Baïonnette

militaires sans oublier l’intervention des « ingénieurs de la guerre ». On aperçoit une hausse de la production d’armes à la fin des années 1680. En outre, on passe du mousquet au fusil à baïonnette à douille. Notons également le développement de l’instruction du tir par Louvois en 1688. En 1703, l’usage du fusil à baïonnette à douille devient général dans l’infanterie française. On observe une réelle évolution de la puissance de feu et le triomphe de l’infanterie. En ce qui concerne les nouvelles stratégies

voyons les choses toujours trop tard ». - Il se rend compte maintenant de toute « l’humanité » des ennemis : « A présent je m’aperçois pour la première fois que tu es homme comme moi ». L’ennemi n’est plus vu par ce qui donne la mort (grenades, baïonnettes, armes), mais par la vie (sa femme, son visage). - Paul énonce ensuite les notions de fraternité et de solidarité qui existent entre les soldats : il s’adresse au français en l’appelant « camarade », en lui disant « tu pourrais être mon frère »

de l’envahisseur nous déchire déjà la peau. Ce ne sont pas des paroles de paix, ce ne sont pas des paroles faciles à entendre. Pendez, pendez ce malfaiteur ! Et de toute façon je serai pendu. Que leur dirai-je ? On entendit des bruits de baïonnettes et d’éperons. Le délai accordé prenait fin. Sur son cou le poète sentit le chatouillement du chanvre et au creux de l’estomac la patte griffue de la mort. Et alors, au dernier moment, la parole éclata par sa bouche vociférant : « Aux armes ! À

des suppliciés. Le groupe de cadavre nous résume ce qui s'est passé et ce qui va se passer. Au milieu de cette composition se détache un homme, les bras en croix vers lequel tous les regards convergent ( le regard est en partie dirigé par les baïonnettes qui se dirigent vers lui et en font le personnage principal) Le Dessin: Le dessin est caractéristique de Goya , il y a quelques disproportions au niveau des rendus des corps ; notamment pour le personnage principal qui bien qu'à genoux semble

XVIIIème siècle. Ensuite, les adjectifs mélioratifs sont renforcés par les adverbes d’intensité « si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné ». Enfin, la succession d’actions variées produites par des acteurs différents « canon, mousqueterie, baïonnette » renforce cette impression de grand bruit. Mais la description relève en fait de l’ironie pour pouvoir mieux décrire le pathétique un peu plus loin, car il y a une contradiction dans la description du texte : à partir de la fuite de Candide après

la liberté), brandit également le drapeau tricolore (symbole de lutte) car sous Charles X ce drapeau était interdit. Fougueuse, révoltée et victorieuse, elle incarne la Liberté ainsi que la souveraineté du peuple. En la représentant armée d'une baïonnette dans une main et brandissant le drapeau dans l'autre elle entraîne les hommes vers la victoire. Delacroix rend son allégorie bien réelle (personnage pris comme symbole afin d’exprimer une idée). Ici elle est l’allégorie de la liberté. 2. Sur sa

"la poitrine "ne réagissent plus. Il ne respire plus, il est donc mort. Violence des allitérations dentales pour trancher cette jeune vie. Nous comprenons à ce moment que le sommeil du dormeur était une image de mort.  qui sont les marques de la baïonnette ou de l'arme à feu, rappellent le « trou de verdure » du vers 1, au sens ou celui-ci serait un tombeau, on peut donc dire que dès le début du poème, il y a une préparation à cette triste réalité. • L’enfance est un thème présent également dans

canons, formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer Harmonie//enfer Le bilan de la guerre est prit à la légère : Les chiffres sont approximatifs(environ,quelques..) . Les canons renversèrent 6000 hommes, mousqueterie 9 500h, baïonnette quelque milliers, le tout 30 000 âmes. Les victimes sont une population civile, innocente, et des soldats. Cette guerre est surnommé par Voltaire ''boucherie héroïque''. oxymore(ironie)cynisme Le narrateur a un humour noir : « après avoir assouvi

une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin

une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin