire et de son avocate Gisèle Halimi qui fera polémique, l'acquittant d'un avortement clandestion suite à un viol. Des acquis au fil du temps... Une année plus tard, les femmes appartenant au MLAC (Mouvement pour la liberté de l'avortement et de la contraception) descendent dans la rue et défendent le droit à l'avortement. A partir

de l’avortement (1973) et du mouvement des droits civiques (1964), les évangéliques commencent à s’organiser dans un élan de « chrétienté appliquée ». En 1976, ils se mobilisent massivement pour Jimmy Carter qui utilise sa foi évangélique comme argument de campagne. C’est ainsi qu’à partir de la fin des années 1970, les Eglises et leurs organisations parareligieuses sont devenues véritablement significatives en tant qu’organisations politiques. La communauté évangélique connaît alors un tournant

productiviste ne semble pouvoir se poursuivre indéfiniment et néanmoins la croissance « zéro » en raison de la part importante des pays sous-développés. Finalement, l’environnement pourra être considéré comme facteur de croissance s’il devient un argument de vente. Le développement durable devient un modèle alternatif, dans la mesure ou la législation contraigne les entreprises à internaliser leurs coûts environnementaux.(droits à polluer…) Problématique 1.b : Les enjeux démographiques ont-ils

référence est inutile. De toute façon, la Cour refuse de reconnaitre l’homicide involontaire en invoquant le principe d’interprétation stricte de la loi pénale et le principe de légalité des délits et des peines. Comme l’ont noté certains auteurs, cet argument est contestable car le terme « autrui » (dans l’article relatif à l’homicide involontaire) pourrait inclure l’enfant à naître compte tenu de la finalité du droit pénal (cad protection de la vie humaine cf parallèle avec la distinction précédemment

relation avec une autre modalité, relation qui peut être décrite en termes de force : f min f| fo | f+ | f max Où f max, fo et f min équivalent à l’implication logique, à la simple compatibilité et respectivement à l’incompatibilité, et où les arguments pour et contre se situent avec plus ou moins de force entre fo et f max et respectivement entre f min et fo. Ce paramètre permet d’exprimer les rapports se manifestant entre propositions à travers les différents connecteurs et mots du discours :

suspendu par la hiérarchie, elle attaque la décision au motif de sa liberté de conscience et sa liberté religieuse. Le JA estime qu’un fonctionnaire en exercice n’a pas le droit de manifester sa croyance religieuse au nom du principe de laïcité. Il argumente en disant que le but ultime de tout ca est de protéger l’usager. Le JA y met une limite cela dépend de la fonction du fonctionnaire, il estime qu’il fait être plus sévère avec les agents qui ont une mission d’autorité vis-à-vis des usagers, et avec

est que la séparation du droit et de la religion s’est poursuivie : les règles semblent de plus en plus indifférentes à la religion. Il ne s’agit plus seulement d’indifférence (des règles techniques) mais de contradictions ouvertes et délibérées (avortement, divorce…). Recherche du plan Bien évidemment, le plan qui traiterait dans une première partie du droit et dans une seconde partie de la religion est à proscrire. Il faut partir du constat que le droit et la religion sont à la fois distincts et

l’interprétation est stricte ou restrictive car il s’agit d’un droit restrictif. Ex : Une femme qui perd son enfant dans un accident de voiture, Homicide ou non ? Homicide est une atteinte à une personne. Mais l’interprétation peut être différente. Avortement illégal par exemple ? Il n’y a pas de qualifications pénales avec le fœtus dès lors lorsqu’on attaque une femme enceinte et tue son fœtus sauf si coups et blessures. La Fiction Juridique est une règle de droit, elle intervient au niveau de la

d’une éthique séculière de l’espèce. Le respect de l’autonomie de la personne n’est pas le respect de la vie en général : il ne conduit pas à refuser en bloc comme le fait l’Eglise catholique contraception, avortement, et PMA. L’éthique de l’autonomie n’est pas insensible à certains arguments utilitaristes. Refuser de donner la vie pour une femme n’est pas la même chose que vouloir choisir l’identité de l’enfant à naître. II. La marchandisation des corps A. Le « baby-business » La