Bachelard Opinion Vérité

véritablement si ce que nous percevons correspond à la réalité qui ne cesse ne se mouvoir. Ainsi, Platon nous montre que la connaissance et la perception sont de nature différente. Pour lui, la réalité sensible doit être dépassé, dans le but d'atteindre la vérité. En effet, notre perception n'est aucunement fiable. Comme le souligne les empiristes "rien n'est dans l'esprit qui n'ait d'abord été dans les sens". Locke suggère que nos idées proviennent de nos sens. Cependant, ces derniers peuvent être trompeur

sens commun et les illusions de l’empirisme Les pièges du sens commun Rupture avec une sociologie spontanée Bachelard nous apprend qu’aucun fait ne se laisse appréhender tel qu’il nous apparaît spontanément. Il faut une rupture avec les opinions communes qui sont des préjugés sur des questions que nous ne connaissons pas. Mais, Durkheim nous dit que les opinions communes ont pour objet de nous mettre en harmonie avec le monde qui nous entoure. C’est un consensus qui nous permet de vivreet

remplis de chiffres, de fonctions, de constantes, d’équations, bâtis sur un langage particulier, étranger. Tout cela est assimilé à un travail de « savant ». L’opinion est considérée comme ignorante, et le scientifique, doublement paré de savoir et de vérité, est celui qui comprend le monde et s’inscrit lui-même dans un monde strictement séparé de celui de l’opinion, un monde universitaire où s’entrechoquent des théories, où se débattent la composition de l’infiniment petit, l’avenir de la planète, les

par la même a ceux de ses adulateurs prêts a accepter ses sentences comme parole d'évangile dit POPPER , mais je savais évidemment qu'un Russel fort de son intelligence profonde et critique de la nature de la science , fait aussi de son amour de la vérité , ne se rangeait pas parmi ces sectateurs la aussi bien le rejet de la science implicite certes dans ce que j'avais dis n'était il nullement admet ce que j'espérais faire comprendre , c'est que si l'on admet que ce qu’il est devenu d'appeler connaissance

Qu’est-ce que la connaissance scientifique ? (1) Index: -Aristote: 384-322 av.J.C. -Bacon Francis: de Vérulam. 1561-1626. -Bachelard Gaston: 1884-1962. -Bernard Claude: 1813-1878. (A.F). -Bourdieu Pierre: 1930-2002. -Canguilhem George: 1904-1995. -Comte Auguste: 1798-1857. -Cuvier Georges: 1769-1832. -Durkheim Emile: 1858-1917. -Einstein:1879-1955. PN1921. -Feyerabend Paul: 1924-1994. Contre la méthode: 1975; Adieu la Raison 1987. -Fustel de Coulanges Denis Numa: 1830-1889. -Henry Michel: 1922-2002

Corrigé : Y-a-t-il une vérité des apparences ? L’apparence désigne la surface de l’être, ce qui paraît à un sujet, par la sensation immédiate. Comme telle, pour une connaissance démonstrative de la vérité comme recherche de l’essence, cette immédiateté est suspecte, tout autant que le médium de cette réalité, la sensation. Une apparition (épiphanie en grec ce qui, de Dieu, devient visible ) implique une réalité, même si je n’en comprend pas la nature ; l’origine latine apparentia assez douteuse

un sujet et en tirer un problème : 1.Chercher deux ou trois réponses possibles à la question et enquêter sur les opinions de chacun. 2.Essayer pour chaque réponse possible de voir sur quelle théorie, connaissance ou définition elle s’appuie. A quelles conditions et pour quelles raisons cela est vrai. 3.Voir à chaque fois à quels problèmes les hommes qui revendiquent telle ou telle opinion sont confrontés et pourquoi cela a un intérêt de les résoudre : dégager les enjeux du sujet. 4.Ordonner le problème

une multitude de définitions. Il semble d=ailleurs être le seul qui puisse donner lieu à des débats interminables: les commentaires qu=il inspire aux non-spécialistes sont presque toujours caricaturaux et, de surcroît, offrent un formidable tissu d=opinions contradictoires. Si parmi les amateurs de SF on compte beaucoup de femmes, les personnalités politiques, pour la plupart, craignent d=être surprises un livre de SF à la main. Il y aussi des déçus de la science-fiction, ceux qui, par exemple, n=y

Peut-on juger les opinions ? Une opinion est une croyance, c’est à dire une idée que l’on tient pour vraie, juste ou bonne sans que l’on puisse en fournir de preuve suffisante : elle exprime un jugement personnel ou collectif subjectif peu ou pas argumenté ou dont l’argumentation apparaît rationnellement fautive. En cela toute opinion est en droit critiquable ; c’est même un des rôles principaux de la réflexion philosophique de remettre en question la valeur des opinions, particulièrement celles

une multitude de pensées différentes, mais la raison cherche, grâce au raisonnement, à les lier et à les rendre les plus cohérentes possibles. C'est pourquoi nous cherchons sans cesse à justifier nos actes, établir des liens entre nos goûts, nos opinions etc. D’après Ferdinand Alquié (Leçons de philosophie, 1939) : « Seul l'accord de tous les esprits compétents peut nous montrer qu'une affirmation n'est pas basée sur le sentiment (qui varie selon les individus) mais bien sur la raison qui est