Axiomes des probabilités

fournir des clés pour modifier les interprétations que nous produisons en permanence dans notre esprit. Notre cerveau a en effet pour tâche de traiter l’information et il s’en acquitte avec succès tout au long de la vie. Pour paraphraser le célèbre axiome de la communication postulé par Paul Watzlawick6 – on ne peut pas ne pas communiquer –, nous pourrions dire : on ne peut pas ne pas interpréter. Notre monologue intérieur, c’est-à-dire le flux de nos pensées, est incessant. Forte de ce constat, la

des patterns de changement, à déterminer, d'une part, les degrés de liberté dont dispose une société pour contrôler ces changements et, d'autre part, les moyens pour assurer ce contrôle. Bref, elle vise à découvrir les avenirs possibles, leur probabilité particulière, et les façons de les réaliser volontairement. Ainsi, il ne suffit pas pour la prospective de prédire que l'automobile peut disparaître en l'an 2000, il lui faut démontrer encore comment cette éventualité est réalisable (prémisses

comportements ou les décisions spécifiques d’une entreprise vis-à-vis de cet ensemble unique (Donaldson T., Preston L.E., 1995). D’après Ackermann et Eden (2003), prêter attention aux parties prenantes pourrait avoir un effet prépondérant sur la probabilité et la faisabilité des stratégies de l’entreprise, mais la gestion des parties prenantes ne sera pas la même en fonction du type d’entreprise. Pour les PME, par exemple, les relations sont par hypothèses plus informelles, basées sur la confiance

prémisses : la prémisse démonstrative et la prémisse dialectique. Celle-là a pour particularité de poser soit l’affirmation ou la négation, « on prend l’une des deux parties de la contradiction ». C’est le cas des prémisses vraies qui sont obtenues par des axiomes indémontrables mais établis. La prémisse dialectique, quand à elle, permet de demander à l’adversaire de choisir entre les deux parties de la contradiction c’est-à-dire entre la négation et l’affirmation. Une telle permet d’aboutir à une conclusion

l’OST. Toujours dans le cadre de cette démarche productiviste, la volonté de gérer les opérations est apparue grâce au développement de nouveaux outils au service du management, tels que la recherche opérationnelle, la simulation, le calcul de probabilités et les statistiques, ceci afin d’assurer une optimisation des stocks, un meilleur ordonnancement, un équilibrage des lignes de production, etc. Aujourd’hui et depuis les années 80, sous la pression combinée des innovations technologiques et de la

ce qui ouvre la porte à tous les extrêmes. A titre d’exemple, avant les premiers essais des bombes atomiques à fission durant la seconde guerre mondiale, la probabilité que toute l’atmosphère de la planète participe à la réaction de fission nucléaire et transforme la planète entière en bombe atomique avait été calculée. Et cette probabilité n’est pas nulle (10-32), ce qui n’a pas empêché les essais d’avoir lieu, d’abord dans le désert du Névada, puis sur deux villes japonaises (nous parlons d’essais

élément Total UE RM / CC 6 6 3 3 RM 4 RM 4 RM 3 CC 3 CC Comptabilité financière II 42H 21H Macroéconomie 42H 4 Introduction au droit 42H 3 Statistiques descriptives et probabilité 42H 21H 4 Mathématiques II 42H 21H 3 Anglais 21H 3 C2i 21H 3 21H 2 Statistiques appliquées 21H Introduction à la fiscalité 21H 1 Conférences et lectures 21H 1 126H - Eval

statistique) C'est tout l'appareillage statistique qui se base sur le calcul des probabilités et l'extrapolation à partir d'échantillons dits représentatifs d'une population plus large. Il s'agit alors d'estimer, à partir de la valeur obtenue pour l'échantillon, quelle sera la valeur que l'on pourra attribuer à la population et avec quelle précision cette valeur sera fournie... Il faudra cerner la loi de probabilité définissant le caractère étudié dans cette population. C'est ici également qu'interviennent

statistique) C'est tout l'appareillage statistique qui se base sur le calcul des probabilités et l'extrapolation à partir d'échantillons dits représentatifs d'une population plus large. Il s'agit alors d'estimer, à partir de la valeur obtenue pour l'échantillon, quelle sera la valeur que l'on pourra attribuer à la population et avec quelle précision cette valeur sera fournie... Il faudra cerner la loi de probabilité définissant le caractère étudié dans cette population. C'est ici également qu'interviennent

identifiable. Dans aucun sens absolu, on ne peut jamais prétendre avoir fait deux observations sur la même particule, ou le même atome, etc. La plupart des physiciens, pour ne pas renoncer à l’idée ancrée de corpuscule, recourent à des notions de probabilité. Nous ne pouvons nous en satisfaire. A notre avis, les séries de fréquences propres des ondes contiennent assez de discontinu pour embrasser les discontinuités réelles, qui, jusqu’ici, étaient représentées par l’atomisme, dont elles formaient