Baïonnette

1775 au Château d'If, puis de 1777 à 1780 au Château de Vincennes. Il est définitivement libéré en 1780. Citation(s) : - « Il existe quelqu’un de pire que le bourreau, c’est son valet. » - « Allez dire à ceux qui vous envoient que la force des baïonnettes ne peut rien contre la volonté de la nation » (Phrase adressée au chef de cérémonie, demandant la dispersion des membres du tiers états de l'Assemblée Nationale lors de la séance du 23 juin 1789.)

une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des monde environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin

Plan moyen/d’ensemble. Le tableau représente une scène de révolution. L’auteur utilise des tons sombres et une lumière jaune et poussiéreuse recouvre la scène. Le personnage central est une femme en robe, pieds et seins nus. Celle-ci porte une baïonnette dans la main gauche et à l’aide du drapeau français qu’elle tient dans la main droite, elle mène une foule sombre de personnes armées, issus de toutes classes sociales, marchant sur des piles de cadavres. A côté du personnage principal se trouve

croiseurs ou les sous-marins, qui utilisent pour se défendre des torpilles et des canons pendant que les forces aériennes utilisent des bombes et des mitrailleuses. Tandis que sur terre, les soldats eux, ont plusieurs possibilités : leurs fusils, baïonnettes, grenades…. Ces caractéristiques sont assez importantes puisqu’on remarque que finalement ce n’est pas vraiment la même guerre. Les hommes qui se trouvent dans les avions, les bateaux ou les sous-marins se battent contre des machines, c’est une

offensive allemande dont le bout est de percer le front français. Les équipement du poilu : -Armes traditionnelles : mitrailleuses, grenades, mines, fusils, Les canons, les obus les fusils. -Armes blanches (pour le corps à corps) : poignards, baïonnettes, Couteaux. -Armes nouvelles : gaz asphyxiants donc masque, char d’assauts Avion, lance flamme. Dans la bataille de Verdun, on peut parler d’une guerre d’usure car les soldats combattent depuis plusieurs mois, les positions et le front ne

|Métaphore développée à travers plusieurs expressions d’un |vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges,| | |texte. |des baïonnettes et des épaules si impétueusement que des | | | |gens disparaissaient dans cette masse grouillante qui | | |

plafond de la caserne des pompiers de Livermore (Californie), brille sans interruption une ampoule, l'Ampoule centenaire, désormais filmée en permanence par webcam (les deux premières étant d'ores et déjà, quant à elles, tombées en panne)Le culot à baïonnette est inventé par Swan. Depuis 1880, les ampoules ne cessent d'évoluer. -Les Lampes Fluorescentes compactes on été produites dès les années 1970, lorsque des chercheurs ont eu l'idée de replier sur lui-même un tube fluorescent. D'autres

d’insistance 'si' : 'Si beau', 'si leste', 'si brillant' champ lexical de la musique « trompette » « tambours » « hautbois » - « Neuf a dix milles coquins » « des milliers » : Abondance de soldats, effet de groupe - « Les canons renversèrent » « la baïonnette fut raison suffisante » : Atténue la réalité, comme si on renversait des soldats de plombs - On garde le coté esthétique => Par ces ingrédients, Voltaire, à travers Candide, nous fait une présentation d’une préparation de la guerre, renforcée

frappe le bourreau, frappe les gens de la justice, soulève la populace indignée de ces exécutions. Les pierres volent ; Félix délivré s’enfuit ; Olivier songe à son salut ; mais un soldat de maréchaussée13 lui avait percé les flancs d’un coup de baïonnette, sans qu’il s’en fût aperçu. Il gagna la porte de la ville ; mais il ne put aller plus loin : des voituriers charitables le jetèrent sur leur charrette, et le déposèrent à la porte de sa maison un moment avant qu’il expirât. Il n’eut que le temps

bataille qu’il résume en quelque lignes. Il y a premièrement une canonnade, décrite comme un jeu de quille, suivie d’une fusillade meurtrière. Il y a une grande ironie dans le texte par le vocabulaire. Puis enfin vient le corps à corps avec la baïonnette. Il y a de nombreuse référence à l’optimisme philosophique (avec le personnage de l’histoire, Pangloss, qui est en quelque sorte le maitre de Candide). Apres la description de la bataille, Voltaire fait l’addition des morts puis on a un coup de