Bâle

propres par rapport aux risques etc. 7) Régulation micro : Régulation fondée sur les mécanismes de marché : Bâle 1 et 2 : « La stabilité systémique, qui est de l’ordre macroéconomique, est supposée atteinte en additionnant des établissements individuels qui seraient séparément sécurisés selon certaines normes 1 et 2 ». Bâle I=1988 = focalisé sur le risque de crédit, via le ratio Cooke. Bâle II = 2004 = sur le risque de marché et le risque opérationnel, omettant de fait le risque systémique. Ratio

LES RISQUES BANCAIRES ET LES RECOMMANDATIONS BÂLE II : ........................................................... 29 1) Réglementation Bâle II ........................................................................................................... 29 4 Mémoire 2011/2012 2) Typologie des risques.............................................................................................................. 30 1. Risques relatifs au pilier I de Bâle II .........................................

et à l’aide d’un modèle mathématique, nous analyserons les effets d’un retraitement, dans le bilan de quelques grandes banques US, des actifs titrisés, et leur impact sur le ROE. Les activités hors bilan des banques : Problématique : le risque, Bâle II, concurrence Enjeux du hors bilan[modifier] Le bilan ne peut enregistrer que des droits et obligations susceptibles d'évaluation monétaire et certains, la limite étant constituée par les provisions, incertaines dans la mesure où elles concernent

RESSOURCES HUMAINES – TELECOMS – INDUSTRIE & SERVICES ► EDITORIAL opérationnelles d’exploitation bancaire ⌧ Matthieu Courtecuisse Directeur Général matthieu.courtecuisse@sia-conseil.com NUMÉRO SPÉCIAL BÂLE II Malgré les incertitudes et points en suspens autour de la réforme Bâle II, les projets entrent dans leur phase opérationnelle et deviennent de plus en plus concrets. Nous avons souhaité donner un éclairage sur un des volets le moins en vue de la réforme, les risques opérationnels ;

banque dans l’Antiquité  1.2 Du Moyen-âge à la Renaissance 1.3 De la Renaissance au XVIIIème Siècle 1.4 La Banque moderne Partie 2 : Les accords de Bâle 2.1 Bale 1 2.2 Bale 2 2.3 Bale 3 Partie 3 : Les Normes Comptables harmonisées 3.1 Les IFRS 3.2 La confrontation des normes IFRS et de la réglementation apportée par Bâle 2. 3.3 L’IFRS 39 remplacée par l’IFRS 9 Partie 4 : Les Réformes prudentielles internationales 4.1 Dodd Frank Acts 4.2 Rapport Vickers 4.3 Rapport

Actuellement, la gestion du risque de crédit fait l’objet d’une refonte réglementaire profonde. En effet, son évaluation reposait jusqu’à maintenant sur le calcul du ratio Cooke. Ce ratio avait été mis en place en 1988 par les membres du comité de Bâle[1]. Le ratio Cooke avait permis d’intégrer la notion de fonds propres dans la surveillance des établissements bancaires. En effet, ces derniers sont tenus de présenter des fonds propres représentant au minimum 8 % de leurs actifs pondérés, dont

CADRE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES DE CONTRÔLE INTERNE Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Bâle Janvier 1998 Table des matières Page Introduction ........................................................................................................................ I. II. Contexte général ........................................................................................................ Objectifs et rôle du cadre de contrôle interne ....................................................

..... 19 1. Risques Opérationnels.......................................................................................... 20 2. Les risques opérationnels et la banque............................................................... 20 3. Comité de Bâle ....................................................................................................... 21 4. Processus de gestion des risques opérationnels............................................... 22 Appréciation du risque opérationnel ....

géopolitique (conflit armé) ou réglementaire (séparation des activités de détail et d'investissement). Le facteur de résistance considéré est le plus souvent la capacité des institutions à respecter les ratios réglementaires de fonds propres (Bâle II puis Bâle III en Europe). On distingue deux grandes classes de tests de résistance. Les tests micro prudentiels évaluent la résistance d'un portefeuille, d'une activité ou d'une institution de manière isolée. Les tests macroprudentiels évaluent la résistance

opérations, de la globalisation des échanges et de la réglementation. Il y a une vingtaine d’année encore, on évoquait une liste restreinte de 4 risques majeurs (contrepartie, taux, liquidité et marché). Depuis, sous l’impulsion préventive du comité de Bâle, d’une part, et le vécu de dysfonctionnements au niveau international, d’autre part, la définition des risques s’est précisée. Leur nombre s’est développé au point qu’il est indispensable de les classer par sous-groupes pour en faire une approche