Banque de France

développement de la concurrence à un niveau inégalé, les banques sont amenées à chercher l’augmentation de leur profitabilité et à revoir certains de leurs modèles. Ceci les amène à se concentrer sur la réaffirmation du conseiller en agence, la personnalisation de l’offre et la mutualisation des supports. Illustré, en Grande-Bretagne, par Ie rachat de Halifax Bank of Scotland par Lloyds TSB ou, en France, par le rapprochement des Caisses d’Epargne et des Banques Populaires, le contexte actuel est en effet marqué

Convention passé avec une banque à un prix déterminé et périodique pour la mise à disposition régulière ou pour l’usage habituel de services. Tous nos produits Quotidien Sources : Glossaire des opérations bancaires courantes élaboré sous l’égide du CCSF (Comité Consultatif du Secteur Financier). Pour de plus amples renseignements : www.fbf.fr. Abonnement à des services de banque à distance Frais perçus par la banque pour un abonnement à son offre de services de banque à distance (internet

A/ LES INSTANCES ECONOMIQUE DE LA ZONE FRANC Reposant sur des principes d'orthodoxie monétaire, elle a connu d'importants déséquilibres financiers rendant nécessaires des politiques de stabilisation et d'ajustement interne et conduisant à un rôle croissant des institutions de Bretton Woods. Depuis les conventions de 1972 (pour la zone BEAC) et 1973 (pour l’UMOA), les Unions monétaires fonctionnent sur le principe contractuel d’une adhésion volontaire. Les réformes d'octobre 1989 (pour la BCEAO)

Qu’est-ce qui constitue de la monnaie ? 2 La valeur des billets et pièces modernes 1 Une monnaie ancienne : 20 francs-or Napoléon Ier Matière : or (900/1 000) – Poids : 6 g La loi du 15 août 1795 affirmait que « l’unité monétaire porterait désormais le nom de franc. [...] Le titre de la monnaie d’argent sera de 9 parties de ce métal pur et d’une partie d’alliage* ; la pièce d’un franc sera à la taille de 5 grammes. » Avec l’établissement d’un poids fixe de métal, la monnaie de compte correspondait

En France, depuis le milieu des années 1970, la dette publique a augmenté pour atteindre 83 % du PIB fin 2010. En 2011 elle montera à 86,2 % puis à 87 % en 2012. La dette publique est le principal élément du passif du bilan des administrations publiques françaises (APU). Elle regroupe les dettes que les administrations publiques françaises ont contractées auprès de prêteurs privés, français ou non, sous forme d’emprunts d'État (obligations du Trésor, BTAN…). Elle ne tient pas en compte pas les factures

Elle regroupe l’ensemble des avoirs détenus par les agents économiques. * La création monétaire : Les banques participent au processus de création monétaire. Quels acteurs ? | En quelles occasions ? | LE SYSTEME EUROPEEN DE BANQUES CENTRALES =La Banque Centrale Européenne (BCE) :Les Banques centrales nationales (ex BDF) :(banques de premier rang) | Emission des billets de banque en euroAvances au Trésor Public Achat de devises | Le Trésor public (agent financier de l’Etat) | Frappe

La crise de la dette souveraine et la politique monétaire JULIEN MATHERON, BENOÎT MOJON ET JEAN-GUILLAUME SAHUC Direction des Études monétaires et financières Banque de France Depuis que Lehman Brothers s’est placée en septembre 2008 sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites et en réponse à la crise financière et à la récession mondiale qui ont suivi, les responsables du monde entier ont adopté un policy mix afin de mieux résister aux éventuelles conséquences

formes actuelles de la monnaie A. La monnaie fiduciaire Deux formes Les Pièces Les pièces d’euro sont fabriquées dans leur pays d’origine (Administration des monnaies) et mises en circulation par la banque de France. Les billets Ils sont émis par la banque de France et la BCE. Ils ne peuvent pas être convertit en or. La monnaie fiduciaire est fondée sur la confiance que l’on a dans les institutions elle ne possède pas de valeur intrinsèque. B. La monnaie scripturale,

| |LE SYSTEME EUROPEEN DE BANQUES CENTRALES (SEBC) = | | |La Banque Centrale Européenne (BCE) : | | |Les Banques centrales nationales (ex BDF) : |Emission des billets de banque en euro | |(banques de premier rang)

informe qu’un opérateur de marché aurait exposé la banque à un risque qu’il n’était pas autorisé à prendre. Il aurait accumulé des positions acheteuses sur des contrats à terme portant sur indices en les masquant par une manipulation du système informatique de la banque. Le directeur désigne alors ce trader, Jérôme Kerviel, comme le coupable et le responsable de cette « fraude » qui selon lui, a engendré la perte de 4,9 Milliards d’euros à la banque. La Société Générale porte alors plainte ce même