Bangalore

le hantait toujours, un genre de coup de tête là aussi, au cours d’un reportage. En fait de reportage c’était le tournage d’un film d’entreprise, pour le compte d’une marque française de condiments qui venait d’être délocalisée dans la région de Bangalore, au moins sur les bocaux de cornichons ils pouvaient se vanter du label cueillis main. Les Indiens là-bas n’avaient encore jamais vu cette grande plante-là, c’était une nouveauté totale. Tout était vert et gorgé d’eau. Les feuilles étaient d’une

Stockholm University (Suède) – University of Delhi, New Delhi (Inde) – Ohio University Athens (US) – Kean university, New York (US) – Université Concordia Montréal (Canada) – Université des Sciences Appliquées de Munich (Allemagne) – Manipal School Bangalore (Inde) – Universidad de Deusto San Sebastian (Espagne) – Warwick University (Royaume-Uni) – Portobello College of Dublin (Irlande) – Universita del Sacro Cuore, Milano (Italie) – Fundacao Getulio Vargas, Sao Paulo (Brésil) – TEC de Monterrey, Mexico

dinks » : « double income no kids » : couples sans enfants dont les deux partenaires ont un niveau d’études élevé, des postes à responsabilités et des salaires importants. Ils ont entre 25 et 35 ans, travaillent dans les Nouvelles Technologies (Bangalore, Pune, Chennai, Hyderabad,…) ou dans les villes de Delhi et Mumbai et ont un salaire de plus de 25 000 USD par an. Ils ont l’habitude de voyager à l’étranger et organisent leurs voyages de façon indépendante. Ils sont intéressés par les séjours en

demeurent dans ce pays rural essentiellement agricole. C’est le pays de centaines de milliers de paysans souvent misérables. Parallèlement, on trouve une économie plus moderne assez dynamique caractérisée par de vraies réussites. Exemple : région de Bangalore ( au centre du triangle indien ) appelée la « Silicon Valley indienne ». Il s’agit d’un foyer informatique mondial. Globalement, un retard structurel perdure. 70% de la population indienne est rurale. Cependant, une économie plus moderne se

financé par l’épargne domestique et une progression rapide des IDE. Les régimes politiques sont stables et, pour l’Inde, démocratique. Ce pays a développé quelques technopoles rassemblant centres de recherche, universités et entreprises des TIC (Bangalore, Hyderabad, New Delhi, Mumbai). Elle a pu s’appuyer sur des élites nombreuses, qualifiées, parlant la langue universelle des affaires et des sciences et fréquentant les universités les plus réputées d’Angleterre et des Etats-Unis. Son système

Délocalisation signifie fermeture d’usines, perte d’emplois, précarisation ; ce sont d’abord les emplois les moins qualifiés qui ont été les plus touchés, mais aujourd’hui, les délocalisations touchent même des activités de gestion informatique. (Comme à Bangalore en Inde) - Dans les pays du Sud, l’implantation d’usines permet de limiter le sousemploi et renforce la consommation intérieure grâce aux salaires distribués (même s’ils sont faibles) et peut à terme créer une tradition industrielle et des synergies

Responsibility – Master of Science (MSc) in Corporate Strategy & Governance – Master of Science (MSc )in International Business – Master of Science (MSc) in Management – Master of Science (MSc ) in Marketing MBA France-Inde (LINK) avec la NSB de Bangalore et en partenariat avec IBM • 150 étudiants étrangers sur le Campus en 2010 (Master1/Master 2) ■ Spécificités En 1994, l’ESC Pau a fait le pari de l’apprentissage. Cette expérience acquise au fil des ans nous a permis de définir, en tenant compte

Birmingham Asuncion Belfast Cordoba Cuenca Tampa Colombo Cardiff Minneapolis Salt Lake Vina del Mar Santa Cruz de la Sierra Salvador Lahore Windhoek SanLjubljana Iquitos Buenos Aires Montevideo Cajamarca Sin El Fin Entebbe Budapest Bangalore Semarang Chiang Mai Guayaquil Tumbes Sylhet Santo Andre Sao Paulo Sofia Bridgetown Rosario Harare Tangail Recife Poznan Tena Alwar Icapui Tbilisi Tallin Riik Cebu Singapour Bydgoszcz Troyan Veliko Tarnovo Zagreb Katowice Gdansk Hull

revers. • La troisième faiblesse est celle de la présence dans les salons à l’étranger. Sur ce point également il semble que les entreprises de mécanique françaises soient sous-représentées. L’exemple récent d’un salon de mécanique qui s’est tenu à Bangalore en décembre 2008 en témoigne : 30 % d’exposants allemands, 5 % d’exposants italiens, quelques asiatiques dont des chinois, pas d’exposants français (Lemoine). Dans le cas précis des salons et foires d’expositions en mécanique, il faut noter que l’Allemagne

ans, ne regrette pas son choix. « J’ai pu passer deux ans à Londres et acquérir une solide expertise. Dans une entreprise indienne, mes opportunités de tester différentes cultures de travail auraient été limitées », affirme le jeune cadre basé à Bangalore, qui effectue de fréquents allers-retours aux États-Unis.  Audrey Garric et Nathalie Quéruel (9 février 2010) Nord tentent également de prévoir leur développement sur le long terme, en formant et en recrutant la maind’œuvre locale. Cette formation