Ayatollah

force physique ni la capacité intellectuelle ils obligent la femme à se cacher sous un foulard en brandant la charia islamique et le coran pour preuves. l'homosexualité en Iran En Iran, l’homosexualité est un crime puni de mort !! en 1979 Ayatollah Khomeini avait officielemnt déclaré l'homosexualité comme un crime capital. et actuellement le président iranien prétendait il y a quelques mois qu'il n'y avait pas d'homosexuels en Iran.Une de mes sources un documentaire trouvée sur DAILYMOTION

ne veut pourtant pas quitter l'Union. Son objectif ? Permettre la construction d'une "Europe à la carte", où les nations seraient libres de coopérer à leur gré, sans tutelle ni contrainte extérieure. Une proposition qui hérisse déjà le poil des ayatollahs du fédéralisme, sans que cela ne l'effraie le moins du monde : "le plus grand danger pour l'Union Européenne ne vient pas de ceux qui défendent le changement, mais de ceux qui considèrent les nouvelles façons de penser comme une hérésie". Remarquant

situation du pays. La fin du régime impérial Durant le premier semestre de 1978, de violentes émeutes éclatent dans diverses villes notamment à Tabriz, à Qom, à Mechhed, à Téhéran ; elles reçoivent le soutien des autorités religieuses shi'ites (les ayatollahs, littéralement « signes de Dieu ») et surtout du plus célèbre et du plus populaire, l'ayatollah Khomeyni qui, de Nadjaf, en Irak, lance de virulentes attaques contre le shah, appelant la population à se révolter contre celui-ci, à le renverser et

pétition en juillet 1991. Répondant partiellement à ces exigences, les lois fondamentales du royaume sont codifiées en mars 1992. La présence militaire américaine, bras armé protecteur de la dynastie saoudienne devant Saddam Hussein et l'Iran des ayatollahs, est de plus en plus contestée parmi la population, en particulier à cause de la présence massive de troupes américaines sur le sol saoudien pendant la crise et la guerre du Golfe de 1990-91. Le 13 novembre 1995, un premier attentat à la voiture

acceptent que l’autorité politique et religieuse soit fondue dans une même personne (comme au Maroc où le roi est commandeur des croyants), chez les chiites le pouvoir politique doit compter avec le pouvoir, distinct, des autorités religieuses (les ayatollahs en Iran, par exemple). 3. Les sunnites ultra-majoritaires Les sunnites constituent le courant majoritaire, et même très largement majoritaire, de l’islam. Dans le monde, les musulmans se divisent entre environ 85% de sunnites contre 15% de

peines contre les crimes religieux. Chiisme : 10 % des musulmans, estiment que le califat appartient de droit aux descendants du prophète et n'acceptent pas l'éviction d'Ali le gendre du prophète, assassiné en 661. Dans le chiisme, l'imam et les ayatollahs, sans constituer un clergé, conduisent la communauté des croyants. Wahhabisme : islam sunnite puritain. Sunnisme : représente la grande majorité des musulmans. Le sunnisme reconnaît la succession califale après Ali. Le sunnisme est divisé en quatre

par le fils adoptif d’où l’assassinat d’Ali. (Chia Ali =>chiite). La nouvelle conquête ira jusqu’à Bagdad. Il y a une division entre les chiites (en minorité) et les sunnites (en majorité). Les chiites vont créer un clergé avec un imam, un ayatollah, un honjatelman et un autre imam. Il existe aussi des divisions entre les chiites. L’imam ne doit pas se montrer. Pour les sunnites, il y a des divergences entre les groupes. L’islam est très hétérogènes (extrémiste sont les islamistes représentant

revolution, Saudi Arabia had correct relations with the Shah in Iran, especially when it involved regional security issues (US Library of Congress). The cooperation between the two countries ceased after the revolution erupted in 1979. In fact, Ayatollah Khomeini openly called for the overthrow of all monarchies in the Muslim countries, which constituted a clear thread to the Saudi family. As a result, Saudi Arabia was not displeased when Saddam attacked Iran in 1980. On the contrary, Riyadh supported

"porte-drapeau" ne juge même pas utile de faire semblant... et qu'il a fait ses scores les plus élevés à Paris!) n'est absolument pas fortuite. Il est bon, donc, de répéter ce que l'Eglise entend par "écologie". Cela a peu à voir avec les délires des ayatollahs verts (pas le vert de l'islam) qu'on a entendus ces jours-ci, et qui perdurent jusque dans certains milieux catholiques.. Mgr Giampaolo Crepaldi, Secrétaire du Conseil Pontifical de la Justice et de la Paix et Président de l'Observatoire international

2002 du site d'enrichissement d'uranium de Natanz, d'avoir des vues sur l'arme atomique. Malgré un contexte international changeant et dans une certaine mesure favorable aux négociations avec l'Iran, les relations entre la France et le régime des Ayatollah ne sont pas bonnes, depuis la rupture des relations diplomatiques entre les deux en 1987.e eFrançois Hollande a rappelé sa position : "Tout accroissement du nombre d’Etats possédant l’arme nucléaire est un risque majeur pour la paix ; dans les régions