Banque Traditionnelle

spécificités tiennent à la fois à la nature même des métiers et des mutations qu’ils ont subies au cours de ces dernières années mais également à un système d’information qui est complètement différent de celui des entreprises traditionnelles. 1. L’organisation et les stratégies des banques Les réductions de coût sont toujours apparues comme le moyen principal d’améliorer la rentabilité. La dimension coût, la réduction des frais généraux, ont eu, depuis une quinzaine d’année, une place centrale dans la stratégie

générale de l’économie. Mais le secteur a-t-il vraiment changé ? Certes, les banques allemandes ont évolué : structures plus modernes, reconfiguration des liens avec l’industrie, progrès de consolidation interne. Mais les grandes caractéristiques du secteur sont toujours là : dispersion en trois piliers (public, privé, coopératif) avec prépondérance des banques publiques, rentabilité médiocre et prédominance des banques dans le financement des entreprises. Ainsi, le secteur renoue largement avec

NOUVELLES TECHNOLOGIES ET PERFORMANCE ` DISTANCE LE CAS DE LA BANQUE A Alain Capiez To cite this version: Alain Capiez. NOUVELLES TECHNOLOGIES ET PERFORMANCE LE CAS DE LA ` DISTANCE. 22EME ` BANQUE A CONGRES DE L’AFC, May 2001, France. pp.CD-Rom. <halshs-00584612> HAL Id: halshs-00584612 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00584612 Submitted on 9 Apr 2011 HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are

métier de conseiller III. Le système bancaire et l’assurance : une évolution parallèle Etant en concurrence perpétuelle entre elle dans le domaine de la fidélisation de leur client, La banque va développer en plus une autre compétition avec les entreprises d’assurance. En effet, les banques ont tendance à proposer certains produits d’assurance et vice et versa. Les modes de distributions des produits et des services, la préparation de la retraite, la gestion de la dépendance,…

des droits de créance sur les revenus futurs de l’emprunteur. Actif des créanciers et passif de ceux qui les émettent * La finance intermédiée : lorsque les emprunteurs obtiennent des fonds en s’adressant à des intermédiaires financiers (ex : banque). Les marchés financiers permettent de réaliser des avantages mutuellement avantageurs : ils répondent au problème d’incomplétude des marchés (une des formes de défaillance des marchés). Ils permettent aussi de répartir le risque et de choisir le

bancaires et financiers classiques en vu de financer leur projet. Elles sont nées dans les années 80 en réponse aux besoins sociaux de financement de projets solidaires liés à un renouveau de la pauvreté et de la précarité en Europe auxquels les banques classiques ne peuvent faire faces seules. Les organismes reçoivent l'épargne solidaire de personnes souhaitant que leurs fonds soient placés dans une démarche de solidarité, et acceptant d'en retirer une rémunération un peu moins élevée. Épargner

caractéristiques principales qui peuvent nous permettre de définir les contours de la microfinance. La microfinance est l’offre de services financiers (crédit, épargne, assurance, etc.) à des personnes vulnérables, qui n’ont pas accès au secteur financier traditionnel. Elle vise à améliorer le revenu des bénéficiaires par l’auto-emploi. Elle regroupe toutes les pratiques d’épargne, de crédit, d’assurance etc formelles ayant trait à des petites sommes d’argent et visant à assurer un gain ou à éviter une perte

joint et en cas de débit trop important ou de découvert non-autorisé, les deux titulaires sont considérés comme débiteur, quel que soit celui qui est responsable de la situation. Dans ce sens, l’ensemble des sanctions qui peuvent être prises par la banque comme l’interdiction bancaire, concerne chacune des deux parties. Bien entendu, cette règle reste flexible dans le cas où un des deux titulaires souhaite avoir la responsabilité du compte. Sur simple demande, il sera donc seul garant du bon fonctionnement

d’une rentabilité immédiate, les établissements bancaires préparent leur futur. Ils veulent ainsi conquérir des clients de plus en plus tôt pour ensuite les fidéliser. Enfin, les actions vers les jeunes contribuent à rajeunir l’image de nombreuses banques, en proie à certains problèmes identitaires. En 2010, les jeunes de moins de 25 ans représentent plus de 32% de la population française (Source : INSEE), un marché à conquérir pour bons nombres d’entreprises qui espèrent trouver la recette miracle

nombreux banquiers ont vu leur métier évolué et considèrent qu’ils l’exercent dans des conditions différentes de celles qui prévalaient dans les années 1990. Ces nouvelles mutations trouvent leurs racines dans la mondialisation, car aujourd’hui les banques doivent être performantes dans leur pays mais également être compétitives à l’internationale. Pour cela il leur faut s’adapter aux nouvelles technologies, innover, réagir aux fusions, rachats, alliances, de sociétés spécialistes dans divers secteurs