Baie de Tokyo

j'allais vomir au milieu des escaliers. Dehors, la tempête faisait rage. Sous le feu des éclairs, la maison ressemblait à un phare au milieu d'une tempête. Arrivé en bas des marches, je constatai les dégâts : le vent s'était engouffré par la baie vitrée restée grande ouverte, renversant au passage un vase en cristal qui s'était brisé sur le sol, et la pluie torrentielle commençait à inonder mon salon. Et merde ! Je me hâtai de refermer la vitre et me traînai dans la cuisine pour dénicher

et que j'allais vomir au milieu des escaliers. Dehors, la tempête faisait rage. Sous le feu des éclairs, la maison ressemblait à un phare au milieu d'une tempête. Arrivé en bas des marches, je constatai les dégâts : le vent s'était engouffré par la baie vitrée restée grande ouverte, renversant au passage un vase en cristal qui s'était brisé sur le sol, et la pluie torrentielle commençait à inonder mon salon. Et merde ! Je me hâtai de refermer la vitre et me traînai dans la cuisine pour dénicher une

l'extérieur est tardive ; le Japon demeure dans une autarcie politique et économique (sakoku). Son ouverture sur l'extérieur ne participe pas d'un choix délibéré mais le Japon y a été contraint. En effet, l'amiral américain Matthew Perry entre en baie de Tokyo en 1853 et impose au Japon l'ouverture par le traité de Kanagawa en 1854, traité asymétrique au désavantage du Japon. L'ouverture économique du Japon de l'ère Meiji est donc le résultat de ce que l'on appelle la diplomatie ou politique de la canonnière

l'extérieur est tardive ; le Japon demeure dans une autarcie politique et économique (sakoku). Son ouverture sur l'extérieur ne participe pas d'un choix délibéré mais le Japon y a été contraint. En effet, l'amiral américain Matthew Perry entre en baie de Tokyo en 1853 et impose au Japon l'ouverture par le traité de Kanagawa en 1854, traité asymétrique au désavantage du Japon. L'ouverture économique du Japon de l'ère Meiji est donc le résultat de ce que l'on appelle la diplomatie ou politique de la canonnière

83 Guillaume Musso La fille de papier Dehors, la tempête faisait rage. Sous le feu des éclairs, la maison ressemblait à un phare au milieu d'une tempête. Arrivé en bas des marches, je constatai les dégâts : le vent s'était engouffré par la baie vitrée restée grande ouverte, renversant au passage un vase en cristal qui s'était brisé sur le sol, et la pluie torrentielle commençait à inonder mon salon. Et merde ! Je me hâtai de refermer la vitre et me traînai dans la cuisine pour dénicher une

l’extérieur est tardive ; le Japon demeure dans une autarcie politique et économique (sakoku). Son ouverture sur l’extérieur ne participe pas d’un choix délibéré mais le Japon y a été contraint. En effet, l’amiral américain Matthew Perry entre en baie de Tokyo en 1853 et impose au Japon l’ouverture par le traité de Kanagawa en 1854, traité asymétrique au désavantage du Japon. L’ouverture économique du Japon de l’ère Meiji est donc le résultat de ce que l’on appelle la diplomatie ou politique de la canonnière

des plus anciennes façades maritimes asiatiques. C’est aussi l’un des pôles de la Triade. L’ensemble de la baie de Tokyo, la plus grande agglomération mondiale est le plus vaste ensemble portuaire quasi-continu avec plus de 600 millions de tonnes de trafic sur l’ensemble des quatre grands ports qui la composent. Trois d’entre eux figurent parmi les 100 premiers ports mondiaux à conteneurs : Tokyo, Yokohama, Chiba. On retrouve également d’autres ports importants : Nagoya, Kobe, Osaka…

l'extérieur est tardive ; le Japon demeure dans une autarcie politique et économique (sakoku). Son ouverture sur l'extérieur ne participe pas d'un choix délibéré mais le Japon y a été contraint. En effet, l'amiral américain Matthew Perry entre en baie de Tokyo en 1853 et impose au Japon l'ouverture par le traité de Kanagawa en 1854, traité asymétrique au désavantage du Japon. L'ouverture économique du Japon de l'ère Meiji est donc le résultat de ce que l'on appelle la diplomatie ou politique de la canonnière

milles marins par jour, c'est-à-dire avancer à une vitesse de huit nœuds environ. Mais pendant la première semaine, nous étions déjà contents de faire cinquante milles par jour. Bill le Mataf nous avait prévenus qu'il fallait faire attention à la baie de Biscaye. Nous nous attendions donc à des difficultés et nous les avons eues. Vent de force 9 et parfois 10. Nous étions projetés d'un bout à l'autre du bateau. J'ai cru que nous allions couler. Je l'ai vraiment cru. A un moment, alors que nous

les arguments contre. Le dialogue peut éventuellement être joué par deux élèves. COURS 1 Réponses aux questions La France à la conquête du Nouveau monde p. 60-61 > Le premier empire des rois (1533-1763) 1. La scène qui se passe à la baie de Gaspé, au nord-est du Canada est emblématique de la prise de possession, au nom du roi très chrétien (présence de la croix) François 1er. J. Cartier, accompagné de soldats (volonté de conquête) et de religieux (volonté de conversion), semble recevoir