Baïonnette

également assez rudimentaire. Leur arme se réduit au Fusil Lebel, datant de 1867. Ce fusil est peu performant et n’est surtout pas de toute jeunesse (voir Le Fusil Lebel modèle 1868). Au bout de leur fusil, les soldats installent la Rosalie, une baïonnette, essentiel au combat à corps-àcorps. L’arme de poing de l’armée française était le Revolver Mle 1892 calibre 8mm, produit en Allemagne comme le Lebel. 1 A partir de 1915, la guerre passant d’une guerre de mouvement à une guerre de position

mondiale : guerre de tranchées → D'abord, offensives menées sous le feu de l'artillerie → Ensuite, les soldats sortent de la tranchée pour aller attaquer la tranchée adverse, mais parfois il y avait des fils barbelés, ou des corps à corps à la baïonnette → les offensives liées à cette nouvelle forme de combat sans meurtrières sans résultats significatifs Exemple : En 1915 il y a eu 4 grandes offensives, chacune a duré entre trois semaines et un mois, pour de un à trois kilomètres environ. Au

de la lanterne. Sur la droite se tient les éxècuteur qui sont les soldats de Napoléon, ils sont placé dans l’espace le plus sombre du tableau. Pratiquement vus de dos leurs visages ne peuvent être vus. On peut apercevoir dans l'obscurité leur baïonnette Ils sont représentés de dos, tous pareils, alignés, en train d’exécuter une tache sans pitié, sans cœur Ce sont des robots, il n’y a pas chez eux d’humanité. Les condamnés espagnoles sont eux représenté de différent expression qui montre des

[soldats] viennent camper autour de Paris et de Versailles. Le 12 juillet, des soldats tirent sur des manifestants au Champ-de-Mars. Le matin du 14 juillet, le [peuple] attaque l'hôpital des [Invalides] et s'empare de 3000 [fusils], de canons et de baïonnettes. Puis il attaque la Bastille pour y prendre la [poudre]. La Bastille est aussi un symbole de l'[arbitraire] royal car on y enfermait les écrivains sur [lettres] de cachet. 3/ Quelles sont les conséquences de la prise de la Bastille? Le roi reconnaît

confondre et de ne faire qu'un, fusils pointés vers elle. On reconnaît ici les forces de l’ordre dont la mission est de contenir la manifestation et de prévenir tout débordement. Ils semblent sur la défensive. Leur gestuelle est sans ambigüité : baïonnettes en avant, prêts à charger, attitude agressive et belliqueuse en parfaite adéquation avec leur fonction de soldat. Cette photographire peux se divisé en 2 partie qui s’oppose : Le point de vue du photographe semble à priori neutre puisque

veille, je voulais tous les tuer avec mon fusil à silex, tous les voir mourir à mes pieds. Toutes pitiés avaient disparu en moi. Je fusillai un premier qui vint par la, ce fut le premier d’une longue série. A chaque cavalier tué, je ramassais sa baïonnette pour en tuer un autre. Je ne suis pas vantard mais on peut dire, que j’étais le meilleur soldat de la bataille ! De plus, l’effet de surprise jouait avec nous. Seulement, un événement s’interposa entre moi et ma victoire. Un sifflement chanta à

où sont apparus de nouvelles armes. Leur point commun est que ces nouvelles armes ont pour but de tuer rapidement et massivement. Elles sont de plus en plus précises et meurtrières. L'armement des soldats est constitué d'un fusil accompagné d'une baïonnette utilisée pour le combat au corps à corps. Mais les armes les plus dévastatrices sont elles élaborées au cours de la guerre. Comme la mitrailleuse qui tire plusieurs balles à la seconde et qui peut décimer une offensive. L'arme la plus symbolique

croa-croa » est un jeu de mot sur l’homophonie croient-croa et se base sur une métaphore qui désigne les prêtres comme des « corbeaux », à cause de la couleur noire de leurs soutanes, qui ressemble au plumage de cet oiseau. « Baïonnette… on » est la contraction de l'ordre militaire « Baïonnette au canon ! » des adjudants et autres gradés qui le hurlent aux soldats. Prévert invente également une localité « Carpa-la-Juive » à partir d'une recette de cuisine célèbre, la « carpe à la juive ». Enfin, la graphie

soldats sont aussi victimes des gaz... il n'y a jamais de vrai répit. Á chaque assaut, un camp essaye de prendre la tranchée adverse sous le feu de cette artillerie... Arrivés dans la tranchée adverse, les soldats tuent les adversaires avec leur baïonnette ou leur couteau. La violence de masse sur les civils : le génocide des Arméniens : 1915 Un Génocide : extermination intentionnelle et systématique d’un peuple. Décrire et expliquer le génocide des Arméniens : - Arméniens : minorité chrétienne

soldats sont aussi victimes des gaz... il n'y a jamais de vrai répit. Á chaque assaut, un camp essaye de prendre la tranchée adverse sous le feu de cette artillerie... Arrivés dans la tranchée adverse, les soldats tuent les adversaires avec leur baïonnette ou leur couteau. La violence de masse sur les civils : le génocide des Arméniens : 1915 Un Génocide : extermination intentionnelle et systématique d’un peuple. Décrire et expliquer le génocide des Arméniens : Arméniens : minorité chrétienne