Banlieue

pôle urbain voisin. -Définition de la ville s’est donc élargie : l’INSEE parle auj. d’espaces à dominante urbaine ou aires urbaines : il s’agit d’espaces qui regroupent les pôles urbains (espace urbain composé d’une ville centre et de ses banlieues comprenant au moins 5000 emplois) et la couronne périurbaine (ensemble des communes dans lesquelles au moins 40% de la population travaille dans le pôle urbain dont elles dépendent) Les pôles urbains regroupent aujourd’hui 61% de la population,

Sécurité Prioritaire) pour empêcher la violence les Etats –Unis ont aussi mit en place des Gated Community qui peuvent être soit des villes, soit des banlieues où l’on retrouve les même : en autarcie, on parle aussi d’enclave pour les désigner des lieux sans contact avec les autres. Cette notion commence à arriver en France à l’échelle de certaine banlieue ou quartier de Cette autarcie s’explique par la peur. II) Les transports urbains Les transports urbain posent problème autant dans les pays du Sud

l’exode rural, de la forte croissance naturelle et des meilleurs services de santé. Les grandes métropoles ont des ressources abondantes et fonctionnent entre elles en réseaux.Les villes consomment de plus en plus d’espace, elles sont entourées de banlieues puis d’espaces périurbains. La consommation d’espace augmente plus vite que celle de la population. L’étalement urbain, grâce à l’automobile qui permet de faire de plus grands trajets, notamment pour le travail, est accentué par l’aspiration à un

= espace + temps. L’espace c’est qui est était là avant que l’homme n’arrive, le temps correspond à l’histoire, la politique, le pouvoir, l’administration, la gestion, les frontières, les guerres. Un espace est avant que l’Homme intervient. La banlieue est en dehors de la Ville. Urbain = bien élevé, éducation, société Quartier = fragment d’une ville, d’un tout Les enjeux du cours : * Politique : vie de la cité * Intercommunalité : 36 000 communes, en France 2/3 des communes de l’Union

violence urbaine est un phénomène faisant depuis quelques années la « UNE », devenue une des préoccupations principale de la politique française. Etant confronté à l'aggravation du sentiment d’isolement, et du nom comme « interdite » donné a des banlieues, ceci renforce la violence perpétrée par des individus de plus en plus jeunes. L'Etat devant assurer son devoir de protection, il a dû s'adapter à cette nouvelle forme de délinquants de masse. SOMMAIRE : INTRODUCTION : Quels sont les moyens

Antony à la barrière d’enfer (aujourd’hui Denfert-Rochereau). Elle sera ensuite prolongée vers Orsay. C’est maintenant la ligne B du RER. La seconde l’Arpajonnais permet à partir de 1893 d’amener au Halles de Paris la production maraichère de la banlieue sud. La troisième, le tramway, circule à partir de 1899 sur les rails de l’Arpajonnais et permet aux banlieusards de venir travailler à paris tous les jours. Ces deux dernières lignes sont supprimées en 1937 car elles gênent trop la circulation

sein de ce groupe se construisent alors en réaction à ces discriminations et à ces discours. Comment ces rhétoriques racistes et genrées s’élaborent-elles ? Depuis le début de l’année 2001, la profusion et la juxtaposition des émissions sur “les banlieues” ont laissé entendre que la violence envers les femmes y serait beaucoup plus importante que dans le reste de la société, et que la prégnance de cette violence s’expliquerait par la culture dite “arabe”2 ou “musulmane” de leurs habitants. Par le

généraux citée par S. Body Gendrot, p 199-200) d’ajouter : « certains délits sont commis en centre ville, dans les centres commerciaux, dans les transports en commun par des bandes mobiles (...) composées essentiellement de jeunes en provenance de banlieues parfois lointaines ; (...) Par ailleurs des phénomènes de type anarchisant, émotionnel, se déroulent au sein de certains quartiers sensibles, de la part de jeunes appartenant en majorité à la seconde génération, agissant sous forme de groupes, instables

urbanisation et un mode de vie urbain qui sont de plus en plus adoptés. L’urbanisation est de plus en plus visible, notamment par l’extension des banlieues comme on peut le voir dans le film Elle court, elle court la banlieue de Gérard Pirès. En effet, dans ce film, un couple est obligé de quitter son logement parisien (devenu trop cher à entretenir) pour la banlieue. Le film relate donc un phénomène réel, puisqu’en 1956, a lieu la création d’HLM (Habitat à Loyer Modéré) à Sarcelles. Ce mode de vie urbain

lignes de métro, de RER et de trains est restée quasiment stable depuis 2005, la dernière grande innovation datant de 1998 avec la mise en œuvre de la ligne 14. "Alors que près des trois quarts des déplacements sont aujourd'hui réalisés de banlieue à banlieue, le réseau reste encore largement conçu pour des liaisons dans Paris intramuros ou entre Paris et la couronne parisienne", souligne aussi Didier Migaud. La RATP et la SNCF touchent chaque année des bonus alors que la qualité du service se dégrade