Baïonnette

attendant le départ, on les enferme dans l’église et les écoles. Vive émotion partout et panique dans les environs. La vie devient vraiment de plus en plus pénible sous tous les rapports. Chaue jour des soldats allemands (vingt par maison), baïonnette au canon arrivent dans un quartier vers trois heures du matin, font lever tout le monde et emmènent des hommes, mais surtout des femmes et des jeunes filles de vingt à trente-cinq ans, pour les conduire on ne sait où. Il y a des scènes indescriptibles

engagée dans la 1ère Guerre mondiale (août 1914- novembre 1918). Description : Ce dessin est composé d’une pièce de monnaie et d’un personnage se détachant sur un fond blanc. Il s’agit d’un soldat allemand (casque à pointe), le fusil en main, baïonnette au canon. Il est à genoux, déséquilibré et assailli par un coq, lancé à l’attaque son bec visant les yeux exorbités de terreur du soldat. Le coq est sur une pièce de monnaie française. Le coq est agressif, débordant de la pièce, en position d’attaque

qu'elle ait un pouvoir sur le subordonné (sinon, elle n'est pas légitime). §2: Condition relative à l’acte Toute infraction commise par le subordonné sur ordre d'un supérieur hiérarchique est-elle justifiée? Il y a trois théories. La théorie des baïonnettes intelligentes Selon cette théorie, le subordonné, réputé intelligent, doit refuser d'exécuter un ordre illégal. Il ne sera pas justifié s'il commet l'infraction. Cette théorie conduit à rejeter systématiquement ce fait justificatif. Elle n'est pas

publié en 1892, qui raconte l'histoire de deux soldats : Jean Macquart et Maurice Levasseur qui vont se lié d'amitié pendant la guerre franco-allemande de 1870. Mais après la guerre ils ne vont plus être amis car Jean Macquart blesse d'un coup de baïonnette Levasseur. Dans un premier temps nous allons voir quelle représentation de la guerre Zola fait dans son roman. Dans la Débâcle Zola veut montrer la stupidité, la cruauté et l'horreur de la guerre, il veut même dégoûte le lecteur de la

Tout d’un coup, on entendit un sifflement et « BOUM », en plein sur un arbre ! Le pilonnage commença. Les obus éclataient de partout, un d’eux tomba dans notre tranchée. Une heure après, le pilonnage s’arrêta. On entendit, en allemand, l’ordre : « baïonnette au canon ! ». Les Allemands sortirent de leurs tranchées notre artillerie pilonna le champs de bataille pour arrêter l’offensive allemande. Là, je devais aller jusqu’à la mitraillette et appuyer sur la détente pour tuer ces pauvres Allemands. Mais

l’affiche de propagande Description de l’affiche : Sur cette affiche il y a un soldat allemand et une pièce en or sur un fond blanc, on reconnait que c’est un soldat allemand car ce soldat a un casque avec une pointe. Le soldat a un fusil, une baïonnette au canon. La pièce de monnaie déséquilibre l’allemand. La pièce est composée d’un coq, son bec dépasse de la pièce, le coq est très agressif. Le coq et la devise «Liberté, Égalité, Fraternité » identifient que c’est une pièce française. Sur cette

très facilement à l’intérieur. On peut aussi encore observer quelques trous d’obus qui sont énormes, maisdéjà réduit de moitié par rapport à il y a 90 ans. Durant cette guerre des tranchées, les armements utilisés étaient des obus, des fusils à baïonnettes et des grenades.

Sa compagnie est anéantie au cours de ce combat et les survivants sont encerclés. Tentant alors une percée, la violence du combat l'oblige à sauter dans un trou d'obus, pour se protéger, mais des Allemands l'imitent et le blessent d'un coup de baïonnette à la cuisse gauche12. Pris par les troupes allemandes, il est soigné et interné. Après une tentative d'évasion manquée, il est transféré au fort d'Ingolstadt, en Bavière, un camp de représailles destiné aux officiers remuants. Il y croise le futur

est constitué de plusieurs lignes de défenses creusées dans la terre, les tranchées, reliées entre elles par des boyaux d’accès.Il y avait plusieurs moyen de tuer l'énnemie il utilisaient pour se battre des fusils sur lesquelles était fixée une baïonnette, des mitrailleuses, des obus, des gaz asphyxiant .Les soldats vivent et meurent dans les tranchées, dans la boue, dans la vermine avec les rats et les cadavres , dévorer par les poux , le poilu est piégé dans l'étroitesse des tranchées avec ses

chars d'assauts et des millions d'obus. Lors d'une attaque chez l'ennemi, il y avais deux vagues, la première vague servais de "chair à canon" ils rentraient dans les tranchées dans le but de tuer tout les ennemis à l'aide de mitraillettes et de baïonnettes tandis que la deuxième