Banlieue

siècles. C’est devenu avec le temps, une façon pour les jeunes d’exprimer leur mal-être, leurs difficultés croissantes dans une société qui a tendance à se fermer aux jeunes issus des milieux défavorisés. Depuis quelques années, avec la croissance des banlieues, la violence urbaine a tendance à s’accroître, les voitures brûlées, les vitrines cassées, les lampadaires détruits, les émeutes contre la police sont en perpétuelles accroissements. Comme dit précédemment, les violences urbaines et surtout les affrontements

industrielles du 19ème s. introduisent une mutation dans le paysage urbain. Paris, comme toutes les grandes villes du monde occidental, attire une masse de migrants venus des campagnes ou d'étrangers pour trouver un emploi. Paris étend son emprise sur sa banlieue où des petites villes naissent. Pour terminer, Paris est une ville malade. Elle est touchée par deux épidémies de choléra en 1832 et 1849, qui feront près de 45 000 morts en tout. Contrairement à Londres, Paris nʼa pas dʼeau courante ni de système

classes sociale  Indiquer l’origine des phénomènes de bandes (préciser les dates et pays et préciser ce qu’il en est en France) C’est au milieu des années 1980 que les bandes ont commencé à se faire ressentir dans les centres commerciaux de banlieue, dans les RER… les différentes bandes se disputent, s’affrontent parfois violemment pour leur territoire qu’ils se sont attribués. La durée de vie d’une bande est très courte car pour les individus qui s’y trouvent cela correspond à la durée de l’adolescence

de neuf ans et né en France, est le protagoniste touchant du filme et lui donne son authenticité. Avec ses parents, des immigrés d'Algérie, ses frères et ses soeurs et une vingtaine d'autres familles immigrées algériennes, il habite auprès de la banlieue lyonnaise, dans un petit bidonville, appelé le « Chaâba ». Le Chaâba, ce petit bout de terrain n'est que des baraques en planches et en tôles ondulées qui entourent la maison du père d Azouz. La plupart des familles se sont enfuites de la pauvreté

préconisé de nouvelles fondations urbaines en s’appuyant sur une esthétique architecturale adaptée au logement du plus grand nombre. • Naissance du vocable • Apparu en 1935 sous la plume de l’urbaniste Maurice Rotival, il vise à « moderniser la banlieue » et à lutter contre la « lèpre pavillonnaire ». • Le grand ensemble n’a pas de définition juridique et ne s’inscrira jamais dans une catégorie prédéfinie du ministère de la Construction. • L’expression ne désigne pas un mode d’édification, mais

le logement public ou privé--) constitution de ghettos y compris au niveau des établissements scolaires --) que des élèves en difficultés --) baisse du niveau --) baisse de la formation --) difficultés d’emploi = un cercle vicieux Ex des HLM de la banlieue parisienne (cf doc 1), même la prison ! 3. Le délit de faciès cf ex des boîtes de nuit cf affiche Licra cf testing SOS Racisme 18 II / Efficacité de nouvelles propositions ? 1. Discrimination + : on peut dire qu’elle existe déjà ds son principe

jusque là dans l’histoire du pays). Aujourd’hui, 82% de la population française vit dans les ville centre espaces à dominante urbaine ou aires urbaines : il s’agit d’espaces qui regroupent les pôles urbains (espace urbain banlieues composé d’une ville centre et de ses banlieues comprenant couronne au moins 5000 emplois) et la couronne périurbaine périurbaine (ensemble des communes dans lesquelles au moins 40% de la population travaille dans le pôle urbain dont elles + = pôle urbain dépendent). Le

et dévalorisés par leur échec à l'université. C'est après avoir lu ce livre que Younes Amrani, né fils d'ouvrier marocain immigré, et ayant grandi dans une banlieue lyonnaise pendant les années 80, décide d'envoyer un e-mail à Stéphane Beaud. Touché par ses propos, il ressent lui même le sentiment d'abandon vécu par les jeunes des banlieues décrit par le sociologue. En quête de réponses et par envie de s'exprimer, Younes Amrani établit donc un contact avec Stéphane Beaud. Petit à petit un lien se

qu’il est le meilleur étudiant de sa classe. Il a des intérêts que les autres enfants de son âge n’ont pas. Il est clairement en avance pour son âge. Il essai même de se comporter comme un adulte. Il fume et il boit de l’alcool. Il vit dans les banlieues de Paris, à la Garenne. C’est aussi là où il va à l’école et où il joue au foot. Il vit la vie des classes moyennes. Il parle comme un vrai banlieusard. Une langue de la rue, le français vulgarisé. Et puis il en ajoute des mots et des expressions

une aire urbaine, donc un pôle urbain ainsi que sa banlieue. En réalité 61% des français vivent dans ce pôle urbain et 16% dans les communes autour. L’urbanisation prend alors de l’ampleur dans les années 1960, 1960 l’époque correspondant au « baby-boom » ainsi qu’à un important flux d’immigrant. La forte augmentation de la population met alors en place un étalement de l’espace urbain, un étalement urbain qui sera spécialement centré sur les banlieues autour des pôles urbain en y construisant de grand